Category Archives: Politics

L’integration des immigrés

L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a publié une nouvelle étude pour mesurer ce qui est toujours problématique dans la politique française — l’intégration des immigrés. L’OCDE a crée ce document pour analyser les conditions des immigrés (et aussi de leurs enfants) dans les 34 pays membres, y compris la France. Comme Georges Lema ître dit: “Elle n’est jamais complètement à la traîne, mais jamais en tête du peloton non plus.”

Les conclusions incluent beaucoup de criticismes de l’Hexagone. Sur l’éducation et l’emploi, les immigrés sont énormément désavantagés. Sur le logement et l’accès aux soins, la France est supérieure à la plupart d’autres membres. Cette division entres les services que l’Etat fournit pour les immigrés, toute une partie de ses efforts à les intégrer, indique qu’il y a beaucoup d’espace pour l’amélioration de la politique sur cet sujet. Si la France veuille vraiment unifier sa population sur une identité française, elle aura besoin de considérer les intérêts de ces individus dans son approche à la société civile. Elle ne peut plus ignorer le fait que les immigrés tiennent un grand pouvoir dans la France d’aujourd’hui. Les statistiques sur l’éducation son représentatif d’une attitude désintéressé du gouvernement, mais la France continue à changer. Au présent, c’est impossible à penser du pays sans ces immigrés. En même temps, c’est encore acceptable à les abandonner quand on considère la politique et maintenant ceci est un de les plus grands problèmes de la France.

L’article: http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/12/03/la-france-integre-avec-difficulte-ses-populations-d-immigres_1799052_3244.html

La polygamie à la française?

http://www.lefigaro.fr/international/2012/11/12/01003-20121112ARTFIG00457-broadwell-une-femme-ambitieuse-et-sportive.php

J’ai trouvé cet article intéressant parce que traditionnellement les Français ont des opinions vraiment diffèrent que les Américains notamment vers les relations amoureuses hors le mariage. On pense à François Mitterrand et le fait que sa femme et sa maitresse ont été côté à côté aves les enfants légitimes et illégitimes à son enterrement. (On peut voir les photos dans ce site : http://iconicphotos.wordpress.com/2009/10/16/mitterands-funeral/.) En plus, j’ai entendu que beaucoup des français n’ont pas compris le scandale autour de Bill Clinton et Monica Lewinsky.
C’est pour cette raison que j’étais attiré par l’article sur Paula Broadwell et David Petraeus. Je penserais qu’ils ne s’occuperont pas de ça. Mais, en lisant l’article j’ai pensé au sujet de la polygame dont on a beaucoup parlé. En approchant les nouvelles de la perspective française comme ça, je pense que le problème n’est pas la relation amoureuse, mais le fait qu’elle a exposé la relation pour sa jalousie. Le Figaro demande : « Comment cette experte en antiterrorisme, qui a visité plus de 60 pays et s’astreint à une hygiène de vie irréprochable, a pu envoyer des mails de menace à une femme qu’elle considérait comme sa rivale ? » comme si le fait qu’elle est elle est éduquée, bonne, et respectable implique sa discrétion.
Je n’ai pas lu beaucoup sur ce sujet des nouvelles américains, mais j’imagine qu’ils ont des autres foyers. Je sais au moins que les américains s’intéressent plus au général tandis que les français s’intéressent plus à la maitresse. Ça me dévoile que même si les français soutiens qu’ils sont contre la polygamie, il n’est pas simplement noir et blanc. Il y a des façons spéciales de la faire, et il faut suivre leurs règles.

Par Judith Duportail
Mis à jour le 12/11/2012 à 14:50 | publié le 12/11/2012 à 13:20

L’extrême droite et le “racisme anti-blanc”

 

J’ai trouvé un article dans Le Monde qui est très intéressante compte tenue des thèmes de racisme et immigration qu’ont a exploré jusqu’à maintenant dans la classe, surtout en parlant de Diome et du livre du Prof. Dubois. L’article s’agit d’une technique utilisé par les politiciens de l’extrême droit en France: celle d’appeler les gens de couler “anti-blancs” – c’est à dire une espèce de racisme à l’envers. Le politicien nommée dans l’article est Le Pen, qu’ont à déjà discuté en classe, et qui est aussi nommé dans le livre du Prof. Dubois. Cette rhétorique est un outil pour discréditer les efforts des organisations contre le racisme, comme par exemple SOS racisme. Je suis d’accord avec le ton de désapprobation de article; selon moi cette argumentation de racisme à l’envers va seulement augmenter l’écart entre les citoyens blancs (aussi connais comme “Français de souche”) et les personnes de couler en France. Une image comme cette ici (dans l’article Le Monde):

va seulement créer tension, aggraver l’antagonisme dans les banlieues. Les efforts d’assimilation vont être encore plus difficiles avec cette conflit.

Quand même, cette idée de racisme à l’envers n’est pas nouvelle. Ici aux États-Unis on l’entends aussi, surtout dans les critiques de “affirmative action.” Au même temps, je ne pense pas que ici on associe cette idée à l’extrême droite comme en France; peut-être parce que personne n’a fait une campagne active comme Le Pen autours de cette idée.

L’article est ici:

http://droites-extremes.blog.lemonde.fr/2012/09/26/comment-lextreme-droite-a-fait-du-racisme-anti-blanc-une-arme-politique/

“All the President’s Women” — a look at French media fascination, and forgiveness

Recently the NYTimes posted an article detailing the latest events in President Hollande’s somewhat love-triangle. As someone who had not been particularly informed of the private life of France’s newest President, a number of things surprised me.

Perhaps because of the current political season in the US, I find myself growing desensitized to the sensationalist prying of the media into the lives of presidential candidates. As an American public we might feel entitled, in some way, to see candidates in their perfect, happy homes with their adoring spouses and children. To lead any other kind of life as a public official would be to simply be un-American: there has never been a divorced President in the Oval Office, and the only time any president has been unmarried during his term was James Buchanan, over 150 years ago. When the Monica Lewinsky scandal broke, it nearly cost Bill Clinton his presidency. Clearly we have certain expectations of our public officials to, in many ways, reflect the ideal of family life in this country. If that were to be violated, especially with a right-wing party that seems to be more and more conservative, it is not too far-fetched to imagine harsh criticism raising the following question: if our President can’t lead a traditionally moral personal life, how can he encourage the values and ethical standards of an entire nation?

And so I was certainly surprised when I read that, wait a second, not only does the president of France have a former “partner” who is also the mother of his four children, but he is also currently in a relationship with another “partner,” and they’re living together, unmarried? And the media, the public, the church, has not torn him apart? This is quite a uniquely French luxury, to lead an arguably untraditional personal life as the leader of a country that is, after all, historically Catholic. I could not help but reflect on the current events and marvel at the stark difference between what French media, and people, will accept in their leader and what the American public demands of theirs. The increasingly rocky relationship between Hollande’s current and former partner has been in public eye since Holland first announced his candidacy for President, yet there has never in living history been a situation in which a nominated party candidate won, and kept his publicly-elected position. Herman Cain ultimately stepped out of the race for Republican nominee due to alleged incidents of sexual harassment; Anthony Weiner also terminated his career after he sent risque pictures to young women. Sexual deviance, and basically anything that isn’t “traditional marriage” is something we’ve yet to see a politician maneuver successfully in this country and still maintain the trust and support of his or her constituents.

So what does this tell us about France? Are French people just more open-minded than Americans, at least when it comes to social issues? To be sure, his involvement in an apparently vicious triangle between his two leading ladies has negatively affected Hollande’s image as a”normal president.” But the man did win the presidency, after all, and his personal life was no secret during the election. The disparity between the reactions of France’s institutions toward Monsieur President and the stringent standards to which American institutions subject their public officials makes me wonder which social system is more sustainable and flexible to social changes. Currently in the US a major battle for more gender equality, and, of course, the civil rights of gay people to be married, is underway. How will this affect the expectations we have for our presidents going forward? We have the first African-American president, but Obama is widely criticized, especially by the super-wealthy, in a way that we haven’t necessarily seen before. And he is still male, and Christian; what about a female president, or a Jewish one, or a divorced or gay president, or one who has children out of wedlock? Any of the latter would in many ways reflect what is increasingly “normal” in American households, yet the presidency, and much of the American political institution, has not changed in the same way that American’s lives are changing. Perhaps what French people are better at understanding is that their President is much like themselves: a human being who sometimes struggles with personal issues, and who is striving to find the balance in his life that works for him. If “traditional” American values are supposed to, well, reflect the values of Americans, when will the presidency start reflecting the reality of his (or her) people?

Football et La Politique : « The Two Escobars »

La semaine dernière, j’ai discuté comment les Bleus nous offre un espace intéressant sur lequel la société peut projeter ses scrupules moraux, et même expérimenter avec des façons de répondre à ces questions importants (au sujet de la religion, de la communautarisme, de l’identité, etc.)  Bien sur, Les bleus ne sont pas la seule équipe pour qui la politique et le sport s’affrontent récemment.  Hier soir, j’ai vu un documentaire extraordinaire appelé « The Two Escobars ».  Ce film était partie d’une série de documentaires retraçant 30 histoires de « l’ère ESPN » chacun d’eux explore en détail les enjeux, les tendaces, les gens, les équipes, ou des événements qui ont transformé le paysage sportif depuis 1979.

En ce film « The Two Escobars », les vies de joueur Andrés Escobar et de baron de la drogue Pablo Escobar sont utilisées pour comprendre l’entrelacement du crime et du foot dans la Colombie, leur pays natal, et les liens entre les meurtres de deux hommes.  Bien que le film dure deux heurs, je me trouvais perdu dans l’histoire incroyable.  L’argent de Pablo avait tourné l’équipe nationale sur les champions d’Amérique du Sud, favori à gagner la Coupe du Monde en 1994 à Los Angeles.  Dans leur match contre les Etats-Unis, Andrés, le capitaine, a commis une des erreurs les plus choquants dans l’histoire du foot : il a marqué un but contre son camp qui a éliminé son équipe de la compétition et finalement lui couter sa vie.

« The Two Escobars » est un examen fascinant de l’intersection de sport, de la criminalité et de la politique.  Pour les Colombiens, le football était bien plus qu’un jeu : leur identité nationale a roulé sur le succès ou l’échec de leur équipe.

On peut voir le documentaire en Youtube.  Voici est le lien (HD !)

http://www.youtube.com/watch?v=yd5amEEVLgk

L’Etat et la religion

Je sais que je reviens sur nos pas en parlant du rôle de la religion dans le gouvernement et dans l’espace public, mais pendant les vacances j’ai lu cet article (un « op-ed ») provoquant qui discute l’effet de la religion des présidents américains dans les élections et la politique. Pour les américains, la religion des candidats pour la présidence est un facteur important. Quelques indices de Pew indiquent la même chose ; on voit les statistiques ici. Une citation très intéressante qui est une justification américaine pour la laïcité: « Debate is the life-blood of a democracy, and this means that leaders must offer discussable reasons for what they propose to do.  To say, “My religion says so” may explain why you believe something, but it has no function in a discussion with people who do not accept your religion. » Pour les américains, la religion est permissible, mais pour maintenir la séparation de l’Etat et de la religion, la religion ne doit pas avoir une ingérence sur la politique. Je crois que cette idée est la plus proche à la laïcité que les américains peuvent avoir, mais l’idée est encore basée sur l’idée de la séparation et non pas sur la laïcité.

Le Foot, la politique, et les tensions

J’ai lu un article très intéressant qui discutait la relation entre le foot et la politique française—un sujet parfait pour partager sur ce blog. L’article, qui apparaît dans The Economist en 2010, explore le drame de l’équipe française pendant le Mondial cet été. Essentiellement, un joueur a critiqué l’entraineur et il a été puni. En réponse à cette action, les autres membres de l’équipe ont refusé d’entrainer pour le prochain match. Naturellement, les médias français ont exploités ce drame à fond, et le peuple était horrifié. Même le président, Nicolas Sarkozy prenait part de ce drame. L’ampleur de la réaction au drame montre l’importance du foot en France. Président Sarkozy a convoqué une réunion pour discuter la crise et plusieurs d’autres officiels du gouvernement ont fait des commentaires sur la crise—ça nous montre la liaison entre le foot et la politique française. Dans ce cas-ci, le drame nous oblige à considérer des tensions qui existent dans l’équipe—des tensions raciales et religieuses. Ces tensions sont le résultat du fait que les joueurs de l’équipe sont des races et des religions différentes. Il est possible que ces tensions aient contribué au drame. De plus, l’équipe est un microcosme de la société française, qui est rongée par les mêmes tensions. Je trouve la relation entre le drame et les tensions particulièrement intéressant parce que nous avons discuté beaucoup de ces tensions dans notre cours, et nous sommes en train d’étudier le rôle du foot dans la France. Finalement, c’est important de juxtaposer cette crise avec la victoire française dans la Coupe du monde en 1998. On voit que, d’un côté, le foot peut ternir des réputations et révéler des tensions entre l’équipe et la nation. De l’autre côté, le foot peut être merveilleux et peut unifier l’équipe et la nation. C’est clair que le foot n’est pas simplement un sport en France ; c’est un phénomène qui nous raconte beaucoup de la société française.

http://www.economist.com/node/16438717

The Flag and Football

One particular point of interest which has stuck with me during class and throughout Soccer Empire are the strong national passions attached to the sport.  I find the presence of the French flag particularly interesting as well.  When I was 12, my family hosted a French exchange student, Clotilde, for two months.  One day, while driving through the Pennsylvania countryside with my mom and I, she asked why so many Americans hung flags outside their houses or owned flagpoles.  My mom said that displaying the flag was a way for us to display our ownership and respect for the values which the flag represented.

Clotilde responded that national sentiments surrounding the flag were not as strong as they were in the U.S., and while French citizens felt an affiliation for their national colors, the French flag was in most cases only displayed with regularity in civic institutions.  In fact, to display the flag outside a private residence would be considered very unusual.

For this reason I was very surprised to see how abundant French flags are during the World Cup.  At first I assumed that this display of patriotism must have been a nuance in French patriotism which I somehow failed to grasp.  After reading further in Soccer Empire, I have become less sure that my initial analysis is correct.  I believe that this phenomenon speaks rather to the unifying properties of soccer to bring together an entire nation than any particular French disposition to behave in a certain way.  Soccer acts simultaneously as a conduit and outlet for displays of national passion, allowing expression of individual sentiments while unifying the country.

Les questions de la religion, la culture, et la loi

La question de la voile est un débat compliqué, mais la loi qui prévoit une amende pour les porteuses de niqab ou burqa (qui cachent le corps entier) était presque incontestable au moment d’adoption. Il y a presque deux mois, deux femmes ont été condamnées par un tribunal à cause du niqab. Cet article explique les amendes et la réaction des femmes.

A ce moment, un homme d’affaires français avait promis de payer les amendes infligées aux femmes musulmanes. En plus, une femme insiste qu’elle va poursuivre l’action dans la Cour européenne des droits de l’homme. Est-ce qu’il y a une possibilité que la Cour européenne va considérer cette loi ? Cela me fait penser au débat l’année dernière sur le crucifix dans les écoles italiennes. Une mère a protesté contre leur présence et la Cour européenne a décidé que les croix peuvent reseter dans les écoles publiques. Regardez cet article pour une discussion des conclusions.

Je ne sais pas qu’est ce qui se passerait si la Cour européenne étudiera l’affaire du burqa et du niqab. Est-ce qu’on peut interdire le voile ou le niqab dans l’ensemble de l’UE ? Est-ce que le tribunal pourrait obliger la France à le permettre ? Ou est-ce que le tribunal ferait une exception pour la laïcité française, comme il a fait pour l’Italie ?

J’ai trouvé aussi un sondage intéressant qui compare la perception du sécularisme aux pays différents. Les résultats ont ete publié dans le Financial Times en 2006. C’est seulement un seul sondage, mais les différences entre les pays sont fascinantes. Par exemple, la majorité des français et des américains sont d’accord que la religion de doit pas être enseignée dans les écoles publiques, mais ils sont en désaccord sur le port des symboles religieux. En plus, les divergences entre les pays européens indiquent qu’il est difficile d’établir un système juridique de la moralité que tout le monde va accepter.

 

-“Do you believe that the Church and state should be kept separate in modern Europe?”

G.B. France Italy Spain Germany
Yes 70% 86 71 84 77
No 9% 5 20 9 10
Not Sure 21% 10 9 8 13

-“Do you feel that religion should be taught in state schools?”

G.B. France Italy Spain Germany U.S.
Yes 56% 20 68 40 56 28
No 29% 72 25 49 35 59
Not Sure 15% 8 7 11 9 13

-“Do you feel that children should be allowed to wear a religious sign or article of clothing at school which is representative of their beliefs (such as crucifixes, headscarves)?”

G.B. France Italy Spain Germany U.S.
Yes 48% 10 61 44 40 77
No 36% 83 29 43 51 14
Not Sure 15% 7 10 13 10 8

-“Do you feel that the Dutch government should have the right to ban all Islamic veils which cover the body and face such as burqas?”

G.B. France Italy Spain Germany U.S.
Yes, the Islamic veils should be banned in all public places. 39% 39 35 23 27 14
Yes, the Islamic veils should be banned but only in certain circumstances (for example, schools). 30% 41 24 30 33 17
No, Islamic women should have the right to wear the Islamic veils if they wish to do so. 23% 13 34 39 33 59
Not sure. 9% 7 7 8 7 11

“Religious Views and Beliefs Vary Greatly by Country, According to the Latest Financial Times/Harris Poll” Dec 20 2006.

L’Exil des étudiants étrangers

J’ai lu un article intéressant dans le New York Times sur l’immigration en France. Selon cet article, le gouvernement français réduit le nombre de permis de travail qu’il distribue parmi les étudiants internationaux. Comme conséquence, beaucoup d’étudiants étrangers ne sont pas autorisé de rester en France après leurs études, mêmes s’ils parlent couramment le français et se considèrent d’être français. Ce fait met en conflit les valeurs républicaines de la France et la réalité difficile pour les immigrés en France. Ce conflit est présent aussi dans Le Ventre de l’Atlantique, le livre de Fatou Diome, quand Salie et certains d’autres individus sénégalaises sont désabusés avec la vie en France.

Les étudiants étrangers aujourd’hui sont fâchés parce qu’ils veulent restent en France, au moins pour plusieurs années après leurs études, pour faire avancer leurs carrières. Ils défendent leur désir de rester en France par citer le fait que leur exil créerait une fuite de cerveaux, qui prive la France de beaucoup d’intellect. Cependant, le gouvernement soutient qu’il fasse que les immigrés ne puissent pas rester en France seulement à cause du fait que les universités les ont admis. Selon un porte-parole du gouvernement, un but de la politique est d’empêcher les immigrés d’utiliser l’éducation comme un raccourci pour gagner l’autorisation de rester en France. De plus, le gouvernement dit qu’il veut garantir que la France ne vole pas les élites des autres pays.

Je pense que le gouvernement et les étudiants étrangers ont à la fois raison. Cependant, je crois que l’article n’adresse pas suffisament la vraie raison pour laquelle le gouvernement est devenu plus strict vis-à-vis l’immigration : le chômage. Il est commun pour un peuple qui est originaire d’un certain pays de se plaindre que l’immigration crée trop de concurrence pour l’emploi. Ce phénomène est particulièrement commun pendant l’existence d’une économie en crise—ça c’est le cas aujourd’hui. Ainsi, la pression politique sur le gouvernement l’encourage d’essayer de réserver plus d’emplois pour les citoyens français, même si l’implication est que les licenciés doivent retourner chez eux.