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La polygamie à la française?

http://www.lefigaro.fr/international/2012/11/12/01003-20121112ARTFIG00457-broadwell-une-femme-ambitieuse-et-sportive.php

J’ai trouvé cet article intéressant parce que traditionnellement les Français ont des opinions vraiment diffèrent que les Américains notamment vers les relations amoureuses hors le mariage. On pense à François Mitterrand et le fait que sa femme et sa maitresse ont été côté à côté aves les enfants légitimes et illégitimes à son enterrement. (On peut voir les photos dans ce site : http://iconicphotos.wordpress.com/2009/10/16/mitterands-funeral/.) En plus, j’ai entendu que beaucoup des français n’ont pas compris le scandale autour de Bill Clinton et Monica Lewinsky.
C’est pour cette raison que j’étais attiré par l’article sur Paula Broadwell et David Petraeus. Je penserais qu’ils ne s’occuperont pas de ça. Mais, en lisant l’article j’ai pensé au sujet de la polygame dont on a beaucoup parlé. En approchant les nouvelles de la perspective française comme ça, je pense que le problème n’est pas la relation amoureuse, mais le fait qu’elle a exposé la relation pour sa jalousie. Le Figaro demande : « Comment cette experte en antiterrorisme, qui a visité plus de 60 pays et s’astreint à une hygiène de vie irréprochable, a pu envoyer des mails de menace à une femme qu’elle considérait comme sa rivale ? » comme si le fait qu’elle est elle est éduquée, bonne, et respectable implique sa discrétion.
Je n’ai pas lu beaucoup sur ce sujet des nouvelles américains, mais j’imagine qu’ils ont des autres foyers. Je sais au moins que les américains s’intéressent plus au général tandis que les français s’intéressent plus à la maitresse. Ça me dévoile que même si les français soutiens qu’ils sont contre la polygamie, il n’est pas simplement noir et blanc. Il y a des façons spéciales de la faire, et il faut suivre leurs règles.

Par Judith Duportail
Mis à jour le 12/11/2012 à 14:50 | publié le 12/11/2012 à 13:20

En lisant Cahier d’un retour au pays natal

http://www.utexas.edu/opa/photo/slideshows/2010/jennifer-wilks-diaspora/transcript.pdf

En essayant de comprendre Cahier d’un retour ay pays natal, j’ai trouvé cet article qui, je pense, résume assez bien la lecture, l’histoire autour de l’œuvre, et quelques thèmes importants, tels que la négritude, dont nous avons parlé en classe, mais j’ai trouvé un peu difficile à comprendre. Je trouve intéressant que parce que la France métropole, notamment Paris, était où il fallait aller pour atteindre une éducation universitaire (les étudiants, tels que Césaire, ne pouvait aller jusqu’à l’école secondaire sur leurs îles d’origine), Paris dans les années 1920 et 1930, est devenu « melting-pot culturelle incroyable ».

Césaire ne fait appelle pas seulement au cas de la Martinique noire, mais aussi à celle de la Guadeloupe « fendue en Deux de sa raie dorsale et de même misère que nous. » En outre, «Haïti où la négritude se mit debout for the première foie et dit qu’elle croyait à son fils Humanité. » Il va même aux États-Unis, où « la petite comique queue la Floride [Florida] où d’un nègre s’achève à la strangulation. » L’ironie de cette « comique » n’est certainement pas perdu et provoque un certain dégoût pour le lecteur. Et finalement, « l’Afrique gigantesquement chenaillant Jusqu’au pied hispanique de l’Europe, sa nudité ou la Mort fauche larges andains un. » (Césaire 24)

In trying to understand Cahier d’un retour ay pays natal, I found this article, which, I think, summarizes quite well the reading, the history around it, and some of the important themes, such as négritude, which we discussed in class but I found somewhat difficult to comprehend. I find interesting that because mainland France, particularly Paris, was the only place one could attain a university education (students, such as Césaire could only go up to secondary school on their home islands), Paris in the 1920s and 1930s became “incredible cultural melting pot”.

Césaire does not only take up the case of black Martinique, but also that of Guadeloupe “fendue en deux de sa raie dorsale et de même misère que nous,”. Also, “Haïti où la négritude se mit debout pour la première fois et dit qu’elle croyait à son humanité.” He even goes to the United States where ” la comique petite queue la Floride [Florida] où d’un nègre s’achève à la strangulation.” The irony of this “comique” is certainly not lost and causes a certain disgust for the reader. And last but not least “l’Afrique [Africa] gigantesquement chenillant jusqu’au pied hispanique de l’Europe, sa nudité où la Mort fauche à larges andains.” (Césaire 24)

[on / au sujet de la négritude] Prior to this historic moment, people of African descent in France, in French colonies, were encouraged to think of themselves as French first, and through the idea of assimilation, the French government encouraged residents of its colonies to consider themselves French, so through education, through culture, one could become French, and the other sources of one’s cultural identity were not celebrated in literature, were not celebrated in history.
Césaire and other proponents of negritude challenged this idea and articulated African culture, African heritage, African identity as something that was worthy of consideration, and, in fact, worthy of celebration, and it is a celebration of this identity that we see in The Notebook.
– Jennifer Wilks

Note : j’ai écrit le post en français et en anglais parce que notre groupe est à moitié français, moitié anglais.