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L’integration des immigrés

L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a publié une nouvelle étude pour mesurer ce qui est toujours problématique dans la politique française — l’intégration des immigrés. L’OCDE a crée ce document pour analyser les conditions des immigrés (et aussi de leurs enfants) dans les 34 pays membres, y compris la France. Comme Georges Lema ître dit: “Elle n’est jamais complètement à la traîne, mais jamais en tête du peloton non plus.”

Les conclusions incluent beaucoup de criticismes de l’Hexagone. Sur l’éducation et l’emploi, les immigrés sont énormément désavantagés. Sur le logement et l’accès aux soins, la France est supérieure à la plupart d’autres membres. Cette division entres les services que l’Etat fournit pour les immigrés, toute une partie de ses efforts à les intégrer, indique qu’il y a beaucoup d’espace pour l’amélioration de la politique sur cet sujet. Si la France veuille vraiment unifier sa population sur une identité française, elle aura besoin de considérer les intérêts de ces individus dans son approche à la société civile. Elle ne peut plus ignorer le fait que les immigrés tiennent un grand pouvoir dans la France d’aujourd’hui. Les statistiques sur l’éducation son représentatif d’une attitude désintéressé du gouvernement, mais la France continue à changer. Au présent, c’est impossible à penser du pays sans ces immigrés. En même temps, c’est encore acceptable à les abandonner quand on considère la politique et maintenant ceci est un de les plus grands problèmes de la France.

L’article: http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/12/03/la-france-integre-avec-difficulte-ses-populations-d-immigres_1799052_3244.html

L’identité et les etiquettes dans Black Bazar

L’idée d’étiquettes et de l’identité est très importante en Black Bazar. Chaque personnage est décrit dans des termes inhabituels et explicite basé sur une caractéristique déterminante de la communauté bazar.

Mabanckou renverse la façon dont les Noirs en Afrique de l’Ouest ont été identifiés par des traits visibles ou générale. Ils n’ont pas été considérés comme des personnes, mais comme une couleur de peau (page 65). Il se moque avec Couleur d’origine, Roger le Franco-Ivoirien, l’Arabe du coin, etc

Fessologue est différent. Il est nommé par ce qu’il fait, et non pas ce qui il est. C’est ainsi que les blancs étaient considérés par leur profession et non pas simplement leur couleur de peau. Cependant, il renverse à nouveau la dynamique et objective blancs, en particulier les femmes, et les réduit à leur apparence.

Mais Black Bazar est aussi un rejet de l’identité française comme homogène. Mabanckou met beaucoup d’efforts dans la création d’un monde qui n’est pas français. Le bar où Fessologue va boire n’est pas un café typique, ni avoir un nom français. Ses amis ne sont pas français. Ses idées ne sont pas français et sa vie n’est pas français.

Le but de cela est pour créer pour l’audience une communauté qui n’est pas français à Paris, qui est considérée comme le centre de la culture francophone. Pourtant, cette idée masque les communautés là-bas qui ne vivent pas dans les moyens que nous pourrions imaginer. Il diminue leurs histoires et leurs expériences en place d’un idéal français. Mabanckou utilise l’identité de ce roman à rejeter cette notion pour mettre en évidence les récits de véritables communautés, y compris leurs cultures, leur complexité et leur diversité.