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L’extrême droite et le “racisme anti-blanc”

 

J’ai trouvé un article dans Le Monde qui est très intéressante compte tenue des thèmes de racisme et immigration qu’ont a exploré jusqu’à maintenant dans la classe, surtout en parlant de Diome et du livre du Prof. Dubois. L’article s’agit d’une technique utilisé par les politiciens de l’extrême droit en France: celle d’appeler les gens de couler “anti-blancs” – c’est à dire une espèce de racisme à l’envers. Le politicien nommée dans l’article est Le Pen, qu’ont à déjà discuté en classe, et qui est aussi nommé dans le livre du Prof. Dubois. Cette rhétorique est un outil pour discréditer les efforts des organisations contre le racisme, comme par exemple SOS racisme. Je suis d’accord avec le ton de désapprobation de article; selon moi cette argumentation de racisme à l’envers va seulement augmenter l’écart entre les citoyens blancs (aussi connais comme “Français de souche”) et les personnes de couler en France. Une image comme cette ici (dans l’article Le Monde):

va seulement créer tension, aggraver l’antagonisme dans les banlieues. Les efforts d’assimilation vont être encore plus difficiles avec cette conflit.

Quand même, cette idée de racisme à l’envers n’est pas nouvelle. Ici aux États-Unis on l’entends aussi, surtout dans les critiques de “affirmative action.” Au même temps, je ne pense pas que ici on associe cette idée à l’extrême droite comme en France; peut-être parce que personne n’a fait une campagne active comme Le Pen autours de cette idée.

L’article est ici:

Comment l’extrême droite a fait du « racisme anti-blanc » une arme politique

Sur “Social Inequality and the New Elite”

Alors que, comme Professor Dubois a noté, comme étudiante à Duke je suis une bénéficiaire de ce phénomène et donc je suis à peine impartiale, j’ai trouvé « Social Inequality and the New Elite » d’Alexander Stile un peu trop critique du système américain. C’est peut-être naïf d’assumer que les idéaux d’une méritocratie peuvent toujours être traduits à un vrai égalité d’opportunité, mais l’auteur consacre beaucoup en plus de temps critiquant le ‘nouveau élite’ établi aux États-Unis au lieu d’examiner le système européen avec un œil également discernant. Stile cite Karabel, disant que “I don’t think any advanced democracy is as obsessed with equality of opportunity or as relatively unconcerned with equality of condition. As long as everyone has a chance to compete, we shouldn’t worry about equality. Equality of condition is seen as undesirable, even un-American.” Sans doute c’est vrai; la tradition américaine, c’est de crier “rouge” à la mention le plus petite d’égalité de résultat au lieu d’égalité d’opportunité. Mais je trouve également perturbant, si pas plus, le fait que l’obsession française avec la sphère privée et l’identité français avant tout signifie qu’il est illégal pour le gouvernement de ramasser de l’information sur la race des citoyens, mais “millions of immigrants — and the children and grandchildren of immigrants — fester in slums.” On ne peut pas forcer une conscience collective sur une population : la conception américaine de l’idée du « merit » ne changera jamais, de la société de John Winthrop à celle de Martin Luther King, à celle d’aujourd’hui. Mais l’attente américain d’adresser les attitudes préjugées contre « blacks, women, Hispanics and gays »⎯ et tant d’autres⎯ aux écoles et au main d’œuvre, est un pas dans la bonne direction.