Reading Fatou Diome

As you read Fatou Diome this week, pay attention the ways in which the novel explores the issue of the role of the French language in Senegal, and the way dreams and experiences of migration shape life in the community she depicts. You should also pay attention to the ways in which soccer, vehicled through the global media, shapes identities and hopes within the connected words of France and Senegal. And think about the broader ways in which deeper historical experiences (notably those of the slave trade) are evoked in the novel. (You might want to return to MC Solaar’s song from the beginning of the semester in thinking about this).

Here are some materials that can help you gain a better sense of Fatou Diome as a writer, and of the novel. First, an interview with her during a presentation of the book at a Paris bookstore.

Here is a short biography of Fatou Diome.

Here is an interesting review (in English) of the novel.

Here is an interesting review (in French) of the novel.

What other materials can you find about Diome? What can you learn about her literary and political positions and interventions?

 

19 thoughts on “Reading Fatou Diome”

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  3. Fatou Diome’s novel conveys the complexities behind emigrating from Senegal a former French colony to Paris. I had certain preconceived notions before beginning the novel, particularly the belief that most West African migrants were better off socially and economically when moving from West Africa to settle in the western world. However, Diome’s Belly of the Atlantic paints a more realistic and complicated story of a migrant trapped between two worlds, her Senegalese background and her new life in Paris, and the difficulties that come with integrating the two existences. Also, through Diome’s writing we learn of her personal struggles of being a woman in the paternalistic culture in Senegal and living in France as a second-class citizen.

  4. In reading Fatou Diome’s novel, I was most struck (like many of my classmates, it appears) by Diome’s ability to convey French culture’s role/image to the Senegalese people. It truly seems to be a common misconception by the Senegalese people that if one were able to physically make it to France, it is impossible not to be wealthy. After a long paragraph detailing the ways in which the French live lavishly versus those in Senegal, the narrator concludes, “You’d have to be a real idiot to come back from there poor.” By generalizing the ways in which French upper class may live, those in French colonies equate all of France with a high-society, luxurious lifestyle. France then becomes a symbol of a sort of promise land, becoming the ultimate dream for the people living in French territory. If this dream is ever achieved, however, they quickly come to find that living in France as an emigrate is not at all the picture they have painted. The way in which Diome tells this story through Salie, Madické, soccer, and the other characters in the book really nails this message across to me while I am reading.

  5. Quand je cherchais Fatou Diome sur Wikipédia, j’ai aperçu que son article était “part of a series on feminism”: http://en.wikipedia.org/wiki/Fatou_Diome
    Je la considère comme écrivaine surtout, mais je peux comprendre comment elle est feministe aussi. L’idée du féminisme est soulevé plusieurs fois dans “Le Ventre de l’Atlantique,” particulièrement quand Diome parle de la sous-développement de Sénégal. Malgré son amour de son pays, elle reconnaît qu’il y a de grands problèmes avec le traitement des femmes et les droits en matière de reproduction. Le professeur Ndétare dit, “Nul besoin de faire des mathématiques supérieurs pour comprendre que plus il y a de gens, moins grande sera le part de pain à partager” (p. 79). Dans les pays sous-développées comme Sénégal, les enfants sont considérés comme une forme de richesse et les femmes sont encouragées d’en avoir autant que possible. Mais en réalité, ils contribuent plutôt à la pauvrété. “La pilule” et d’autres methodes de contraception sont complètements inconnus aux femmes, parce que leur seul rôle dans la société est d’avoir des enfants et s’occuper de leurs familles. Il y a des traditions culturelles fort respectées, comme la polygamie, les liens entre les femmes qui avaient donné naissance, et l’importance d’avoir un fils qui peut continuer la ligne de la famille, qui contribuent à la surpopulation et, par conséquent, la sous-développement. Diome, et sa narratrice Salie, ont une position intéressante, d’être des femmes Sénégalaises, mais qui vivent dans un autre pays (et un autre culture), seules, sans homme. Avec cette distance, ils peuvent voir comment les idéals de leur pays sont dépassés et même nocifs. Certes, elles aiment beaucoup leur pays d’origine et sont fières d’être Sénégalaises, mails elles reconnaissent qu’il y a des traditions qui doivent être arrêtées pour le bien de la société.

  6. J’ai trouvé cet entretien avec Fatou Diome dans lequel elle parle du Ventre de l’Atlantique et comment ce roman est un peu autobiographique.

    http://www.dailymotion.com/video/xf96q0_interview-de-fatou-diome_news

    Une chose qu’elle dit, “qu’on se marie au français, on se marie la France aussi.” On voit dans le livre que les Sénégalaises sont déjà amoureux de la France, c’est le paradis. Mais il semble qu’elle est possible d’aimer la France plus. Il est interessant parce que dans l’histoire on voit que les vies des immigrés ne vont pas très bien. Ils prennent n’importe quel boulot et ne mènent pas de vies luxueux. Elle est un exemple que la vie peut améliorer. Je me demande si les gens qui rentrent au Sénégal restent amoureux de la France.

    Elle parle aussi du racisme et le racisme dont elle était victime. Elle dit qu’elle n’aime pas quand quelqu’un dit, “Je n’aime pas les étrangers, mais, toi, tu es différente. j’aime toi.” Elle dit, “C’est le racism le plus terrible. Quand quelqu’un dit ça, il a l’impression de vous élir.” Je pense que tout racisme a un peu de supériorité, mais je suis d’accord avec elle. Il est bien plus difficile d’ignorer quelqu’un qui si évidement croit qu’il est mieux que vous.

  7. En lisant ce que mes camarades de classe ont écrit, je trouvais très intéressant le comment de Maria au-dessus qui dit qu’on « peut comparer le rêve américain au rêve français que ces sénégalais semblent tenir » parce que c’est une grande similarité dont j’avais pensée aussi. Je suis bien d’accord avec l’anologie qu’elle a suggerée entre le rêve américain (en particulier pour tous les immigrés du 19 e siècle) et le rêve français, comme celui que Salie et Madické veut atteindre dans ce roman. Ce thème se trouve aussi dans le poste de Suvam, qui a parlé de ses propres expériences avec l’immigration et la via après avoir immigrée. Pourtant, même que les dépits qu’on lit des vies des immigrés exprime le désespoir pour les réalités et pour l’avenir, je voudrais penser (car c’est difficile de dire « je pense » maintenant) que l’histoire américain présage des bons deloppments pour l’immigration en France aussi. C’est-à-dire, il y a un ou deux centaines, les gens qui sont venus aux Etats-Unis ont affronté beaucoup de racisme et moins de réussite que rêvé, mais aujourd’hui, notre société est plus acceptante de différences raciales et culturelles. Malgré que les situations semblent lugubres maintenant pour les immigrés sénéglais qui n’atteint pas leurs rêves en France, c’est possible que comme ici, la France deviendra plus favorable pour eux dans l’avenir. On peut toujours espèrer.

  8. Au fil du livre “Le Ventre de l’Atlantique”, Fatou Diome inclut plusieurs personnages qui ont émigrés de Sénégal aux pays européens. Ce que j’ai trouvé intéressant en lisant le livre était la condition émotionnelle des personnes qui ont quitté leur pays natal. Une citation en particulier qui montre une réaction frappante est, “Il y a des musiques, des chants, des plats qui vous rappellent soudain votre condition d’exilé, soit parce qu’ils sont trop proches de vos origines, soit parce qu’ils en sont trop éloignés” (36). Cette phrase décrit les sentiments de la narratrice vers les expériences sénégalaises qui la rappellent de ses origines.

    Ce sentiment est intéressant parce que, au Sénégal, les insulaires traitent chaque objet français presque comme un morceau d’or. Si la France est si admirée par les Sénégalais que même leurs marchandises sont sacrées, pourquoi une femme sénégalaise habitant en France sentirait-elle mélancolie en écoutant un chanson de son enfance? Je pense que la réponse à ce question peut être expliquer avec une idée dont on a parlé pendant mon cours des études comparatives internationales (ICS). Cette idée est que les citoyens des pays européens qui ont les origines africaines ont une sorte de “double-consciousness”. Ça veut dire que les européens- ou américains-africains ont une idée “noire” de soi-même, et à la fois, une idée européenne ou américaine de soi-même. Ce concept est bouleversant à mon avis parce que c’est triste que ces deux identités sont traditionnellement séparées, et qu’elles créent un sentiment d’être “exilé” comme Diome a exprimé dans son livre. J’espère que, dans l’avenir, être noir et être européen ne sentiront pas différents.

  9. En lisant ce livre j’ai trouve interessant le denouement qui est donne a l’histoire. Apres passer son temps a rever de football et d’emigration, le frere de Salie finalement accepte l’argent qu’elle lui envoie et accepte de l’utiliser non pas pour un billet d’avion, mais pour monter un commerce dans sa region, ce qui semble lui reussir plutot bien. Cette vision, quoi que probablement un peu idealiste, a le merite de porter notre attention sur des problemes de developement economique de premiere importance en Afrique et d”y proposer une solution potentielle ou en tout cas une facon d’ameliorer la situation. Fatou Diome illustre en fait ici les resultats de nombreuses recherches d’economistes et organismes tels que World Bank et FMI qui bien souvent parviennent a la conclusion que, du a des corruptions au niveau du gouvernement et un manque de coordination generale, ce sont par des initiatives a l’echelle du village que nous pouvons commencer a mettre l’Afrique sur la voie du developement.

  10. « Le piège des artistes Africaines »

    Comme Melissa, je l’ai trouvé intéressant que Fatou Diome a rejeté la notion que les auteurs Africains sont obligés d’écrire sur l’Afrique ou le racisme. Surtout, j’étais frappé par son choix de mots en le décrivant comme « Le piège des artistes Africaines, » comme si cette mentalité est un puits dans lequel on tombe. L’image littérale est un peu drôle, mais l’idée que les artistes et intellectuels Africains sentent une pression de rester dans le domaine de la race et leur négritude est concernant.

    D’où viens cette pression ? Je considère seulement deux sources. Peut-être les autres dans les cercles intellectuelles qui les juge et les emploie, s’attendent des artistes africaines seulement les histoires de la race. Ils supposent que la caractéristique que définissent les artistes noirs est leur négritude, et alors le voient comme le «valeur intellectuel » de ces artistes.

    De l’autre coté, il est possible qu’une partie de cette pression vienne des autres africaines. Peut-être les gens dans les villages Africains ont l’expectation que ceux qui ont gagné une éducation doit le utiliser pour profiter à l’Afrique. En addition, il y a l’idée que les expatries ne doivent jamais « oublier » leur culture natale. Cette philosophie est apparente dans Le Ventre de L’Atlantique quand Moussa, la jouer de foot raté, lit la lettre de son père, qui le dit que son devoir n’est pas suivre des rêves, mais soutenir la famille avec argent et travaille.

  11. Dans Le Ventre de l’Atlantique, nous suivons un narrateur qui reflète curieusement la vie de l’auteur, Fatou Diome. Salie, intelligent et plein d’esprit, ne veut pas écraser les rêves de son frère, mais elle sait que échapper Sénégal pour la France n’est pas la solution pour lui, surtout pas avec le football et l’immigration illégale. Elle a trouvé son chemin à travers le mariage et l’éducation, et elle comprend bien la difficulté de lui convaincre de son opinion au sujet de cela, surtout quand elle semble être très bien et prospère en France.

    En fait, tout les personnages qui quittent Sénégal semblent avoir bien fait en France, mais peut-être qu’ils ont supporté beaucoup d’épreuves. Salie n’est pas une exception. Elle est né un exclus comme un enfant illégitime, elle a épousé un homme français et a été un exclus dans sa famille immédiatement. Ceci étant le cas, elle avait de meilleures raisons pour échapper Sénégal que d’autres qui sont plus intégrés dans la communauté soudée. En France, elle a été considéré un exclus comme une femme immigrante, et elle est toujours considéré comme une «autre» à son retour à Sénégal. Dans l’article que mon camarade de classe, Julia, a trouvé, nous voyons que Diome aussi cherche une validation et de la reconnaissance de ses luttes et ses triomphes, mais même sa grand-mère ne comprend pas le succès de ce livre en disant « stories are something you tell, not write». Ce livre montre vraiment la nature de l’exil vécu de l’intérieur et de l’extérieur.

    Une chose à quoi je n’arrêtais pas de penser c’est comme on peut comparer le rêve américain au rêve français que ces sénégalais semblent tenir. Est-il-le même? Est-ce qu’on pourrait également l’appeler le rêve de l’exclus, les aspirations de ceux qui sent que la vie se passe ailleurs, sans eux?

    http://www.independent.co.uk/arts-entertainment/books/reviews/the-belly-of-the-atlantic-by-fatou-diome-trans-ros-schwartz-amp-lulu-norman-418822.html

    Cette source britannique félicite spécialement l’esprit de ce roman très populaire, et il souligne que « Some might contend that the humblest lives can’t turn Africa’s problems around, and that to risk all for a better life abroad among strangers, win or lose, has something noble to it. But Diome seems to argue that only intellectuals like Salie should take the risk. » êtes-vous d’accord ? Acceptez-vous que seuls les gens instruits devraient prendre le risque de l’émigration?

  12. In this book, Diome recognizes the importance of football throughout the world as a symbol of globalization, mobilization and a complicated history of colonization. After being abroad in England and getting the chance to travel throughout Europe, I got to see first hand how important soccer is throughout the world (outside of the US) to people of all economic/social levels. The boys of the island clearly see advancement through soccer as the ideal way to get to France and earn money. Salie’s brother Madické is obsessed with the game, feverishly watching the matches and calling his sister despite the exorbitant fees when the TV is unable to provide the information he needs. As is highlighted every four years with the world cup, soccer is one of the most economical sports and as such is prevalent in many developing nations. It is one of the legacies of colonialism that has stuck in countries and can provide means of mobilization to talented young people. Additionally, it is a way for nations to compete against former colonizers and promote a sense of national pride in places that otherwise may not feel like they have much to celebrate. In the novel, the fact that the boys want to go play for France rather than their own country in the beginning shows the hold that France still has on the dreams of the Senegalese and how France still represents success to the people in Senegal.

  13. http://www.grioo.com/info1151.html

    J’ai trouvé cet entretien avec Fatou Diome qui était très intéressant, particulièrement parce qu’il confirme mon hypothèse que la roman était presque une autobiographie. Quand j’ai lu les faits de sa vie, j’ai trouvé que les similarités étaient trop proches pour être coïncidente. Je pense que c’est ça – la vérité de ce qu’elle parle – qui donne la fraicheur engageant à ce livre.

    La façon dont elle parle me rappelle beaucoup de Salie – son sens de l’humeur, ses avis personnelles, son curiosité pour la vie, et son honnêteté, comme quand elle disait “je déteste cette question et tout le monde me la pose!” C’est génial à voir qu’elle a gardé son passion pour les points de vues culturels, comme quand elle explique ce qu’elle aime lire dans ses temps libres. (C’était aussi amusant à voir qu’elle mentionne Hemingway ici parce qu’elle l’a fait référence quand elle avait parlé de tout ce que M Ndetare l’a donné).

    Pour la plupart, il semble que ses idées sont les mêmes que ceux de Salie – elle avoue qu’elle est une féministe modérée, qui est clair dans le livre selon les choses que Salie dit. En dépit le pouvoir paternel, la grand-mère de Salie reste forte et se transmet ce pouvoir à Salie, pour l’enseigner que les femmes ont de pouvoir aussi – et pas seulement pour leur lait.

  14. I thought there was an interesting contradiction with how the villagers responded to a variety of issues.

    Specifically, it was curious the way the villagers put a particular level of value on all things French, and then later were dismissive of different things you would not suspect given their love for France.

    Even though the young footballers know that “everything desirable comes from France” (32), the village writ large “remains an impenetrable monolithic structure that never digests foreign bodies” (50). The second quote is speaking of Monsieur Ndetare, the intelligent educator exiled to the island by the state.

    Why alienate someone who can provide the knowledge and insights to the youth of the island that can help them to that eventual destination? If Madicke knows that his French speaking is as important as his football skills to making it big, then why doesn’t everyone know?

    A further curiosity is the way that people who have left for France feel pressured to “perform” upon returning. Salie felt the need to go “along with their excessive expectations of people ‘from France'” (38). France is viewed as some pristine destination, so why isn’t everyone learning French to ship off?

  15. Pendant l’interview avec Fatou Diome dans le magasin des livres, Diome a dit une chose en particular qui colle avec moi. Apres elle a repond a des questions, elle a dit que Le Ventre de L’Atlantique est « une chose de la libertie dans le creation… il faut parler de l’Afrique dans une cor relance d’un reflection. C’est pas parce que j’ai un peux de melatonin plus chez moi que chez les autre ».

    Ici elle explique qu’elle a ecrit de l’Afrique parce que ca se interet, pas parce que elle est noire. Il est important qu’un comprît que elle ne faut pas parler seulement de l’Afrique. Elle est une femme libre qui est plus que ca pays de naitre, meme que c’est important. Pendant l’interview il etait evident que sa mode etait francais ; elle porte un foulard, le pinacle de la mode francais.

    Cette sentiment m’a rappelé d’un “Me Too Monologue” que j’ai entendu il y a quelque temps. Les “Me Too Monologues” sont une production dramatique ou les etudiants de Duke ecrit des monologues sur les issues de la race, la culture et la sexualite sur le campus de Duke.

    http://www.youtube.com/watch?v=2MXMNv7n9C0

    Le monologue ci-dessus s’appelle « I Became Black », et est de l’experience d’une femme Duke qui etait une citoyen africaine. Je pense que les sentiments entre Diome et cette femme sont tres similaires.

  16. J’ai trouvé un article de Time qui parle de Fatou Diome.
    http://www.time.com/time/magazine/article/0,9171,901031215-557045,00.html
    Il est évident que Diome comprend les problèmes et les difficultés d’exil à cause de sa propre expérience. Le protagoniste de Le Ventre de l’Atlantique, Salie, est très semblable à Diome. Comme Salie, Diome a décidé d’émigrer et a quitté le Sénégal pour la France. Diome sentait aussi comme un étrangère dans les deux pays. Elle était une fille illégitime dans Sénégal et en France, elle a été confrontée par la discrimination. Diome et Salie, elles se sont épousées à un garçon français mais elles ont été rejetées par la famille de lui. Dans la fin, Diome a trouvé sa place en France avec son écriture, comme Salie a fait aussi.
    Diome comprend que le colonialisme de l’Afrique par la France continue même après la libération. Dans les deux pays, les citoyens démontrent une attitude de supériorité pour la France contre la culture d’Afrique. Dans le roman, les jeunes de Sénégal voient la France comme un pays mythique, et ils veulent s’installer en France aussi vite que possible.

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