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Jacques Vergès, L’avocat de la terreur. «Je défendrais même Bush. Mais, sur la condition qu’il admet son culpabilité. »

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Un avocat notoire et le plus controversé en France pour son radicalisme et nationalisme anticoloniste, il défend beaucoup des criminels et « terroristes ». Jacques Vergès, lui-même un produit de colonialisme français, il est né au diplomate français et une mère vietnamienne. Après son service dans les Forces Françaises Libres contre les Nazis, il a étude la loi à L’Université de Paris. Là, il a joint une association des étudiants anticolonialisme.

« L’avocat de la terreur » est un film documentaire superbe (avec beaucoup d’attention á Cannes) qui explore son vie et l’utile politique de violence. Jacques Vergès est brillant et arrogant sans regret (Il a écrit un seul homme pièce de théâtre abord son vie et une autobiographie). Dans le nom de justice, il a argué qui le terrorisme est une réaction contre les crimes d’humanité des impérialistes. Pour Vergès, Barbie est un homme qui est coupable des mêmes crimes de français en Algérie et l’Afrique colonisé.

Je trouve une interview avec lui où nous voyons son but que les morts des Khmer Rouge sont la faute d’embargo d’États-Unis et Henry Kissinger. Il argue que la plupart des morts est parce que la pauvreté et famine, un effet d’exploitation des impérialistes et les régulations économiques imposés.

Interview avec Vergès

Dans le procès pour Klaus Barbie, une Nazie gestapo et « Le Boucher de Lyon », il dit qu’il a le génie « d’un quarantième des avocats » qui ont représenté la communauté  international. Il est très connu pour son “defense de rupture”. Il accuse l’opposition avec les mêmes crimes contre humanité de ses clients (les terroristes). Il dit dans son défense, « Vous êtes d’occupants. Je suis une patriote. »

Un fait intéressant. Il a arrêté l’exécution de Djamila Bouhired, une nationaliste algérienne qui est dans Le Battre d’Algiers et d’une femme qui a bombé le café des civils. Apres sa liberté, il l’a épousé. Il a devenu un citoyen algérien et un musulman. Ensemble, ils ont créés le magazine Révolution Africaine, pour les mouvements Afrique du nationalisme. Ses autres clients : Yassar Arafat, Waddi Haddam (le « grand-père de terrorisme contemporain », Français Genoud (sympathie avec les Nazis et un financier), Carlos le Jackal (un « terroriste » vénézuélien pour la libération de Palestine), Ayatollah Khomeini (un leader suprême d’Iran), et Khieu Samphan (un leader dans Khmer Rouge).

Bande Annonce de L’avocat de la terreur

Qu’est-ce que vous pensez? Sont les démocraties durables établissent seulement avec les actes de violence (ou le terrorisme) contre « les occupants » et les régimes oppressifs ? Êtes-vous en accord avec la logique de Vergès ?

La France Mondiale?

Aujourd’hui j’ai lu un article fascinant dans le New York Times.  Cet article décrit la visite de Sarkozy à Rwanda.  Avec cette visite Sarkozy a essayé de renouer les relations avec Rwanda.  Leur relation a été détruite à cause du rôle de la France dans le génocide.  En revanche, l’article cite une autre motivation pour cette visite, « Mr. Sarkozy’s African tour has been seen as an effort to revive French influence on the continent.»  En lisant cette phrase je me suis réfléchi à l’influence de France en Afrique, et aussi la nature de cette influence dans l’avenir.  Est-ce qu’on trouvera que quelques pays en Afrique deviendront de plus en plus éloignés de la culture Française?  Il est possible que la France ait peur de perdre leur influence mondiale, surtout en Afrique.  De plus, comment est-ce qu’on peut définir le rôle de la France au Rwanda, une ancienne colonie de la Belgique, ou il y a une influence de la culture française, mais pas une relation directe ou définie?

Le Rara et la politique

The band was paid to advertise for President Duvalier.

Je pense que la photo reflète la vraie raison pour l’introduction de la musique de Rara dans la culture caribéenne.  La Rara reflète la culture caribéenne mais aussi la politique est vraiment importantes dans la musique de Rara.  Le président Duvalier a payé la bande de jouer comme une publicité.

La majorité de la public peut se rapporte a les joueurs de Rara plus qu’ils peuvent se rapporte a le gouvernement.  Donc, le gouvernement peut se connecter au public par la musique de Rara.  Ceci souligne la localité de la musique de Rara.  C’est lointain du gouvernement.

J’ai trouvé un article demain et je pense que l’article explique l’usage de Rara comme un déclaration politique, comme nous avons discuté aujourd’hui en classe.

L’article avec la photo décrit une situation ou l’auteur a regardé une Rara ou le gouvernement a intervenu.  Ca m’intéresse parce que cette situation reflète la controverse avec la Rara.  Le gouvernement ne comprends pas les mots alors quand il ne comprend pas il suppose que les musiciens critiquent le gouvernement.  Donc, il y a une forme de Rara « secret ».  C’est similaire de la création de la langue de créole parce que les esclaves avaient besoin d’un mode de communication dont les maitres ne pouvaient pas comprendre.  La musique est une forme de manifestation contre le gouvernement ; c’est une déclaration politique.

(L’article est en anglais et en français.)

La France et toute sa gloire

J’ai trouvé cet article – qui fait effectivement partie d’une grande collection d’articles sur la France sur CNN – et je le mets sur le blog parce que je pense que c’est très pertinent du cours en générale.  Quelques années après les jours de gloire pour la France et son empire, qui a bien touché bien le monde entier, la France cherche toujours de propager sa culture.  Il est intéressant de noter ces moyens uniques qu’emploie la France : elle ne cherche plus à conquérir des pays, mais elle étend son influence par des moyens tout à fait différents – c’est-à-dire, on dépense 1.4 milliard de dollars chaque année pour promouvoir la langue et la culture françaises.  À propos de notre sujet actuel, cet article souligne la différence entre la France et ses anciennes colonies, surtout en ce qui concerne la langue.  Bien que les anciennes colonies de la France parlent français (et surtout créole), la France veut toujours avoir une langue qui est uniquement et purement française.

Voilà l’article:  The business of exporting Frenchness

Voilà la collection: iList 2010 – France

La tragédie vue par des enfants

Pierre Louis Richardson/Zanmi Lakay Photography Workshop

Aujourd’hui dans le New York Times j’ai lu un article qui décrit un projet dans lequel 28 citoyens de Haïti entre 9 et 18 ans ont essayé de capturer la tragédie en utilisant des appareils photos.  D’un côté, je crois que c’est fascinant et important de donner les outils aux jeunes d’exprimer leur point de vue.  En revanche, les gens qui ont organisé ce mouvement sont des gens de l’Occident ainsi on doit considérer si quelques enfants ont essayé de capturer les éléments pour faire plaisir au public de l’Occident—un type de tourisme de la misère (comme les  Slum Tours en Inde). Ce n’est pas un mouvement nouveau, il y a beaucoup de programmes qui encouragent l’éducation à travers la photographie.  C’est seulement qu’ici on a une situation beaucoup plus sensible dans laquelle tout le monde est tourné vers les images produites par ce pays dans la crise.  Si vous voulez lire plus ou voir les photos de ces enfants qui sont très émouvants : Blog

The Poet President: Leopold Senghor

At the bottom of the well of my memory, I touch your face
And draw water to quench my long regret.
You recline royally, elbow on a cushion of clear hillside.
Your bed presses the earth, softening the drums in the wetlands,
Beating your song, and your verse
Is the breath of night and the distant sea.

-Leopold Senghor (“Letter to a Poet: To Aimé Césaire”) **Translated by Melvin Dixon

Aimé Césaire and Leopold Senghor

In the interview with Aimé Césaire that we watched for Thursday’s class, the poet describes the first friend he made when he moved to France as a young man, a “short but well built” fellow with “thick glasses and a gray jacket.” It was Leopold Senghor, a Senegalese man who would soon rack up a dizzying and improbable list of achievements, becoming a world-renowned poet, the first president of Senegal, and the first black member of the Académie Française—a kind of George Washington meets Robert Frost meets W.E.B. Dubois in coastal West Africa.

But that pivotal day in 1931 he, like Césaire, was simply a talented student had come to Paris by way of a French colony to be educated. As young black men in Paris in the 1930s, straddling the strange cultural line between their homelands and metropolitan France, Césaire and Senghor became fast friends. Both were founding writers for L’Etudiant Noir, a newspaper that brought together the writing of students from across the African Diaspora. From amidst this dialogue on the black experience emerged a new idea, that of negritude. At its core, negritude represented a celebration of a transnational black identity in opposition to the racism of French colonialism, and it quickly colored the writing of both Césaire and Senghor.

But like Césaire, Senghor developed aspirations beyond the bounds of poetry. In the aftershock of World War II—a war in which he had fought for the French—Senghor was part of the call for increased autonomy reverberating across the French colonial world and soon became one of Senegal’s first black representatives to the French National Assembly.

This positioned him to become one of the leading political figures in Senegal, and when French West Africa became independent in 1960, he ascended to the role of president (although for his entire life he would remain steadfast in his belief that Senegal and France should remain closely tied). Senghor cut an unlikely figure for a Senegalese head of state. He was a Catholic in a 95% Muslim nation, a member of a minority ethnic group, and a man who had spent much of his adult life in France. But he was also a skilled negotiator and a shrewd political thinker, and he would go on to serve for 20 years before becoming one of the first African politicians to voluntarily cede power to a democratically elected opponent (even if in Senghor’s case it was a hand-chosen successor from within his own political party…but that’s another story).

Anyway, in the context of our study of Césaire, I thought others in the class might like to hear a little about another of the negritude poets to see how Senghor’s life path intersected with—as well as diverged from—his. And Senghor just cuts a fascinating figure in his own right.

Plus, you have to admit, this is a pretty spectacular hat: