In contrast to the movement for independence in Algeria that we have been studying, this movement in Tunisia was largely nonviolent, despite violence directed against it by the Tunisian state. As many commentators have noted, social media played an important role in the development and expansion of the uprising. This New York Times piece does a nice job of summarizing both the early moments of Tunisia’s uprising and the role that Facebook and Youtube played in it.
Can you find other material about the history of the revolt in Tunisia? Can you locate facebook sites, youtube videos, or twitter streams that are providing updates about the situation in post-election Tunisia?
Il est interessant que malgré que’il semble que la situation ameliore en Tunisie, le mouvement a quand même provoqué d’immigration coûte que coûte. Ils prenent des petits bateaux et essaient de traverser la mediterranée. Est-ce qu’ils n’ont plus d’espoir pour la Tunisie en dépit des mouvements?
Cet article de BBC du même sujet appelle ces immigrés “ecomonic migrants, seizing the moment, riding a current of freedom”.
http://www.bbc.co.uk/news/world-europe-14103752
Nous avons touché ce sujet un peu en classe, mais, cet été j’ai vu un émission sur BBC qui décrivait le problème d’immigration d’Afrique à l’Europe. Il parlait des immigrés Tunisiens qui essayait d’aller en Europe via Lampedusa, une petit île italienne près du côte Tunisien. Les citoyens ont beaucoup protesté l’arrivée des immigrés et finalement les immigrés étaient amenés à Paris. Est-ce que la France a une résponsabilité d’accepter ces gens? Comment Paris se debrouille l’arrivée de milles des gens?
J’étais curieuse s’il y avait de la couverture des révoltes tunisiennes sur les sites populaires outre de Facebook, Twitter, et Youtube, alors j’essayais de la chercher. J’ai trouvé un site sur « tumblr » qui est une grande collection des liens et d’information sur les évènements qui se sont passés en Tunisie : http://npr.tumblr.com/post/2732225652/curating-social-media-from-tunisias-jasmine-revolt. C’est une collection vraiment impressive, avec les actualités, les Tweets, les vidéos montrant la violence contre les manifestants, et beaucoup plus.
Quelque chose qui m’a particulièrement frappée est la diversité de langages représentés. Bien sûr, la plupart d’information est en anglais, et c’est naturel parce que les auteurs et la majorité des lecteurs de ses blogs parle l’anglais. Mais en lisant plus de postes, je trouvais quelques en français et même en arabe aussi, pourtant cela ne m’a pas choquée parce que ses deux langues sont utilisés fréquemment en Tunisie. Cependant, cette idée m’a rappelée un peu d’un poste intéressant par Dan (http://sites.duke.edu/globalfrance/2011/10/30/sur-la-langue-africaine/) et je me demandais si dans l’avenir, l’anglais pourra commencer à remplacer le français comme langue populaire dans des anciennes colonies.
Par curiosité, j’ai visité quelques liens sur le page, et celui-ci en particulier était très frappant pour moi à cause des images très graphiques : http://on.fb.me/ul4Q11 (C’est un page de Facebook mais en arabe, alors l’adresse URL devienne trop longue alors je l’ai convertie, désolé.) Même sans savant pas si les gens dépits ont choisi de se brûler pour manifester / se suicider / peut-être commémorer Mohamed Bouazizi, ou si leurs conditions sont à cause des autorités, c’est un rappel fort des manifestations sanglantes.
J’ai trouvé aussi l’article suivant, qui dit que les autorités en Tunisie (spécifiquement, Tunisian Internet Agency) ont censé les sites aidant les révoltes. Bien sûr, c’est la même situation dans les autres pays, incluant la Chine et la Russie, mais lisant ce fait exemplifie ce que la lecture par Tahar Ben Jelloun dit en ce qui concerne les mesures du gouvernement pour oppresser les opposants. http://latimesblogs.latimes.com/technology/2011/01/tunisia-students-using-facebook-and-twitter-to-organize.html
Pour une perspective sur un autre type du média qui était intégral dans le printemps arabe… Le blog MideastYouth.com était un des premiers blogs crée par des jeunes arabes sur le printemps arabe, et il a agrandi beaucoup pendant l’année suivant. L’usage des blogs en Tunisie et des autres pays en révolte était nouveau, peut être plus que le Facebook et le Twitter. J’ai entendu des interviews avec les créateurs de MideastYouth et ils ont dit que il y avait des instances ou leurs avis et les postes sur le site ont les mis en danger. Le premier page du site maintenant présent un article politique sur les élections récent en Tunisie pour leur assemblé. On trouve cet blog ici : http://www.mideastyouth.com
While looking up the recent Tunisian elections, I found a great page on the New York Times blog that looks at a protest that erupted after the elections because of a local voting issue. What is interesting is the article emphasizes this protest has little to due with the national election’s outcome and more to do with the election process itself. Since this is the first time in decades that voters are able to speak their mind through their ballot there is a great deal of importance associated with the electoral process itself.
http://thelede.blogs.nytimes.com/2011/10/28/protests-turn-violent-in-tunisian-town-that-sparked-the-arab-spring/?scp=4&sq=tunisia&st=cse
The BBC also did an excellent job covering the elections and the response by the population once it became clear that a modern Islamist group Ennahda had won. This article emphasizes that the voters who were drawn to this party were attracted to the party’s promise of honesty and message of public trust. The photo gallery that was linked to the article has a couple of interesting shots of election day with the lines of people waiting to cast their votes and the streets of Tunisia.
http://www.bbc.co.uk/news/world-africa-15462198
http://www.bbc.co.uk/news/world-africa-15421526
Lastly, when I was looking at the BBC’s country profile of Tunisia to get a basic history of the country there was an article linked to the page about their national soccer team. Written today the headline is “Tunisia hope to ‘profit’ from revolution at Nations Cup.” The article goes on to talk about the Tunisian football team and their upcoming matches. Due to our last discussion in class about how all things end in football, I thought it was fitting to end my post with the link.
http://news.bbc.co.uk/sport2/hi/football/15555999.stm
J’ai trouvé un autre article de New York Times qui donne une histoire compréhensive aux lecteurs de la situation en Tunisie.
http://topics.nytimes.com/top/news/international/countriesandterritories/tunisia/index.html
Ce qui est intéressant, c’est comment l’article commence. « For years, Tunisia was known mostly as the most European country of North Africa, with a relatively large middle class, liberal social norms, broad gender equality and welcoming Mediterranean beaches.” C’est difficile pour moi à comprendre que l Tunisie avait les grands chiffres de chômage, de l’émigration, et des troubles sociaux sans la connaissance des autres pays occidentaux. Les pays européen et les Etats-Unis, ils ont démontré l’ignorance en référence à cette situation.
En plus, l’article parle du rôle des medias sociaux dans la révolte. « A remarkable two-year collaboration gave birth to a new force in the Arab world — a pan-Arab youth movement dedicated to spreading democracy in a region without it.” Les jeunes ont utilisé Facebook et Twitter comme outils pour partager l’information. Ils peuvent unifier le monde Arabe, et en même temps ils créent des liens avec des autres Arabes à travers le Moyen-Orient. Les medias sociaux sont devenue une manière de concentrer les efforts des Arabes pour obtenir la démocratie.
My senior year course in Advanced European History heavily focused on the events that instigated the Arab Spring. My teacher presented our class with this striking video which highlights the motivations and goals behind this tumultuous period. I find it interesting how similar the trigger of the Arab Spring in Tunisia (the beating/public humiliation of Mohamed Bouazizi) is to the trigger of the 2005 riots in France. Hopefully you all enjoy this video as much as I did.
http://www.youtube.com/watch?v=y6S8iQ5KSkU
Apres je commence, je veux dire que je ne suis pas “une personne de Twitter”. Je n’ai pas un Twitter, et je ne “tweet” pas. Donc, j’ai commencé ma recherche sur les mises à jour sur les blogs de la situation en Tunisie. Première, j’ai trouvé une site de Nchoof, un contrôle citoyen des élections tunisiennes – http://printempsarabe.blog.lemonde.fr/.
L’idée d’un control citoyen est très puissante. Sur l’internet, on peut être ce qui nous sommes, parce que personne n’était peur d’avoir des ennuis avec le gouvernement. En lisant l’article, j’ai lit qu’il a un “hashtag” sur Twitter. Donc, avec curiosité, j’ai ouvert Twitter et chercher #nchoof. Ici etait le lien –
http://twitter.com/#!/search/%23nchoof.
Tout de suite, beaucoup de “tweets” par de peuple ruisselle. Plus en plus, j’ai cherché des autres mots ; #TNElec et #PrintempsArabe. Ici sont certains de mes favoris –
“Le lexique de la liberté”
“Le Peuple a accompli son devoir citoyen ms dirigeants ont manqué aux leurs & les observateurs applaudissent”
“Ceux qui ferment les yeux sure les fraudes sont complices!”
“Large protests in #SidiNouzid #roadblocks tires burning. People shouting “the revolution is ours and you can’t take it from us”
“There was a deep feeling of taking part in a historical event for #Tunisia”
Avec Twitter et les autres sites de media sociaux, les mouvements sociaux et révolutionnaires ont une nouvelle tournure. Il est un forum pour les personnes intérêt surtout le monde. L’esprit du mouvement est un cliquet loin. Ce sentiment de connexité est nouveau et très excitant.
C’est vrai que la révolte en Tunisie était facilitée par le media comme Facebook et Twitter, mais le rôle du media n’était pas exclusivement de faciliter. Cet article sur un blog de Reuters discute comment la démocratisation est plus en ligne avec les relations sociales que la politique. http://blogs.reuters.com/great-debate/2011/02/16/digital-media-and-the-arab-spring/ En fait, les technologies comme Facebook et Twitter peuvent deviner les véhicules du change démocratique, en particulier aux pays qui veulent faire une transition à la démocratie. Il y a un usage similaire de la technologie aux États Unis dans la situation du Occupy Wall Street. La comparaison entre la révolte en Tunisie et le mouvement du Occupy dans cet article sur Wired est très intéressante. http://www.wired.com/epicenter/2011/10/arab-spring-on-the-hudson/all/1