La Polygamie et la dette

Ce qui m’intéressait le plus en classe hier était notre conversation au sujet de la polygamie, un sujet important dans Le Ventre de l’Atlantique. C’est clair qu’il existe des conceptions différentes de cette coutume ; est-ce que la polygamie contribue au sous-développement des anciennes colonies, ou est-ce que la polygamie est incomprise par les Européens ? La classe hier m’a montré que toutes les deux opinions sont valables. Bien sûr, on ne peut pas contester que la polygamie est un habitude très financièrement onéreuse—elle a la capacité de créer beaucoup de dette parce qu’on doit soutenir toutes ses femmes et tous ses enfants. En même temps, on ne peut pas écarter les coutumes des autres peuples seulement à cause du fait qu’elles sont inconnues ou différentes.

Je trouve la relation entre la polygamie et la dette très intéressant parce que la dette est un thème essentiel dans le roman. Il semble que la majorité de personnages dans le livre ont des dettes et ils comptent beaucoup sur les membres de leur famille qui travaillent en Europe. J’imagine que les émigrés ont les luttes intérieures ; d’un côté, les émigrés veulent soutenir leur famille mais de l’autre ils veulent utiliser l’argent d’améliorer leurs propres vies. Ce conflit est particulièrement difficile parce que la plupart d’émigrés ne reçoivent pas des salaires grands en Europe. Bien que les émigrés soient riches comparés aux Africains pauvres, ils n’ont pas beaucoup d’argent dans le contexte de la société européenne. Je pense que c’est plus bénéfique pour les émigrés d’envoyer une partie de leur argent en Afrique, mais seulement si les Africains utilisent l’argent pour créer de l’emploi pour le peuple (je crois que c’est similaire à quelque chose M. Bernard a dit). Il faut qu’on n’utilise pas cette aide pour acheter les objets ; l’achat des objets ne réduit pas la pauvreté perpétuelle qui existe.