Quelques réflexions

Après avoir lu les articles pour cette semaine, j’ai été très intéressé avec la phrase laide « l’impôt du sang. » Je n’ai pas étudié beaucoup d’histoire ou la politique, ni bien, donc, j’essaie de trouver plus sur ce sujet. Dans la citation, « La France coloniale avait apporté aux Africains les lumière de la civilisation et prétendait solder cette dette en prélevant l’impôt du sang. » Les mots lumière et dette invoque un ton du sarcasme ; c’est bizarre de supposer qu’un pays envahit un autre, et le subordonné doit à son colonisateur  D’être une colonie de France étaient regardaient par les français comme un honneur.

Race and war in France: colonial subjects in the French army, 1914-1918 par Richard Standish Fogarty m’a introduit à plus, particulièrement pages 15 et 25:

 

Finalement, après la classe de Mardi, j’ai lu plus sur le sujet dont j’ai posé quelques questions à Philippe Bernard à propos de l’influence de la politique sénégalaise sur le désir des citoyens de s’enfuir. Ce que Philippe Bernard a constaté, que le fait que tout le monde veut quitter le pays monte un échec politique me frappe beaucoup.

Dans un article que j’ai trouvé sur le site de Duke Library, Dr Elhadji Mounirou Ndiaye prononce l’impact de la politique sur l’économie sénégalaise :

« L’impact de la politique sur l’économie est compréhensible dans une certaine mesure. La satisfaction de la clientèle politique infléchit la rationalité des dirigeants élus, dont les choix servent aussi des objectifs de réélection. Il s’agit alors d’un mal nécessaire, puisque l’individu est, de toute façon, le point d’amorce de la satisfaction de l’intérêt général. »

 

 

2 thoughts on “Quelques réflexions”

  1. Les thèmes souligné par Allie, d’être toujours étranger et la réussite liée à la France crée un paradoxe pour Salie : quand on part pour joindre la société idéalisée dans les yeux des Sénégalais , on est enviable, mais on devient un étranger, on n’y appartient non plus. En France, c’est difficile à s’intégrer, donc, on devient citoyen, dans un sens social, de nulle part.

  2. Je pense que mon réponse au “Le ventre de l’Atlantique” ont des similarités avec les idées de Sylvia, donc je laisse mon réponse ici…

    Il y a plusieurs thèmes dans « Le Ventre de L’Atlantique, » mais un thème qui me frappe beaucoup est l’idée d’être un étranger aux deux pays au même temps, ton pays natal et le pays dans lequel tu habites. Ça c’est la lutte de Salie dans « Le Ventre de l’Atlantique. » Salie vit comme une étrangère en France ; rejetée à cause du couleur de sa peau et reléguée au confins de la classe des immigrés, elle n’a pas réussi en France comme on s’y attendait. Abandonnée par son mari, sa vie en France évoque un sens d’exil. Pareillement, elle est une interdite dans son pays natal ; elle a peur de retourner au Niodior, parce qu’elle ne peut pas révéler la vraie qualité de sa vie en France. En plus, il y a une expectation qu’elle va amener d’argent ou des cadeaux quand elle revient. Le sens d’exil de Salie est évident au passage ou elle dit : « Pour Madické, vivre dans un pays développé représentait en soi un avantage démesuré que j’avais par rapport à lui, lui qui profitait de sa famille… Comment aurais-je pu lui faire comprendre la solitude de l’exil, mon combat pour la survie et l’état d’alerte permanant ? » Cet thème me rappelle un autre roman Africain « La Voyeuse Interdite, » écrit par une Maghrebine Nina Bourari sur la lutte des immigrés Africains en France.

    Le statut de Salie comme interdite est encore montré par le rapport entre elle et Madické. Comme la plupart des Sénégalaises au Niodior, il envisage la France comme une façon d’échapper la vie dur en Sénégal. Et pour lui, comme des autres, le foot est le véhicule par lequel on peut échapper la misère. Salie fait beaucoup des efforts de convaincre Madické que la France n’est pas la solution. Mais l’insistance de Madické des possibilités en France et avec le foot montre un problème implicite aux pays colonisées au passé: l’exploitation par et le dépendance sur les anciennes colonisateurs (en ce cas, la France). La télévision de l’homme de Barbès représente le pouvoir de l’Occident, en particulier la France, en Sénégal ; tous les objets du prestige viennent de la France dans le roman. Diome dit, « Après la colonisation historiquement reconnue, règne maintenant une sorte de colonisation mentale… À leurs yeux, tout ce qui est enviable vient de France, » pour décrire le situation. Je trouve cette phrase, « le colonisation mentale » très applicable de la situation en Sénégal et au Haïti aussi. Le rapport politique et social entre la France et ses anciennes colonies crée un system d’exploitation et de dépendance qui est vraiment difficile d’éviter.

Comments are closed.