Une société séparée

En lisant Le New York Times le weekend dernier, j’ai lu cet article au sujet de questions (et problèmes) d’intégration en France.  L’intégration, la place des immigrés au sien de la société française et l’affrontement entre l’Islam et la France sont bien sûr des thèmes continus de notre classe, mais cet article en parle d’un autre : le racisme anti-blanc en France.

La Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme s’assure distinguer ce type de discrimination du type confronté aux Arabes et aux noires, mais elle affirme que dans quelques banlieues difficiles, les blancs pauvres sont victimes d’une majorité de non-blancs pauvres.  La position de LICRA intensifie l’antagonisme au centre de la société française.  Un sondage d’IFOP de 25 octobre (le même sondage mentionné dans le poste d’Emily il y a quelques semaines) trouvait que 60% des Français considèrent que l’influence et la visibilité de l’islam en France sont trop importantes, et 68% croient que la non-intégration des musulmans est de leur faute et que le refus des valeurs occidentales, le fanatisme et la soumission sont les mots qui correspondent le mieux à l’idée qu’ils se font de l’islam.

Mais l’article prend ce nouveau type de racisme comme résultat du plus grand problème de l’échec de l’intégration en France et l’incapacité du gouvernement à faire face de manière décisive avec le rôle des musulmans en France.  L’auteur dit « These days, President François Hollande’s actions can be summed up by his statement of contrition about colonial France’s murderous treatment of Algerians. That’s the politics of gesture and routine, balanced out by announcements like one noting that the pace of expulsions of illegal immigrants is now ahead of last year’s ».

Quelles sont les perspectives d’avenir ?  Bien sûr, en ne traçant des lignes claires ou de normes spécifiques pour l’assimilation musulmane, la procrastination du gouvernement français a mis  un poids énorme négatif sur les perspectives de changement.  Il est difficile d’être optimiste quant à charmer un communauté aliénée que, dans certains quartiers, vit sa vie comme une société partiellement parallèle.  Joseph a parlé sous ce poste de Val-de-Reuil et des autres « nouvelles villes » qui ont contribué aux problèmes d’exclusion sociale des immigrés et de discrimination raciale.  Selon l’article, une vaste programme de discrimination positive, avec les quotas clairs d’école et d’insertion en emploi, pourrait fonctionner, mais il faudrait aussi avoir une forme d’assimilation du côté musulman.  La fin d’article cite un ministre de l’Intérieur socialiste qui a dit :  « We know what the cost can be to a democratic society when an economic crisis mixes with a crisis of identity. … It can lead to a rejection — a deep current that carries everyone away ».

3 thoughts on “Une société séparée”

  1. Je trouve qu’il est important de noter que ce texte est un article d’opinion est represente seulement le point de vue du journaliste americain John Vinocur. Bien que le journaliste souligne des problèmes majeure de la sociète francaise, il semble vouloir peindre une image bien sombre du gouvernement socialiste.

  2. Comme pour Stephanie, la discussion de la crise économique et son rapport avec l’assimilation des immigrants en France m’intéressait beaucoup. Non seulement une crise économique arrêterait l’attention politique vers l’assimilation des immigrants comme ceux de Maghreb en France pour faire plus attention aux aspects comme le chômage comme Stephanie dit, mais de plus, la tension entre les immigrants récents et les natives de la France s’aggravera à cause de la crise économique, comme le ministre de l’Intérieur socialiste cité dans l’article dit. Par exemple, en Grèce en ce moment, on voit plus d’attaques racistes à cause de la crise économique, parce qu’il y a des gens qui reprochent les immigrants pour avoir causé la crise (http://www.cbsnews.com/8301-202_162-57549001/greece-faces-increasingly-violent-racist-attacks-as-economic-crisis-lingers/)

    Même aux États-Unis, on voyait cette même tension pendant la récession, où les gens causent les immigrants clandestins pour « avoir pris leur emploi », un argument qui existe dans plusieurs pays. Avec un racisme grandissant vers les immigrants vient le racisme contre les français « de souche » comme l’article décrit. Alors, ce problème n’est pas unique à la France, mais comme Stephanie et l’article disent, c’est important à le reconnaitre en France bientôt et pour réduire le racisme « anti-blanc », il est essentiel de s’occuper du problème sous-jacent, qui est la difficulté ressentie par les immigrants, surtout ceux qui sont musulmans, de s’assimiler en France.

  3. En lisant cet article, ce qui m’a frappé était la discussion de l’avenir des immigrants en France face à une crise économique. L’auteur suggère que la population immigrante va avoir un avenir sombre à cause de la crise. D’autres critiques disent que l’immigration au continent représente la source de la crise. Malgré tout, les politiques de la migration deviennent plus rigides et le mouvement global des immigrants devient plus complexe. Typiquement, pendant une crise économique, le centre d’attention politique bouge vers les issues socio-économiques, comme le chômage. Ce ne sera pas avant la récupération fiscale que le gouvernement adresse les problèmes socioculturels. C’est donc assez troublant que le gouvernement peut suspendre l’action concernant les issues critiques de l’immigration et l’identité française. Nous avons vu ce semestre que les problèmes des étrangers en France traversent ce qui est politique, social, culturel, et économique. La situation est vraiment complexe donc je pense que c’est dans l’intérêt meilleur de l’état de reconnaître toutes ces issues immédiatement, et au même temps, avant qu’elles causent plus de problèmes.

Comments are closed.