This week we will be discussing the biography and thought of Frantz Fanon, whose essay “Algeria Unveiled” we have read.
In case you want to see a preview of some of what he’ll talk about in class, you can watch this video of a lecture Achille Mbembe delivered on Fanon at Harvard in 2010.
If you are interested in hearing the voice of Frantz Fanon, the Institut National de l’Audiovisuel has a recording of a conference he gave on the theme of “Racism and Culture.” It’s a fascinating lecture.
What are your reactions to Fanon’s interventions? What other material can you find about his life, his thought, and his influence?
J’ai trouvé un article dans le New York Times au sujet de Fanon et sa vie, qui inclut aussi une critique d’une biographie de Fanon. La plupart d’information dans l’article a été présentée en classe par Professeur Mbembe, mais l’article parle du fait que Fanon, comme volontaire avec les Français Libres à la Deuxième Guerre mondiale, avait gagné une croix de guerre après avoir subi une blessure d’éclats d’obus dans la poitrine. L’article parle beaucoup de la violence de Fanon et sa publication du cycle de la violence réciproque dans les relations entre le colonisateur et le colonisé, un thème qui revient souvent dans les textes de Fanon (et en Bicentenaire).
Hier, nous avons parlé beaucoup de la race – que l’homme blanc et l’homme noir n’existent que par l’autre et la comparaison humaine et sa participation essentielle à la construction d’infériorité et de supériorité fondée sur la signification raciale. Ce sont des idées partagées par Fanon. Je pense que la théorie de comparaison humaine de Fanon et son argument que la race est une construction sociale peuvent être liés avec son analyse de la viole dans Sociologie d’une révolution à travers sa théorie de la violence. Dans l’introduction de Sartre de Les damnés de la terre, il présente la contradiction avec la servitude – on ne peut pas tuer les indigènes parce qu’on doit les exploiter. Et quand les colons décrivent les indigènes comme violents, Sartre dit : ceux qui poussent les esclaves à massacrer le maître ? Comment n’y reconnaît-il pas sa propre cruauté retournée contre lui ? La sauvagerie de ces paysans opprimés, comme n’y retrouve-t-il pas sa sauvagerie de colon qu’ils on absorbée par tous les pores et dont ils ne se guérissent pas (176). Donc, la violence des esclaves est la création et le résultat de la violence des colons – le cycle de la violence du colonisateur et du colonisé est éternel, parce que l’une est la création de l’autre.
On voit cette violence réciproque dans Sociologie d’une révolution. Fanon décrit le viol de la femme algérienne et le désir des colons à les dévoiler pour qu’ils possèdent leur beauté. Il écrit : chaque viole qui tombe, chaque corps qui se libère…exprime en négatif que l’Algérie commence à se renier et accepte le viol du colonisateur (24). Cette violence engendre la violence dans ce sens qu’il commence la discussion des femmes algériennes qui participent violemment (avec des notes de terrorisme moderne que nous avons vus dans le film « The Battle of Algiers ») dans la guerre d’Algérie. Les efforts de dévoiler par la force transforment les femmes des forces eux-mêmes – peut-être ces efforts libèrent les femmes de maniéré que les colons n’avaient pas prévue, tout comme la création violente d’un esclave engendre une violence ou une révolution imprévue.
Il y a aussi un fait intéressant sur le page de Wikipédia sur Fanon– Fanon était l’une des influences importante politique du Président Obama à l’université et Obama l’a cité comme l’une de ses inspirations en ses mémoires.