This week documentary film-maker Idrissou Mora Kpai, who was born in Benin and has lived in Germany and France, will be visiting our class and showing sections of his recent film Indochina. You can read more about the film, and about him, here at the Huffington Post.
And here is the preview for the film.
What are your reactions to Kpai’s film? How does it connect with the broader themes we have been exploring this semester?
J’ai beaucoup aimé la visite de Idrissou Mora Kpai. Je pense que son travail est très intéressant, et j’ai appris beaucoup sur la culture de Benin, et des faits sur l’Afrique que je ne connaissais pas. J’ai apprécié qu’il a répondu à nôtres questions avec beaucoup de détail. J’était surtout intrigué par la dynamique entre sa mère et la deuxième épouse de son père; je ne savait presque rien sur les relations polygamiques avant lui entendre parler de cela. La réponse qu’il avait donné à ma question sur le journalisme, et la différence entre son travail et le travail du journaliste, était aussi très détaillée. Je regrette seulement ne lui avoir posé des autres questions sur le sujet après. Finalement, comme a déjà mentionné Alexandra, l’histoire de comment il voulait faire un documentaire sur l’histoire de son père, mais avait fini à se concentrer sur sa mère était un moment intéressant dans la discussion. Je pense que son explication de cet épisode révèle beaucoup sur sa culture et comment les enfants y grandissent.
Dans son commentaire, Charmaine parle du film Indochine et la difficulté d’identification pour les enfants des pères qui combattaient pour la France en Indochine et les mères vietnamiennes. Spécifiquement, elle a dit que le film montre la difficulté de ces enfants de trouver ses propres identités et ses origines. Nous avons parlé beaucoup du mélange d’identité qui existe aux colonies et qui doit être représenté dans l’histoire de la colonisation. Je veux attirer vos attentions sur l’histoire qu’Idrissou Mora Kpai a racontée en classe mardi- qu’il voulait raconter l’histoire de son père, mais il devrait le faire à travers les mots de sa mère, ce qui est bien lié avec nos discussions du récit de l’histoire et d’identité pendant le semestre. En particulier, dans L’amour, la fantasia, Djebar donne sa voix aux femmes algériennes pour qu’elles redisent et refissent l’histoire de la guerre et des femmes dans l’histoire de l’Algérie. Ces thèmes reviennent dans tous les romans que nous avons lus, et la plupart de temps, on a vu l’importance “d’espace féminin” en créant les identités d’auteurs, et peut-être en créant l’histoire – on voit l’importance de Marie-Sophie en racontant l’histoire de son peuple en Texaco, le coup de la campagne et la mère de Lucien en Bicentenaire, et bien sûr l’importance des femmes en L’amour. De même, Idrissou Mora Kpai a parlé de sa propre tentative de connaître son père, mais son film, Si-Gueriki, la reine-mère, la reine-mère et les scènes que nous avons vues mardi nous montrent que sa quête d’identité ou de connaissance de son père vient de sa mère- donc, il découvrait des choses et des qualités normalement simples et fondamentales de sa mère, mais dans sa culture, les femmes sont marginales sans grande importance.
Après avoir vu un petit extrait du film Indochine, sur les traces d’une mère à la fin du cours aujourd’hui et l’autre extrait au-dessus, j’ai trouvé que ce film semble bien révéler la difficulté d’identification pour les enfants des pères africains qui sont venus à l’Indochine pour soutenir les Français au combat et des mères vietnamiennes. Même si nous n’avons pas vu le film entier, l’article de Huffington Post dit que Christophe, l’homme afro-vietnamien qui est le centre du film, était envoyé à l’Afrique après la guerre a fini, et qu’il n’a jamais vu sa mère vietnamienne après. Dans le film, Il dit qu’il ne sait pas « Quelles étaient les transactions entre [son] père et sa [maman]. [Il] ne sait pas qui [le] dira la vérité ». Cette citation démontre la difficulté de ces enfants d’apprendre leurs origines et de s’identifier avec une race ou une autre.
Je trouve ce thème principal du film des problèmes de l’identité assez similaire à ceux des autres peuples dans les colonies françaises antérieures, par exemple, les gens colonisés en Algérie qui sont venus en France pour travailler dans la reconstruction après la deuxième guerre Mondiale, ou celles des Africains recrutés pour combattre avec la France dans la première guerre mondiale en général comme Soccer Empire décrit. La contribution des personnes colonisées complique la relation entre « le colon et les gens colonisés ». En soutenant la France dans ces manières, souvent les personnes colonisées pensaient que c’aurait été une bonne façon de démontrer la loyauté et demander l’égalité politique (Soccer Empire 24). Alors, ici dans ces situations on voit la complexité autour la question de si ces peuples colonisés étaient « français » ou pas.
Néanmoins, dans le film d’Idrissou Mora Kpai, j’ai appris plus à propos de la mélange des races associée avec la guerre en l’Indochine, où les Africains et les Vietnamiens se sont rencontrés, et probablement ne l’auraient pas fait si ce n’était pas à cause de la guerre. Dans ce cas, on voit le conflit d’identité entre le choix de s’identifier avec une race subjuguée de la France ou une autre, pendant que la plupart des travaux littéraires que nous avons examinés en classe jusqu’ici traitent la question de l’identité française et si les peuples qui ont leurs racines dans les colonies antérieures s’identifient à la France ou pas.