J’ai trouvé un article dans Le Monde qui est très intéressante compte tenue des thèmes de racisme et immigration qu’ont a exploré jusqu’à maintenant dans la classe, surtout en parlant de Diome et du livre du Prof. Dubois. L’article s’agit d’une technique utilisé par les politiciens de l’extrême droit en France: celle d’appeler les gens de couler “anti-blancs” – c’est à dire une espèce de racisme à l’envers. Le politicien nommée dans l’article est Le Pen, qu’ont à déjà discuté en classe, et qui est aussi nommé dans le livre du Prof. Dubois. Cette rhétorique est un outil pour discréditer les efforts des organisations contre le racisme, comme par exemple SOS racisme. Je suis d’accord avec le ton de désapprobation de article; selon moi cette argumentation de racisme à l’envers va seulement augmenter l’écart entre les citoyens blancs (aussi connais comme “Français de souche”) et les personnes de couler en France. Une image comme cette ici (dans l’article Le Monde):
va seulement créer tension, aggraver l’antagonisme dans les banlieues. Les efforts d’assimilation vont être encore plus difficiles avec cette conflit.
Quand même, cette idée de racisme à l’envers n’est pas nouvelle. Ici aux États-Unis on l’entends aussi, surtout dans les critiques de “affirmative action.” Au même temps, je ne pense pas que ici on associe cette idée à l’extrême droite comme en France; peut-être parce que personne n’a fait une campagne active comme Le Pen autours de cette idée.
L’article est ici:
http://droites-extremes.blog.lemonde.fr/2012/09/26/comment-lextreme-droite-a-fait-du-racisme-anti-blanc-une-arme-politique/
« En 2003, son père, Jean-Marie Le Pen, avait lui estimé sur RMC qu’il y avait “un racisme important dont on ne parle pas, celui du racisme anti-blanc dont sont victimes les Français de souche”. »
De dire que les Français blancs souffrent du racisme, c’est absurde. Oui, je reconnais qu’il arrive des instances quand un blanc dans une société d’une majorité blanche ferait subir aux mots ou aux actions anti-blanches d’un individu ou un groupe d’une minorité. Mais, je trouve que de dire que les Français peuvent être considérer en tant que « victime », c’est incorrect, offensif, et prétentieux. Bien que je n’ais jamais habité en France, j’imagine que les sociétés ne sont pas très différentes en ce qui concerne le racisme général. Les blancs qui se plainent d’un « racisme à l’envers » en parlant de « affirmative action », doivent comprendre qu’il reste des préjugés aujourd’hui, et dommage pour toi de perdre ton avantage tu trouves dans tous tes autres situations dans ta société principalement blanche.
Je ne suis pas vraiment étonnée par l’article parce que j’ai entendu des choses comme ça en France en même aux États-Unis, mais je ne l’attendait pas de Le Figaro, Melissa. Je pense que c’est intéressant d’imaginer l’origine d’une idée comme le « racisme anti-blanc ». Des fois, quand j’ai entendu ça aux États-Unis, je pense que c’est une façon de justifier leur propre racisme contre les non-blancs pour les gens racistes. Si on pense comme ça, que l’idée du racisme anti-blanc est une justification, je pense que ça signale des changements en France peut-être. C’est à dire, à mon avis, Le Pen, et aussi l’extrême droit, ne pense pas qu’il a besoin de se défendre parce qu’il pense qu’il a raison. Donc, le fait qu’ils ont besoin de créer ces pubs, ou même on pourrai dire un type de propagande, veut dire qu’ils sentent d’opposition aux leurs idées racistes.
Peut-être que je vais trop loin, j’extrapole, ou j’invente, mais plus simplement, au moins le racisme commence à être reconnu publiquement en France. Je suis consciente que c’est une façon de pense vraiment américain, mais je pense que on ne peut pas commencer à résoudre quelque chose si on ne reconnaît pas qu’elle existe.
J’ai lu le même article et après j’étais curieuse si les sentiments «anti-blancs» sont exprimés autrement. J’étais étonnée que Le Figaro, le journal conservative, ait presque le même article sur la site-web. J’étais plus étonnée que les sentiments sont similaires à ceux de l’article de Le Monde. L’idée du racisme « anti-blanc » est une excuse pour ne pas tenir compte du vrai problème en France avec le racisme contre les minorités. Cependant, je suis d’accord avec la déclaration que les sentiments « anti-blanc » seraient plus communs dans les départements où les « blancs » sont minorités, mais la fondation de ce sentiment négatif se trouve à cause de la pratique de discrimination contre les personnes de couleur. À mon avis, la raison pour laquelle la discrimination raciale est plus confirmée en France maintenant vient de la crise économique en Europe. Les opportunités d’emploi sont réduites, alors mêmes les français sont victimes du chômage que peut-être n’était pas le cas il y a 5 ans.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/09/26/01016-20120926ARTFIG00725-peut-on-mesurer-le-racisme-anti-blanc.php