J’ai lu un article très intéressant qui discutait la relation entre le foot et la politique française—un sujet parfait pour partager sur ce blog. L’article, qui apparaît dans The Economist en 2010, explore le drame de l’équipe française pendant le Mondial cet été. Essentiellement, un joueur a critiqué l’entraineur et il a été puni. En réponse à cette action, les autres membres de l’équipe ont refusé d’entrainer pour le prochain match. Naturellement, les médias français ont exploités ce drame à fond, et le peuple était horrifié. Même le président, Nicolas Sarkozy prenait part de ce drame. L’ampleur de la réaction au drame montre l’importance du foot en France. Président Sarkozy a convoqué une réunion pour discuter la crise et plusieurs d’autres officiels du gouvernement ont fait des commentaires sur la crise—ça nous montre la liaison entre le foot et la politique française. Dans ce cas-ci, le drame nous oblige à considérer des tensions qui existent dans l’équipe—des tensions raciales et religieuses. Ces tensions sont le résultat du fait que les joueurs de l’équipe sont des races et des religions différentes. Il est possible que ces tensions aient contribué au drame. De plus, l’équipe est un microcosme de la société française, qui est rongée par les mêmes tensions. Je trouve la relation entre le drame et les tensions particulièrement intéressant parce que nous avons discuté beaucoup de ces tensions dans notre cours, et nous sommes en train d’étudier le rôle du foot dans la France. Finalement, c’est important de juxtaposer cette crise avec la victoire française dans la Coupe du monde en 1998. On voit que, d’un côté, le foot peut ternir des réputations et révéler des tensions entre l’équipe et la nation. De l’autre côté, le foot peut être merveilleux et peut unifier l’équipe et la nation. C’est clair que le foot n’est pas simplement un sport en France ; c’est un phénomène qui nous raconte beaucoup de la société française.
http://www.economist.com/node/16438717