J’ai lu un article intéressant dans le New York Times sur l’immigration en France. Selon cet article, le gouvernement français réduit le nombre de permis de travail qu’il distribue parmi les étudiants internationaux. Comme conséquence, beaucoup d’étudiants étrangers ne sont pas autorisé de rester en France après leurs études, mêmes s’ils parlent couramment le français et se considèrent d’être français. Ce fait met en conflit les valeurs républicaines de la France et la réalité difficile pour les immigrés en France. Ce conflit est présent aussi dans Le Ventre de l’Atlantique, le livre de Fatou Diome, quand Salie et certains d’autres individus sénégalaises sont désabusés avec la vie en France.
Les étudiants étrangers aujourd’hui sont fâchés parce qu’ils veulent restent en France, au moins pour plusieurs années après leurs études, pour faire avancer leurs carrières. Ils défendent leur désir de rester en France par citer le fait que leur exil créerait une fuite de cerveaux, qui prive la France de beaucoup d’intellect. Cependant, le gouvernement soutient qu’il fasse que les immigrés ne puissent pas rester en France seulement à cause du fait que les universités les ont admis. Selon un porte-parole du gouvernement, un but de la politique est d’empêcher les immigrés d’utiliser l’éducation comme un raccourci pour gagner l’autorisation de rester en France. De plus, le gouvernement dit qu’il veut garantir que la France ne vole pas les élites des autres pays.
Je pense que le gouvernement et les étudiants étrangers ont à la fois raison. Cependant, je crois que l’article n’adresse pas suffisament la vraie raison pour laquelle le gouvernement est devenu plus strict vis-à-vis l’immigration : le chômage. Il est commun pour un peuple qui est originaire d’un certain pays de se plaindre que l’immigration crée trop de concurrence pour l’emploi. Ce phénomène est particulièrement commun pendant l’existence d’une économie en crise—ça c’est le cas aujourd’hui. Ainsi, la pression politique sur le gouvernement l’encourage d’essayer de réserver plus d’emplois pour les citoyens français, même si l’implication est que les licenciés doivent retourner chez eux.