Tandis que l’œuvre de Césaire pour lequel il est le plus connu est « Cahier d’un Retour au Pays Natal », sa pièce « Une Tempête » aussi mérite de l’attention dans une conversation de la littérature néocoloniale. Son inspiration est la pièce de Shakespeare, et le complot et les personnages sont essentiellement les mêmes, mais Césaire prend les débuts d’une inclination anti-colonialiste dans l’œuvre originale (le cadre tropicale, le dynamique esclave-maître de Prospero avec Caliban et Ariel) et les magnifie et augmente dans sa manière uniquement Césairienne. Il illustre les deux approches—la conciliation prudente et pragmatique, et la révolution irascible contre les auteurs du crime colonialiste – avec les deux approches d’Ariel et Caliban envers Prospero et leur état d’esclave. Ariel espère pour la liberté, et fait ce que Prospero lui ordre avec la foi qu’il peut l’atteindre. Cette foi dans le maître et contrasté avec l’approche de Caliban, le premier vers duquel est « Appelez-moi X ! » (une référence au mouvement d’abandonner les noms « esclaviste » comme Malcom X) et qui abhorre Prospero avec tout de son être. Caliban représente aussi à la lettre les idéals de la négritude, la fierté au lieu de la honte d’être noir. De plus Césaire se moque des origines du colonialisme avec Stephano et Trinculo, qui trouve Caliban, irrité et disatisfait, et se décident entre eux de l’amener en Europe dans une troupe de cirque. J’oserais dire tandis que le poème souligne un message très fort au sujet de la négritude, et les effets de colonialisme et le néocolonialisme, la pièce est également viscérale et puissant d’une façon complètement différente.