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Sur l’Education

http://www.nytimes.com/2011/11/26/arts/design/quai-branly-museum-in-paris-glorifies-the-other.html?_r=1&ref=design

 

J’ai trouvé cet article sur le musée Quai Branlé un écho curieux de notre conversation au sujet du foulard et le rôle de l’éducation en France.  Comme les écoles, le musée sert à éduquer l’individu au sujet du passé, et selon la façon dans laquelle l’information est présentée, leurs messages peuvent être manipulés dans la même manière. Quoi que les intentions, biens ou mauvaises, conscient ou inconscient,  l’approche pris dans l’éducation¾ la curation des musées, la fonctionnement des écoles¾ illumine  beaucoup au sujet des présenters.

Dans « French Museums Atone for a Colonial History », l’auteur note le même manque qu’on peut voir dans les attentes d’interdire le foulard aux écoles ; l’attente est bien intentionnée, mais sert à  accomplir presque l’opposé du but indiqué.  Le musée Quai Branlé était crée par le Président Jacques Chirac dans un geste de repayer « the debt we owe to the people and countries [qui étaient colonisés par la France]….[which have] long been ignored or underrated » ; le but de l’institution est de voir « justice rendered ». Mais selon l’auteur, les exhibitions étaient organisé sans attention à la fonction ou au contexte des objets, au point qu’on peut voir le musée pas comme une institution fondée de célébrer des cultures spécifiques et uniques, mais au nom d’une idée vague du multiculturalisme qui établit en plus l’idée de « L’Ouest » et « L ‘Autre ».

Cette attente d’expiation a le même problème que ceux qui ont voulu bannir le foulard aux écoles ; tous les deux voulaient éduquer des citoyens d’une façon moderne, mais tous les deux sont à la fin inefficaces, et viennent plus proches à l’opposé des buts indiqués à cause des attitudes paternalistes et impérialistes.  On ne peut pas expier les pêchés du colonialisme avec un musée qui ne donne pas de la valeur aux cultures individuelles, mais les traitent comme une idée vague du « monde colonisé ». Et on ne peut pas libérer des femmes et éduquer des citoyennes avec des régulations qui limitent leurs choix, et les forcent d’abandonner soit leur foi, soit leur éducation (au nom de l’éducation de la citoyenne, bien sûr).  L’auteur conclue avec l’idée que « the embarrassment is in the fact of embarrassment. » du passé coloniale de la France. Mais cette attitude manque le but aussi ; ces attentes d’expiation peuvent être mal formées, mais elles sont quand même bien intentionnées (on espère…).  De se faire champion des réussites de l’Ouest, sans reconnaissance de celles des autre pays, est également mauvais.  On doit trouver quelque sort de « middle ground » entre les deux, de célébrer les vertus de tous cultures, sans oubliant les faits d’histoire.  Et sur le sujet d’expiation, seulement des attentes qui viennent d’un vrai désir de comprendre les habitants de « l’autre » peut éviter le piège de renforcer le message opposé et assurent en plus des attitudes impérialistes.*

 

 

 

*On ignore pour un moment que sur un niveau fondamentale, l’idée qu’un musée peut expier pour les péchés du colonialisme et la réalité néocoloniale, les vies sans nombre ruinées et prises, est un peu ridicule.

 

Sur “Social Inequality and the New Elite”

Alors que, comme Professor Dubois a noté, comme étudiante à Duke je suis une bénéficiaire de ce phénomène et donc je suis à peine impartiale, j’ai trouvé « Social Inequality and the New Elite » d’Alexander Stile un peu trop critique du système américain. C’est peut-être naïf d’assumer que les idéaux d’une méritocratie peuvent toujours être traduits à un vrai égalité d’opportunité, mais l’auteur consacre beaucoup en plus de temps critiquant le ‘nouveau élite’ établi aux États-Unis au lieu d’examiner le système européen avec un œil également discernant. Stile cite Karabel, disant que “I don’t think any advanced democracy is as obsessed with equality of opportunity or as relatively unconcerned with equality of condition. As long as everyone has a chance to compete, we shouldn’t worry about equality. Equality of condition is seen as undesirable, even un-American.” Sans doute c’est vrai; la tradition américaine, c’est de crier “rouge” à la mention le plus petite d’égalité de résultat au lieu d’égalité d’opportunité. Mais je trouve également perturbant, si pas plus, le fait que l’obsession française avec la sphère privée et l’identité français avant tout signifie qu’il est illégal pour le gouvernement de ramasser de l’information sur la race des citoyens, mais “millions of immigrants — and the children and grandchildren of immigrants — fester in slums.” On ne peut pas forcer une conscience collective sur une population : la conception américaine de l’idée du « merit » ne changera jamais, de la société de John Winthrop à celle de Martin Luther King, à celle d’aujourd’hui. Mais l’attente américain d’adresser les attitudes préjugées contre « blacks, women, Hispanics and gays »⎯ et tant d’autres⎯ aux écoles et au main d’œuvre, est un pas dans la bonne direction.

Pour les Fans de Shakespeare…

Tandis que l’œuvre de Césaire pour lequel il est le plus connu est « Cahier d’un Retour au Pays Natal », sa pièce « Une Tempête » aussi mérite de l’attention dans une conversation de la littérature néocoloniale. Son inspiration est la pièce de Shakespeare, et le complot et les personnages sont essentiellement les mêmes, mais Césaire prend les débuts d’une inclination anti-colonialiste dans l’œuvre originale (le cadre tropicale, le dynamique esclave-maître de Prospero avec Caliban et Ariel) et les magnifie et augmente dans sa manière uniquement Césairienne. Il illustre les deux approches—la conciliation prudente et pragmatique, et la révolution irascible contre les auteurs du crime colonialiste – avec les deux approches d’Ariel et Caliban envers Prospero et leur état d’esclave. Ariel espère pour la liberté, et fait ce que Prospero lui ordre avec la foi qu’il peut l’atteindre. Cette foi dans le maître et contrasté avec l’approche de Caliban, le premier vers duquel est « Appelez-moi X ! » (une référence au mouvement d’abandonner les noms « esclaviste » comme Malcom X) et qui abhorre Prospero avec tout de son être. Caliban représente aussi à la lettre les idéals de la négritude, la fierté au lieu de la honte d’être noir. De plus Césaire se moque des origines du colonialisme avec Stephano et Trinculo, qui trouve Caliban, irrité et disatisfait, et se décident entre eux de l’amener en Europe dans une troupe de cirque. J’oserais dire tandis que le poème souligne un message très fort au sujet de la négritude, et les effets de colonialisme et le néocolonialisme, la pièce est également viscérale et puissant d’une façon complètement différente.

“Out of Africa”

J’ai trouvé les revues tous les deux très intéressant et informatives. De plus, j’ai trouvé un article sur le site du New York Times, un essai qui parle de Diome et son roman dans le contexte plus large, du mouvement littéraire que l’auteur terme la “migritude”. La migritude est une continuation et évolution de la négritude, le mouvement littéraire commencé par Leopold Senghor et Aimé Césaire dans les années ‘30’s qui embrasse l’expression culturel noir comme une façon de combattre le réalité néocolonial. L’article m’a frappé car il a situé Diome et son œuvre dans le contexte plus grande de l’experience de l’immigration franco-africaine comme entier, pas seulement l’experience d’une immigrée sénégalaise en particulier. Le placement du roman dans le groupement de la migritude aussi saisit le message qui a imprégné le récit entier, la difficulté de l’immigration et le sentiment d’être arraché entre deux pays sans un sens d’appartenance a l’un ou l’autre. La phrase qu’a cité Professeur Mbembe aujourd’hui (et qu’a cité l’essaie aussi), explique le phénomène d’une façon parfaite : quand Madické demande à Salie lequel pays elle choisirait entre les deux, elle répond « et toi, tu préfère qu’on te coupe la jambe gauche ou le bras droit ? » (253), car c’est vrai que « partir… c ‘est avoir tous les courages pour aller accoucher de soi-même, naître de soi étant la plus légitime des naissances » (226), mais à la fois « la nostalgie est une douleur que l’accueil ne peut pas soigner » (244). Cette lutte entre nostalgie et auto-détermination, la haine de la marginalisation d’être femme en Sénégal et la marginalisation d’être noire en France, l’isolément de l’exil à l’étranger et l’isolément d’être comme touriste dans son pays natal, caractérise le roman et saut de chaque page. Cet essaie aussi explique le combat entre ces deux sentiments d’une façon vivide et compréhensive.

le tremblement de terre

Le focus mondiale sur Haïti à ce moment est en grande partie grâce au tremblement de terre de 2010- la crise a attiré le regard du monde pour un moment, et est resté pour beaucoup plus longtemps, mais se fade avec le temps.  Au premier, le focus sur Haïti était sur le crise soi-même; comment trouver les victimes, comment les traiter, comment ensurer qu’ils auraient un toit sur leurs têtes et de la nourriture dans leurs ventres.  Mais, en s’occupent de ces problèmes immédiats, les problèmes systémiques de la société Haïtienne sont devenus plus apparents.  L’étendue des dégâts était si extrême à cause des faiblesses omniprésentes dans les fondations des bâtiments.  Et l’aide monétaire qui a inondé le petit Isle des pays du monde entier n’a pas attenu son cible à cause des dirigeants corrompus qui ont canalisé les fonds, le “kleptocracie” Haïtien, les vestiges tristes de la promesse de 1804. Bien sur, les étoiles ont trouvé des autres sources pour leurs “telethons” et le reste du monde a passé à l’autre chose, mais les problèmes fondamentaux restent, augmenté exponentiellement par le désastre et la façon dans laquelle les opérations de secours étaient gerée. L’attention et l’aide du monde était admirable, mais les problèmes dans la fondation de la société Haïtienne– une manque de l’infrasctructure, la mortalité natale, la pauvreté et une gouvernement qui vole des mêmes citoyens qu’ils ont juré d’aider– restent encore.  La plupart du travail n’est pas fini encore, et la moitié du monde a arrêté d’essayer.

 

A Small Book.

One book that rather starkly altered my sense of place in the world was Jamaica Kincaid’s “A Small Place”, a slim volume of essays about life in Jamaica (extended to the Caribbean as a whole), colonialism, and the latter’s profound impact on the former. This collection is what immediately occurs to me because despite its brevity (97 pages) and the time that has past since I read it (a little over two years), its message still holds strong in my head.
In each essay, Kincaid takes different elements of life in Jamaica (beginning with aspects as small as the weather and expanding her scope to colonialism, and the physical presence of the island) and shows exactly how far their true meanings are from what you thought they were. I say “you” because that is how she also phrases it⎯ her use of the second person is particularly powerful not only because of the rarity of its use in literature, but because it forces the reader to take the role of the “other” in the scenario, the white man, the colonizer, the tourist. She describes how the difference of each of these elements is from how they are seen by “you”, and how they are seen by a native Jamaican. The cerulean skies and brilliant sunshine are for the one a welcome change from the dreariness at home, for the other a cause of drought and economic adversity; the sign for Barclay’s Bank is for one a familiar landmark, the other a grim reminder of the island’s oppressed past. Perhaps her strongest point is when she expounds upon language; that while there is no other option available to her or most Jamaicans, the language she uses to speak, read, and write about the hardships of her nation’s past is that of the people who wrought those hardships upon it.
I can think of other books that have put me in a similar position of identifying with the “other”, which is in some cases even the villain of the story⎯ “Drown”, by Junot Diaz, “Miguel Street”, by V.S. Naipaul, “Invisible Man”, by Ralph Ellison⎯ but none have affected me quite so strongly with so few words.