Le usage de le repetition en Cesaire

Dans le poeme epic du Aime Cesaire, « Cahier d’un retour au pays natal »,  Cesaire utilize la repetition de souligner l’urgence de son theme et idée de le Negridute. Au début, il répète une faim. « Une faim qui ne sait plus grimper aux agrès de sa voix… une faim lourde et veule, une faim ensevelie… ».  Cette faim était le désiré Africain d’être apprécie et indépendant par les Français et les colonialistes qui pensaient qu’ils sont moins qu’humain.

 

Comme ca sentiment, il repete le phrase « de-peur-que » quel que fois plus, d’expliquer comme la Noel n’etait un temps de celebration comme les Chrétiens blancs et europeen, mais une jour de l’agoraphobie, parce que les deux cultures étaient très différents. Encore avec le Négritude, et l’idée que les Africains devaient avoir leur propre culture indépendant de le colonialisme.

 

Plusieurs fois il fait le même message avec le répétition constant. « La mort décroit/ la mort vacille/ la mort est un payera ombrageux/ la mort expire dans une blanche mare de silence », « la folie », « un petit train », « un grand galop » et plus en plus. Avec ce répétition de le langue violent, dégradant et colère, il succède en surligner le message d’oppression que ces compatriotes devaient connaitre. Il voulait arrêter le cycle de la honte, et commencer le cycle de la fierté et la Négritude.

One thought on “Le usage de le repetition en Cesaire”

  1. C’est vrai que « Cahier d’un retour au pays natal » est plein de la répétition, mais j’ai remarqué aussi l’usage d’opposition très fort. « Joie ancienne…présente misère, » « si étrangement bavarde et muette, » « cette ville inerte, cette foule criarde, » « le maître des rires? Le maître du silence formidable, » sont quelques exemples. Je pense que Cesaire utilise ces juxtapositions de établir le contraste créer par le colonialisme et la pauvreté qui en a résulté. Les oppositions du poème sont puissants, et amplifier l’effet d’ensemble.

    Il y a quelques phrases qui m’ont frappé, et qui montrent comment le style d’écriture de Cesaire avec des métaphores, les phrases désordonnés (c’est presque « stream of consciousness ») créent un effet très authentique sur l’identité des africains. Il dit, « je ne suis d’aucune nationalité prévue par les chancelleries, » et « Mon héroïsme, quelle farce! Cette ville est a ma taille. Et mon âme est couchée. Comme cette ville dans la crasse et dans la boue couchée. » En générale, il est très honnête et désespérant sur la condition des africaines, mais a la fin du poème il commence à regarder l’identité africain et leur condition avec un sens plus transformative. En contraste avec les phrases comme « muette » et « inerte » qu’il utilise au début, il parle de la pouvoir du peuple; il parle aussi d’un « amour tyrannique » contre l’haine qui caractérisé la plupart de l’œuvre. C’est seulement après il déclare sa humilité et « accepte tout » qu’il parle d’un force et vie qui lui assaillent en distant « il n’est point vrai que l’œuvre de l’homme est finie, que nous n’avons rien à faire au monde, que nous parasitons le monde…l’œuvre de l’homme vient seulement de commence et il reste à l’homme à conquérir toute interdiction immobilisée aux coins de sa ferveur et aucune race ne possède le monopole de la beauté, de l’intelligence, de la force. » Pour moi, bien que j’aie été frappé par les mots puissants au début, c’était la dernière partie du poème qui est le plus important, où il souligne l’espoir et la capacité pour le progrès de l’homme.

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