All posts by Ryan Ingram

Hi everyone! I am a junior Public Policy major from Massachusetts. My particular interests include foreign affairs, international development, and political economy. In my free time, I love spending time with friends at the Nasher and traveling to new places when I get the chance.

Un monument aux pieds noirs

Une photo du monument, New York Times

J’ai trouvé une série de photos au sujet d’un nouveau monument à Perpignan, France. Ce monument représente un sujet controversé en France parce qu’il préserve la mémoire des pieds noirs morts dans la guerre d’Algérie.

Cette série me rappelle de l’article de Mann, « Locating Historical Legacies ». En fait, avec les photos, il y a une citation de Stora, un autre auteur de classe, qui offre une vue similaire : « There is a crisis of national storytelling in France that historially has seen itself as a place of assimilation and integration, but now minorities want to question that story. » Donc, il me paraît que ce monument offre un hommage aux pieds noirs morts. Mais au même temps, le monument sert de symbole ironique du conflit social à cause de la colonisation et de l’immigration. Il est intéressant que, comme Mann dit, les endroits historiques puissent illustrer la complexité de la situation entre la France et ses colonies.

Une autre vision de Guene

Faiza Guene- from The Guardian UK

Voici un article du journal en Angleterre qui offre une bonne biographie de Guene. J’ai regardé les vidéos dans le poste de Laurent, et ce qui m’a frappé, c’est le message principal de l’auteur. Dans tous ces clips, Guene ne souligne pas son expérience personnelle avec la discrimination. Par contre, elle met l’accent sur l’idée qu’il y a beaucoup de perspectifs différents dans la vie, pas une vision seule qui décrit tout. Donc, elle dit qu’elle veut offrir une autre histoire qui représente une expérience minoritaire.

Mais cet article offre un sens moins positif. L’auteur de l’article décrit en détail des histoires spécifiques de la discrimination dans la vie de Guene. En plus, elle observe que comme il y avait une intensification de tension sociale après les émeutes de 2005, il y a plus d’incidents discriminatoires dans les nouveaux textes de Guene. Il me paraît que Guene se sent frustrée à cause de la continuation de ce traitement. Même qu’elle a vendu un tas de livres, elle ne gagne pas le respect social . Il est possible que cette frustration fasse plus difficile le processus d’écrire avec un ton d’espoir.

Une situation exploitative


Photo de New York Times

Aujourd’hui, il y a un article de New York Times qui illumine la tension qui persiste entre Haïti et les États-Unis. En plus, cette tension existe entre les pays de l’Ouest et les économies en voie de développement. Cet article souligne une question centrale : Comment fournir de l’aide internationale sans violer le sens de l’intégrité humaine ? Dans cet article, deux organisations américaines essaient d’aider une danseuse professionnelle, Fabienne Jean, à recevoir une jambe prosthétique. Mais les deux compagnies veulent aussi la publicité et la presse qui suivent de cette donation. Il me paraît qui cette situation pose un problème à cause de la violation de la dignité de Fabienne. Selon article, elle se trouve dans une position où elle doit parler pour une compagnie pour la remercier pour l’aide. Il est possible que celle-ci soit une situation d’exploitation. Est-ce que ces situations servent comme des exemples d’une sorte de colonisation moderne ?

Lessons from New Orleans

Photo de The New York Times

Ce weekend, il y avait un article intéressant de New York Times sur le tremblement de terre en Haïti. Quoique nous ayons lu beaucoup d’articles similaires, celui-ci offre un perspectif unique. En particulier, il nous donne une comparaison entre la Nouvelle-Orléans et Haïti. Beaucoup de critiques sont d’accord – la reconstruction de la Nouvelle-Orléans était un échec. Le gouvernement a distribué des caravanes temporaires, mais il y a encore des familles nombreuses sans maisons. Comment est-ce que nous pouvons apprendre de ces erreurs ? Cette auteure suggère qu’améliorer la situation désastreuse pour les Haïtiens demande un effort total et l’usage de technologie. La société civile doit travailler ensemble pour fournir les ressources nécessaires pour les nouveaux bâtiments. Il faut aussi employer la technologie récente pour construire les maisons plus vite. Il est possible que l’expérience de la Nouvelle-Orléans informe l’effort en Haïti. Il sera intéressant de voir comment la société civile et les gouvernements internationaux se mobiliseront pour cet effort.

Plus de nouvelles sur Haiti

Aujourd’hui, il y a un article d’opinion au sujet d’Haïti dans le journal de New York Times. Ce qui m’intéresse, c’est que l’article fait un appel pour plus d’aide internationale. Mais en particulier, le journal prévoit un rôle pour les gouvernements et pas pour les ONG. Le journal doute aussi la capacité de l’ONU.

Il y a de grandes difficultés avec cette idée. D’abord, il y a le problème de confiance. Après une histoire d’occupation américaine en Haïti, pourront-ils les haïtiens avoir confiance en les États-Unis ? Respecteront-ils les États-Unis la souveraineté d’Haïti ? En plus, qui organisera un effort vraiment international, s’il n’y a pas d’organisation centrale ? Diffuser la responsabilité est moyen de protéger l’île des arrière-pensées des donateurs.  Finalement, l’article n’offre aucun plan pour reconstruire le pays. Donc, il me parait qu’il faut travailler dans une organisation internationale pour développer un plan compréhensif. Ensuite, cette organisation pourra déléguer une variété de responsabilités aux membres. Il sera intéressant de voir la résolution éventuelle.

Les femmes et la religion

En choisissant mon sujet le pour le premier essai, j’ai recherché un peu le rapport entre les femmes et la religion. Après avoir vu le témoignage de Tariq Ramadan, je considérais la possibilité que les exercices « religieux » sont souvent le résultat des forces sociales. Autrement dit, il est possible que la marque de religion masque les vraies racines des coutumes discriminatoires. En ce cas,  ces discriminations représentent une manifestation de l’état d’opinion sociale et les influences historiques.

Mais j’ai aussi trouvé un article de Nicolas Kristof qui offre une vision positive pour le rôle de la religion. Selon Kristof, comme le mouvement abolitionniste, où les Quakers ont offert de la direction, le mouvement de l’habilitation des femmes pourra devenir une cause religieuse.  C’est une possibilité fascinante qui montre le complexité du rapport entre les droits des femmes et la religion.