En lisant le livre de John Bowen, ce que m’a fait penser le plus était sa discussion de la définition de “français,” qui est aussi une question central de ce cours. On dit que le but de l’interdiction de la voile est de mieux intégrer les filles musulmanes dans la culture française. Mai comment, exactement, la République définie le vrai français ? Que sont les implications de cette définition sur le prospect de l’intégration réussi ?
Une article de New York Times de 2011, titré “Who gets to be French,” dit : France today has Europe’s largest Islamic minority, making up nearly 10 percent of its population. Yet Muslims remain a people apart, as documented in 2011 by a research team recruited by the Open Society Institute. “In France,” one researcher summarized, “you can be of any descent, but if you are a French citizen you cannot be an Arab.” Composite identities like Arab-French are, he added, “ideologically impossible.”
De plus, Sarkozy a prétendu l’année passée que, « If you come to France, you accept to melt into a single community, which is the national community, and if you do not want to accept that, you are not welcome in France ». Je trouve ces déclarations un peu troublant, étant donné l’histoire longue du colonialisme et l’immigration en France. Bowen affirme que la France est un pays de l’immigration, donc l’acceptation de l’existence de cultures différentes apparaît nécessaire pour prévenir les conflits. Bowen explique, « the Republic is based not on a shared faith, but on a faith in the possibilities of sharing a life together, despite vast différences in appearance, history, and religious ideas » (249). Pour cette idée d’être bien réalisé, les demandes pour les nouveaux venues d’intégrer doivent être escorté par les demandes pour les résidents d’étendre leur notions de ce qui est acceptablement français. Est-ce que « le vrai français » peut être un mélange des cultures ? Comment peut la République reconnaître officiellement cette idée ? Est-elle une demande réaliste?