En lisant Why the French Don’t Like Headscarves, je me suis rendu compte du rôle fondamental du média dans la formation des sentiments à propos du voile et d’Islam dans la société française. Le média français était lié avec ceux qui sont opposés au voile ; Bowen explique que pendant la période crucial pour la formation de l’opinion publique, de avril 2003 à février 2004, il n’y avait pas de représentation d’après les femmes musulmanes qui soutenaient le voile. Dans le chapitre « Sexisme, » Bowen parle en particulaire du dessin d’une femme qui porte un voile, avec un fusil à travers de sa figure. Le dessin fait une comparaison entre la femme envoilée et le terrorisme (aussi une référence à la guerre d’Algérie).
Le mot « islamisme » est une représentation parfaite du pouvoir du media à former des opinions. Bowen précise la signification du mot « islamisme » à impliquer des pratiques et des institutions islamiques. Par contre, dans le média et des écritures moins intellectuelles, « islamisme » décrit les politiques avec qui on n’est pas d’accord. Encore, le média aidait à élargir des points de vue incomplets. La position subjective du media avait tort. Le but du média est d’informer le public, pas de condamner le group en opposition. En effet, les émissions et l’écriture ont créé un rapport entre les activités islamistes globales avec les évènements de la population musulmane en France.
Je ne suis pas si Bowen avait l’intention de parler du média dans son livre, mais c’était un personnage important dans la formation de la loi contre le voile et la répression persistants en France.