“Je constate avec regret que dans votre texte, l’egalite n’est pas.”

Dans une de ses œuvres les plus connus, Aime Césaire nous offre une opportunité unique d’observer ses pensées, ses émotions, et ses sentiments lorsqu’il nous amène avec un le protagoniste qui rentre sur sa terre natale. Un thème récurant se retrouve donc dans la violence physique et émotionnelle que ressent le protagoniste : « terres rouges, terres sanguines » (25), « que de sang dans ma mémoires » (35). Les images violentes sont omniprésentes et joue un rôle primordial à exprimer le prix énorme de la lutte pour le liberté. Outre que la violence, Césaire souligne l’Histoire et l’importance de la conscience rhétorique de chaque nation. Je retrouve alors dans ces mots la raison pour laquelle Césaire refusa de rencontrer le Président Sarkozy a la suite du passage de la loi du 23 février 2005 portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés : « […] Haiti ou la négritude se mit debout pour la première fois et dit qu’elle croyait a son humanité […] » (24) Césaire met en avant la lutte universelle contre l’oppression en déclarant que sa « négritude n’est ni une tour ni une cathédrale » (47). Je trouve que dans cette ligne Césaire se distancie de la religion et des autres institutions représenter par la « tour » qui différencient les humains. Avec beaucoup de puissance, vers la fin du texte, Césaire déclare qu’il « accepte » sa race « sans réserve » (52).

Cette passion pour la liberté, pour l’égalité se retrouve non seulement dans ces œuvres littéraire mais influence aussi largement ses aspirations politiques. Je vous invite donc à découvrir la carrière politique de Césaire et pour cela j’ai attacher le lien d’une vidéo de Césaire qui s’adresse a l’Assemblée Nationale pour annoncer des phrases déjà devenue immortelle.