Je veux ajouter une autre perspective à la discussion de l’affaire DSK. Cet éditorial suggère que l’affaire n’est pas seulement un problème du viol et la politique, mais aussi c’est un symbole de la séparation entre les européens puissants (l’homme) et les immigrés marginalisés (la femme). Nafissatou Diallo, dont l’identité, le nom et la vie étaient examinés dans le média français et puis le média américain, est une femme de chambre et une émigrée de Guinée. DSK, comme tout le monde le sait bien, était le directeur du FMI et un politicien célèbre. Un homme qui dirige littéralement l’économie mondiale est accusé d’exploiter une femme d’origine tiers-monde qui possède très peu. On doit penser à « l’anthropophage économie » de MC Solaar.
L’article note plus que cette image frappante. Il y a aussi une discussion des conséquences de l’affaire en Afrique elle-même, pour les femmes qui suivent les nouvelles. En Guinée, le viol et des abus sexuels sont typiquement tabous. Alors pour des victimes africaines qui veulent la justice, le fait que les charges sur DSK sont officiellement abandonnées est peut-être désagréable. Même si c’était une relation consentie, même si Nafissatou Diallo est « sainte ou sorcière, » si le monde pense qu’elle est une menteuse, il sera plus difficile pour les femmes africaines violées d’être crues et protégées.
Bien sûr, je ne peut pas savoir avec certitude si DSK est coupable ou pas, et je ne suis pas responsable du jugement. Mais je pense que les symboles et les effets possibles de ce cas sont très intéressants.
(The link above connects to the Le Monde website which only shows a preview if you’re not a subscriber. I also found the full version by searching the Lexis Nexis Academic database through the Duke Library website using the article title, “Nafissatou Diallo – DSK ou les fractures du monde”)