I worked as the historical consultant for a PBS special on the Haitian Revolution which aired last year called Egalite for All: Toussaint Louverture and the Haitian Revolution. Here (if you can stand seeing your Professor being interviewed) is a short clip from the film describing the story of Toussaint Louverture, whose remarkable life we will discuss during the lecture on Tuesday.
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En cours, notre group a fait un “treatment” pour un film de Revolution Haitienne.
Le treatment commence avec une plantation en feu et l’armée des esclaves qui attaquent leurs maitres. Puis, on retourne au commencement de l’histoire pour expliquer les origines du conflit. Concentrant sur le « personnage » de Raimond, on juxtapose sa bagarre pour la liberté à celles des esclaves oppresses. La bataille de Raimond se passe en France avec le parlement, celle des esclaves se passe à Haïti pendant qu’ils essayent à survivre. Ces deux situations impliquent les droits de l’homme et les liens entre la France et la colonie d’Haïti. Ces deux scènes parallèles prévoient en fonction de représenter le nombre et la diversité des habitants d’Haïti. On peut inclure aussi une scène court des pratiques religieuses.
On finit avec la victoire politique et légale pour les gens de couleur libres, mais, puis, on voit Toussaint Louverture, qui signifie que ce n’est que le commencement.
Mon groupe est en train de discuter le Code Noir. Donc, voila le lien pour des autres qui voulaient le voir aussi:
http://chnm.gmu.edu/revolution/d/335/
Ce segment sur PBS est, pour moi, particulièrement captivant en ce qui concerne les types différents des relations et des noms pour les hommes et les femmes des races dissemblables. Je m’intéresse essentiellement aux rapports parmi les personnes quand j’ai appris les histoires, et alors j’aime quand on parle des façons dans lesquelles les colons, les esclaves, et les personnes de couleur libres communiquent. Le libre Avengers of the New World parle aussi de ces choses.
A mon avis, ce compte-rendu de la révolution haïtienne est très intéressant grâce au fait qu’il commence avant l’époque de la révolution avec les anxiétés et les appréhensions des colons et des escales sur cette ile importante. Ce livre décrit même les rapports entre toutes les personnes là ; par exemple, sur page 63, le deuxième paragraphe parle de « the libertinage with the négresses » et comment « jealousy quickly turned to racial hatred ». Ces relations montrent comment la tension en Haïti a développé avant la révolution. En ce qui me concerne, je me demande comment les esclaves ne se sont pas révoltées plus tôt !
Un autre point intéressant pour moi est celui des coutumes, des habitudes, et des superstitions des esclaves. Par exemple, l’histoire de Makandal, un esclave qui a presque échappé la mort et dont l’histoire est devenue une légende. Selon Moreau, même après il était tué, le mot « Makandal » a évoqué les talismans rituels pour les esclaves (sur page 51). Je serais intéressée de savoir s’il y a des autres histoires similaires qui concernent les superstitions des esclaves…