Il y avait beaucoup de côtés de la révolution Haïtienne, qu’on veut présenter dans le film. Donc le personnage principal ne fait que regarder ce qui se passe. Comme cela, il sera objectif et les spectateurs peuvent apprennent les motivations et les croyances des côtés de la guerre. Cet homme est un « gens de couleurs » qui est un propriétaire d’une plantation de canne à sucre et des esclaves. Il est un parti de la même classe sociale que Julien Raimond.
Au commencement, l’écran montre des flammes destructives qui brûlent des habitations. C’est un moment dramatique. On écoute des hurlements, des rires, et des cris. Puis on voit le visage de l’homme principal. Il ferme les yeux et la scène saute aux années précédentes.
Le film expliquera l’Haïti qui existait avant que la révolution. On distinguera les rôles des habitants, comme les planteurs, les petits blancs, les esclaves etc. On explorera les practices religieuses comme le Vaudou et le catholicisme. Tout cela les spectateurs verront par les yeux de l’homme principal. Mais on apprendra aussi de ce qui se passe à Paris parce que l’homme recevra des lettres d’un ami qui y vit et qui lui raconte de la révolution et de l’Assemblé National. Le fin introduira Toussant Ouverture, fier et magnifique, qui dit « ce n’est pas fini ! ».