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“Le Noir (Te) Vous Va Si Bien”

Pour ceux qui s’intéressent aux films française, j’ai trouvé la bande-annonce de « Le Noir (Te) Vous Va Si bien. » Le film est sorti en France le 5 décembre. Le film parle de Cobra, une femme d’une famille traditionnelle. Elle quitte la maison avec le voile mais elle se change avant d’aller travailler. La trajectoire de Cobra est un exemple de l’identité double de la femme maghrébine et son choix de porter le voile. Le film démontre bien l’obsession française avec la signification des vêtements orientaux.

Lire plus:

http://www.lemonde.fr/culture/article/2012/12/04/le-noir-te-vous-va-si-bien-le-port-du-voile-traite-de-facon-trop-simple_1799332_3246.html

 

http://le-noir-te-vous-va-si-bien-le-film.com/home/category/le-film/

 

La bande-annonce:

Le média autour du voile

En lisant Why the French Don’t Like Headscarves, je me suis rendu compte du rôle fondamental du média dans la formation des sentiments à propos du voile et d’Islam dans la société française. Le média français était lié avec ceux qui sont opposés au voile ; Bowen explique que pendant la période crucial pour la formation de l’opinion publique, de avril 2003 à février 2004, il n’y avait pas de représentation d’après les femmes musulmanes qui soutenaient le voile. Dans le chapitre « Sexisme, » Bowen parle en particulaire du dessin d’une femme qui porte un voile, avec un fusil à travers de sa figure. Le dessin fait une comparaison entre la femme envoilée et le terrorisme (aussi une référence à la guerre d’Algérie).

Le mot « islamisme » est une représentation parfaite du pouvoir du media à former des opinions. Bowen précise la signification du mot « islamisme » à impliquer des pratiques et des institutions islamiques. Par contre, dans le média et des écritures moins intellectuelles, « islamisme » décrit les politiques avec qui on n’est pas d’accord. Encore, le média aidait à élargir des points de vue incomplets. La position subjective du media avait tort. Le but du média est d’informer le public, pas de condamner le group en opposition. En effet, les émissions et l’écriture ont créé un rapport entre les activités islamistes globales avec les évènements de la population musulmane en France.

Je ne suis pas si Bowen avait l’intention de parler du média dans son livre, mais c’était un personnage important dans la formation de la loi contre le voile et la répression persistants en France.

L’Amour, La Fantasia- la transformation de la femme

L’Amour, La Fantasia montre la libération d’un pays, d’une culture et d’une femme dans le même espace. La trajectoire de la narratrice transforme la perspective d’une femme au 20eme siècle. On comprend que les femmes ont joué un rôle très important dans la guerre d’Algérie. La femme n’était plus passive ou docile pendant les conflits des pays. Par contre, on voit que la définition de « féminité » se développait à inclure l’agilité, la mobilité et d’une manière,  l’independence. La transformation de la femme indique le progrès à la liberté d’Algérie aussi.

Similaire à Bicentenaire, le roman d’Assia Djebar raconte l’Histoire avec une histoire. Je vois L’Amour, La Fantasia comme une collection de plusieurs d’histoires, qui serve à préciser les personnages dans le conflit du pays colonisateur et pays colonisé. En particulaire, la narratrice représente toutes les femmes qui ne sont pas reconnues dans l’histoire de la guerre.

Je voudrais explorer la signification du mot « fantasia » dans le roman. Il est intéressant que l’auteur utilise les mots « amour » et « fantasia » pour nommer le roman.

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À propos de l’écrivaine, Assia Djebar :

Assia Djebar est née par le nom Fatima-Zohra Imalayen en Algérie. Elle a obtenue une position connue dans le monde littéraire à cause de son soutien pour les femmes et leur rôle dans la société. En 2005, Djebar devenait la première écrivaine Maghreb de l’Académie Française.

 

Ses prix littéraires :

 

– Prix Liberatur de Francfort, 1989.

– Prix Maurice Maeterlinck, 1995, Bruxelles.

– International Literary Neustadt Prize, 1996 (États-Unis).

– Prix Marguerite Yourcenar, 1997 (Boston États-Unis).

– Prix international de Palmi (Italie).

– Prix de la paix des Éditeurs allemands, 2000 (Francfort).

– Prix international Pablo Neruda, 2005 (Italie).

– Prix international Grinzane Cavour pour la lecture, 2006 (Turin, Italie).