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L’humeur dans Black Bazar

Je trouve l’usage d’humeur dans ce roman d’être très intéressant. Comme nous avons parlé en classe, Mabanckou refuse d’être appeler une victime, alors il utilise l’humeur pour alléger l’atmosphère, ou pour illustrer des choses sérieuses dans une manière légère. Il représente des africains et des immigrants dans une façon que les européens ne voient pas nécessairement. Il parle du colonialisme et les conséquences, les groupes variés des migrants à Paris et la désunion entre eux, et bien sur le racisme et la question de la couleur. Ces sujets ont le potentiel de lancer un débat controversé ou de rendre le livre assez sérieux, mais au contraire : grâce au style d’écriture de Mabanckou, le roman est très comique, sarcastique et drôle.

Je voudrais juste ajouter un autre passage amusant en addition de cela de Giulia. Il y a un moment ou Fessologue se moque de l’Hybride, en disant qu’il est vraiment bête : « L’Hybride n’a pas senti le vent du changement. Il croit que le mur de Berlin existe encore, que le général de Gaulle ressuscitera et nous ramènera notre prophète André Grenard Matsoua à l’aéroport de Maya-Maya, à Brazzaville. Il est convaincu que Nelson Mandela est encore emprisonné, que Diego Maradon jouera à la prochaine Coupe du Monde de foot. C’est normal, je ne sais pas quel est son quotient intellectuel, lui. Comme l’autruche, son œil est plus grand que son cerveau » (120). Cette citation vient, bien sur, d’une place de jalousie, parce que Fessologue déteste le fait que cet homme a pris sa compagne, et que sa fille s’appelle l’Hybride ‘papa’. Mais n’importe quoi, Fessologue garde sa bonne humeur. Nous voyons ici comment le narrateur, et peut-être Mabanckou aussi, utilise l’humeur presque comme un mécanisme de défense. Partout le roman, il y a des blagues, le sarcasme, etc. mais aussi des nuances aux issues sérieuses qu’il s’adresse dans un sens implicite.

L’oppression des femmes algériennes

Assia Djebar se faisait un nom dans le monde de l’écriture, comme un des plus connues et influentes écrivaines d’Afrique du nord. Quand on voit son corps du travail on remarque qu’elle concentrait sur quelques thèmes, à savoir la soumission d’Algérie par la France, la période coloniale, l’Independence, les femmes cloîtrées, le nationalisme, le corps, la voile et la voix. Son livre L’amour, la fantasia est souvent décrit comme son chef d’œuvre, ou au moins, son œuvre le plus connu. Publié en 1985, le livre parle à tous ses thèmes susmentionnés. Son style de prose dans ce livre est aussi quelque chose d’analyser. Elle mélange un peu d’autobiographie, et un peu d’histoire, avec des vignettes courtes des autres femmes algériennes ; elle saute de l’invasion en 1830 à la guerre d’Independence du milieu du siècle vingtième. Ce mélange défie la typique histoire linéaire. Il y a quelque chose de musicale de cet histoire fluide, elle divisé même son roman dans des ‘mouvements’ comme dans un ouverture.

Son but ultime est de parler pour toutes les femmes oubliées et silencées pendant les années. J’ai trouvé une critique du roman qui dit :

« Djebar joins her own voice and life story with the stories and voices of Algerian women revolutionaries, replacing silence and the colonizer’s version of history with a celebration of female experience and expression. Speaking neither for nor to her subaltern sisters, Djebar speaks with them, emphasizing the collective nature of female expression. »

Elle croit qu’en racontant leurs histoires personnelles, les femmes peuvent reprendre leurs voix et leur pouvoir. Djebar espère que les femmes pourront aider dans la reconstruction d’Algérie et que dans l’avenir leurs voix seront étendues et acceptées.

http://www.english.emory.edu/Bahri/Djebar.html

 

Ici, j’ai une image de la peinture par Delacroix qui s’appelle, Les femmes d’Algers, fait en 1845.

Il illustre des algériennes sexualisée dans un harem, qui fument d’haschisch. L’image ne reflète pas la réalité de l’Afrique du nord vraiment, mais plutôt les conceptions et les idées européens d’Afrique. Mais nous voyons encore comment les femmes algériennes sont soumises, soit par les européens, soit par leur propre société. Djebar travaille de combattre cet inégalité, de réfuter les stéréotypes dans tous ses écritures.