Pensées

J’ai quelques pensées liées à notre discussion en cours…

Concernant les romans, il est vrai qu’ils n’aient pas vraiment touché la basse classe, mais ils ont formé la fondation pour la transformation sociale (Hunt 39). C’est à dire, le roman n’était que la première étape dans ce procès, les graines desquelles les vérités évidentes augmentaient. Donc, il n’y avait pas d’action politique immédiatement après la prévalence des romans empathiques.

Aussi nous discutions le lien entre l’empathie et les medias. Je crois que ceci effectue considérablement notre approche globale. Angela a mentionné la tendance (surtout dans les Etas Unis) à faire attention aux grandes désastres et les pauvres des autres pays pendant que nous ignorions les pauvres ici, dans nos villes. En mon avis, chaque vie est égale, ainsi on devrait aider également les gens dans tous les pays (hypothétiquement). Mais le point est que le media réfléchit ce déséquilibre d’attention. Par exemple, maintenant, le media concentre sur les désastres à Haïti. Mais après quelque temps, le media ne parlera pas beaucoup de Haïti, même que les Haïtiens auront encore besoin d’aide. Même dans notre propre pays, les victimes de l’ouragan Katrina reconstruisaient leurs maisons des années après la catastrophe, quelque temps après le media a arrêté la parler. Ceci n’est pas a dire que cette mentalité erroné est tout la faute du media, mais le lien entre les deux est intéressant.

J’aimerais bien entendre des autres opinions de ce sujet…

2 thoughts on “Pensées”

  1. Je suis d’accord avec vous—il faut toujours avoir des nouvelles à discuter, donc le média ne parle que des événements récents. Il devient facile donc d’oublier les situations de pauvreté et de souffrance chronique. Vous dites que c’est « une tendance humaine » de voir seulement ce qui change—et je crois que c’est peut être vrai. Nos vies sont si occupées que c’est difficile de se rappeler de chaque problème mondiale, particulièrement quand la plupart de ces problèmes sont permanents. Peut être que chacun de nous s’intéresse à un ou deux problèmes—à cause d’un lien familiale ou bien l’expérience personnelle—mais enfin on ne peut pas nous rappeler toujours de TOUT qui se passe à la fois.

    On a dit jeudi que l’expérience d’un pays (par exemple, après un été de service quelque part, ou à cause de la famille) nous fait penser de ce pays—et par conséquent on s’intéresse à ce pays. Mais est-ce qu’on s’intéresse à chaque petite nouvelle—ou est-ce que « s’intéresser » en ce cas veut dire lire les articles, quand on voit le pays dans le New York Times ?

    Notre discussion de l’empathie souligne peut être qu’il y une autre « tendance » de sentir de l’empathie envers les gens qui souffrent (particulièrement quand le média nous donne des images si émouvants)—mais enfin, c’est impossible de se rappeler de chaque pays et de chaque individu qui souffre à la fois. C’est à la fois essentiel et impossible qu’on se rappelle de la souffrance—donc quoi faire ?

  2. Je suis d’accord avec ton point de vue – le roman a influencé le mouvement des droits de l’homme, mais il fait partie d’un procès. On peut même soutenir que le roman est devenu populaire après que ce mouvement avait déjà commencé et, donc, que la direction du rapport entre le roman et ce mouvement était l’inverse. Il est probable que les deux existaient symbiotiquement – l’un a encouragé le développement de l’autre.

    Ton deuxième point souligne un problème moral. Est-ce qu’on doit servir son propre pays avant les autres? Beaucoup de gens diraient que oui, mais puis la question devient: qu’est-ce que ça veut dire être un citoyen mondial? S’il y a des pays et des peuples qui ont besoin de plus d’aide que les autres, n’est-ce pas juste de leur donner plus de ressources? Je ne crois pas qu’il y a une seule réponse correcte à ces questions, mais c’est intéressant d’y penser.

    Et les médias attire toujours l’attention sur les catastrophes et les grands changements rapides. Donc, la pauvreté statique, la peine constante, la douleur persistante – quoique ces situations soient partout – n’apparaissent pas souvent dans les médias. Je crois que les médias donc révèlent la passion de l’esprit humain pour les événements de changements. C’est peut-être une tendance humaine de faire l’attention sur ce qui change et de ne pas voir ce qui est toujours présent.

    Qu’est-ce que vous en pensez?

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