Assia Djebar se faisait un nom dans le monde de l’écriture, comme un des plus connues et influentes écrivaines d’Afrique du nord. Quand on voit son corps du travail on remarque qu’elle concentrait sur quelques thèmes, à savoir la soumission d’Algérie par la France, la période coloniale, l’Independence, les femmes cloîtrées, le nationalisme, le corps, la voile et la voix. Son livre L’amour, la fantasia est souvent décrit comme son chef d’œuvre, ou au moins, son œuvre le plus connu. Publié en 1985, le livre parle à tous ses thèmes susmentionnés. Son style de prose dans ce livre est aussi quelque chose d’analyser. Elle mélange un peu d’autobiographie, et un peu d’histoire, avec des vignettes courtes des autres femmes algériennes ; elle saute de l’invasion en 1830 à la guerre d’Independence du milieu du siècle vingtième. Ce mélange défie la typique histoire linéaire. Il y a quelque chose de musicale de cet histoire fluide, elle divisé même son roman dans des ‘mouvements’ comme dans un ouverture.
Son but ultime est de parler pour toutes les femmes oubliées et silencées pendant les années. J’ai trouvé une critique du roman qui dit :
« Djebar joins her own voice and life story with the stories and voices of Algerian women revolutionaries, replacing silence and the colonizer’s version of history with a celebration of female experience and expression. Speaking neither for nor to her subaltern sisters, Djebar speaks with them, emphasizing the collective nature of female expression. »
Elle croit qu’en racontant leurs histoires personnelles, les femmes peuvent reprendre leurs voix et leur pouvoir. Djebar espère que les femmes pourront aider dans la reconstruction d’Algérie et que dans l’avenir leurs voix seront étendues et acceptées.
http://www.english.emory.edu/Bahri/Djebar.html
Ici, j’ai une image de la peinture par Delacroix qui s’appelle, Les femmes d’Algers, fait en 1845.
Il illustre des algériennes sexualisée dans un harem, qui fument d’haschisch. L’image ne reflète pas la réalité de l’Afrique du nord vraiment, mais plutôt les conceptions et les idées européens d’Afrique. Mais nous voyons encore comment les femmes algériennes sont soumises, soit par les européens, soit par leur propre société. Djebar travaille de combattre cet inégalité, de réfuter les stéréotypes dans tous ses écritures.
Je trouve ça vraiment intéressante. Surtout votre point que son but est de parler pour les femmes. Comme on a parlé le dernier jeudi, elle s’intéresse beaucoup aux femmes, et au fait qu’il n’y existe pas beaucoup d’information à propos des femmes. C’est quelque chose triste et ça me fait penser au mouvement qu’on a aux États-Unis de « Her-story » (qui se met en contre de « His-story »). Les auteurs comme Djebar qui essaient de reconstruire l’histoire en incluant les personnes qui ont étés oubliés est vraiment important pour comprendre le passé.