Tout le monde connaît la Champs-Élysées, la rue qui symbolise pour plein des étrangers le cœur de la ville de Paris. Mais en réalité, une rue qui était le centre culturel de tous choses françaises ne maintient pas encore des traditions parisiennes en faveur des grands magasins qui viennent, en fait, des autres parties du monde.
Il y a un article très intéressant au New York Times qui décrive les changements profonds de la rue et les expériences des gens qui travaillent et habitent là-bas. En particulière, « l’Américanisation » qui imprègne non seulement les magasins eux-mêmes mais aussi la mentalité de plusieurs gens françaises. Où il y avait des petits magasins qui sont fait marcher par des familles, ces jours il y a nombreuses des McDonalds, Virgin Records, même un Abercrombie & Fitch (qui est, j’étais horrifiée de trouver, énormément populaire avec visiteurs) le long de la grande rue. « Cet avenue n’existe pas dans les esprits des parisiens » a dit une écrivaine françaises. Il était une fois que cette rue avait jouée un grand rôle dans l’histoire de la France – les troupes militaires américaines avaient marchés là-bas après la libération de Paris à la fin de la deuxième guerre mondiale. Mais maintenant elle fonctionne plus comme Times Square aux Etats-Unis : les « vraies » New Yorkers ne vont jamais à Times Square ; pour eux, il ne signifie rien de la rythme culturelle de la ville, les petits façons divers de la vie qui révèlent New York comme un endroit tellement spécial. Mais les visiteurs y affluent toujours. Le problème avec ce scenario, c’est que en rendant visite ces sites terriblement touristiques, on rate complètement la vraie magie des endroits qui possèdent, en fait, des grandes valeurs culturelles. Dans le cas des Champs-Élysées, qu’est ce que on manque quand les petites jolies magasins qui représentaient le charme parisien n’existe plus au face d’encore un autre Nike, une autre invasion américaine ?
De dire Les Champs Elysées est à Paris comme Times Square est à New York, c’est absolument correct. Les vrais New Yorkers n’y iraient pas toute comme les vrais Parisiens n’y iraient non plus. L’article mentionne qu’il y a six ans, H&M ne pouvait pas s’installer là-bas, et cela m’a intéressé car c’était mon magasin préféré de toute la rue. J’ai honte d’admettre ça parce qu’on a plein d’H&M aux Etats-Unis. Mais, je justifie cette décision parce que les marchandises étaient différentes en Europe. L’autre chose dans l’article qui m’a intéressé, c’est la diminution des cinémas comme centre culturelle. Beaucoup comme les magasins aux Champs Elysées, les films américains se trouvent partout dans les cinémas français. Beaucoup de publicités pour les films que j’ai vus l’année dernier, c’étaient pour Very Bad Trip 2 (The Hangover 2), Sexe entre amis (Friends with Benefits), et Comment tuer son boss (Horrible Bosses). Alors, on peut dire que les films français doivent rivaliser avec les grands films américains tout comme les magasins aux Champs Elysées.
Sarah, après avoir lu ton blog, je peux vraiment m’identifier à toi. Je suis allée à Paris pour la première fois cet été et mes meilleures expériences n’étaient pas dans les lieus plus touristiques. Je me suis bien amusée avec un dîner sur la terrasse (qui domine l’onzième arrondissement) avec un ami parisien et sa famille, une visite au lycée Henry IV, en explorant les magasins d’occasions, en regardant un club des échecs donne un leçon aux joueurs (c’était très intense), et le voyage inoubliable à la Bourgogne avec ma famille d’accueil. Je pourrais écrire tout le jour sur mes rencontres extraordinaires, mais ce qui m’a frappée c’était la réponse que ma sœur d’accueil, Marie, a donné à sa mère quand elle a suggéré une visite aux Champs-Élysées. Elle a demandé, «Pourquoi aller à voir ce qu’elle peut aux États-Unis?» Bien que Marie se soit opposée à cette excursion, elle m’a emmené.
Tout de suite, quand je suis arrivée à cette rue célèbre j’ai remarqué ce que Marie a dit. J’ai vu GAP, Abercrombie & Fitch, McDonald’s, Starbucks, et un Disney Store. J’ai lui demandé son opinion sur McDonald’s et Starbucks et elle a répondu qu’elle aime (peut-être tolère) les choses qu’ils offrent à boire et à manger, mais elle a expliqué qu’il n’y a aucune aspect français dans le service ou les options sur le menu. Elle a déclaré qu’un McBaguette n’est pas français. Elle a soulevé que le concept de «fast food» est très asocial. D’un autre côté, elle a exprimé que ces établissements américanisés nuisent aux endroits de famille. Après avoir écouté l’opinion de Marie et sa mère et puis après avoir vu les Champs-Élysées, je dirais que la richesse de la rue dissimule beaucoup de l’histoire et que plusieurs Français ne voient pas cette rue actuelle symbolique pour une «vraie» raison. Effectivement, une belle rue qui a perdu son âme.
Le créole:
J’ai décidé de faire plus de recherche sur la formation du créole. Jusqu’à présent, je n’avais pas réaliser l’emblème que signifiait la création du créole. Il y avait beaucoup de faits intéressants. Ceci est une langue qui est très historique et qui a eu un impact important dans l’histoire de la colonisation. Cette langue s’est créée à l’aide de la rencontre de trois peuples: la France, les Caraïbes et l’Afrique. Le mot “créole” a une origine portugaise qui descend du mot latin “métis noir qui vient du Brésil.”
Langue créée au XVIe et XVIIe siècle qui traite la colonisation des peuples de couleur durant ces années très importantes au niveau de l’esclavage et de la liberté raciale. Il y a plusieurs types de créole, tout dépendant de l’endroit dont l’apprentissage s’est produit. Cette langue peut se définir comme étant un mélange de plusieurs langues puisque les esclaves étaient demandés d’apprendre, en très peu de temps, plusieurs langues comme les français, l’anglais, l’espagnol et le portugais. Tous les types de créole sont définies en commençant par le “créole à base de” et se termine en décrivant de quelles autres langues plus populaires dérivent elles. C’était aussi un moyen pour les esclaves de communiquer sans que les “maîtres” comprennent leurs dialogues. Cela leurs permettait d’obtenir une certaine liberté d’expression sans que l’autorité puissent les pénaliser.
Le créole est devenue populaire et a pris de l’expansion géographique durant plusieurs décennies. Cette langue peut maintenant être entendue partout dans le monde à l’exception de l’Europe. Même si initialement cette langue était parlée seulement par les esclaves, elle a su acquérir du respect au niveau linguistique partout dans le monde et est maintenant une langue très populaire.
Pour terminer, j’ai beaucoup apprécié cette recherche sur le créole qui m’a permi de comprendre la vraie nature et l’origine de cette langue.
http://www.karaibes.com/creole.htm
http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/amsudant/creole.htm
http://m.youtube.com/watch?v=YYMxdrAr6TU