Aux Etats-Unis, on écoute souvent les mots « Arab Spring » aux journaux et immédiatement on les associe avec des révolutions africaines. C’est trop facile de compartimenter les effets de ce désir pour la démocratie comme un problème seulement arabe et seulement africain, mais quand un continent riche et libre existe déjà vers le nord de cette grande révolution, la participation des pays de ce continent est imminent.

Aux nouvelles ici on apprend que les liens entre les français et les africains pendent le « Arab Spring » sont double. Premièrement, beaucoup de pays touché en Afrique par ce mouvement étaient les vieilles colonies de France, particulièrement la Tunisie qui était le provocateur de la révolution. En plus, le gouvernement de la France a recommandé d’utiliser le pouvoir de NATO pour soutenir les rebelles au Libye. Mais ce que les chaines d’informations ont négligé à diffuser est l’effet de la révolution africaine sur les rues de Paris.

Depuis avril, le gouvernement français a aidé les milliers de réfugiés tunisiens à Paris, mais récemment, après trois dons, ils ont décidé que l’aide temporaire doit être arrêté. Cet article nous pose le question : quel est la responsabilité d’un ancien colonisateur quand ces anciens colonies devient en crise.

http://www.france24.com/fr/20110830-france-immigration-revolution-tunisienne-migrants-aide-mairie-paris-fin-hebergement-urgence-precarite