Don Vappie will be visiting Duke on Monday and Tuesday, March 22nd-23rd, giving a public performance/lecture in the Rare Book Room at Duke University at Noon on Monday (See below).
To learn more about him in advance of his visit, read this interview done with him as part of a documentary on the history of the banjo. Don is on his way to Boone, where he will be participating in the Black Banjo Gathering.
Don Vappie was part of Otis Taylor’s album Recapturing the Banjo, and performed here at Duke last year as part of that project, which you can learn about here:
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DON VAPPIE
New Orleans Banjo Virtuoso
Talks about and performs the music of the CREOLE BANJO
March 22 at NOON
Rare Books Room, Perkins Library
Painting of Don Vappie by Jane Lovett Holt
Don Vappie is one of New Orlean’s most remarkable musicians, who has recovered and performed largely forgotten French Creole music, as well as working to help artists in New Orleans in the wake of Katrina. He will be discussing and performing his music during the event. All are welcome!
Sponsored by the Center for French and Francophone Studies and the Department of Music.
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Avant avoir écouté à la musique de Don Vappie, j’avais pensé à tous les stéréotypes qui entoure le banjo. Pour moi, le banjo est toujours un instrument qui représente le manque de la civilisation. Ca veut dire que cet instrument devient un outil des hommes qui habitent dans les petites villes des montagnes ou du sud. Donc, dans mon cerveau, j’imagine le bande classique du bluegrass avec quelques joueurs : un qui joue le banjo, un qui joue la planche à lavé, un qui joue le pot de whiskey, et un qui joue un basse simple. Cependant, après avoir entendu la musique de Don Vappie, j’ai gagné un nouveau niveau de respecte pour l’instrument. Au lieu d’avoir un ton simple, j’ai réalisé que le banjo est très complexe dans ce qu’il peut faire. Je trouve que j’avais pris par la culture qui entoure le banjo, et pas la musique pure. Donc, quand Vappie a joué, j’ai eu un petit éclaircissement, et le banjo ne correspondaient avec les opinions préconçues que j’avais. J’étais tellement surpris et ravi que j’ai eu cet opportunité de corriger mes vues.
L’année dernière je suis allé voir Don Vappie avec Otis Taylor à Duke- il a participé au projet Recapturing the Banjo, un groupe de banjoistes afro-américains. Il s’avère qu’il y a plusieurs genres “noirs” de jouer du banjo, Vappie joue une musique dans la tradition de Johnny St. Cyr, le banjoiste dans l’ensemble de Louis Armstrong et de Jelly Roll Morton, mais il y a aussi un genre “clawhammer” (qu’utilise Otis Taylor et Keb Mo dans le clip, par exemple) qui est entierement différent. Il est fascinant qu’il existe tant de traditions individuelles “afro-américaines” au sein de la musique d’un seul instrument.
Don Vappie mentions the historical relationship the banjo has to Creole and, even further back, African culture. I was wondering if he has ever played these older musical instruments and what he believes to be the differences in sounds and rhythms that they produce compared to that of the modern day banjo?
Le banjo a une histoire longue et intéressante, et nous avons déjà parlé un peu en classe de cette histoire de la musique créole. Comment est-ce que cette histoire influence la façon dont Vappie comprend ce genre de musique? Comment est-ce que la musique créole a changé?
De plus, je m’intéresse à comment cette histoire influence l’intérpretation par l’audience. Est-ce que l’audience de cette musique comprend généralement toute l’histoire ou est-ce qu’on peut apprécier la musique sans savoir rien de cette histoire?
With my knowledge of the banjo fairly limited, I appreciated Don Vappie’s interview providing some background on the banjo and his own connection to it. A question I have for Mr. Vappie is more elaboration on the preserve versus conserve for the banjo. I agree that keeping out the young people to ‘preserve’ the image people have of banjo-playing, but once the great ones die, they will take their music with them. However, how do you maintain-freeze- the past forms of jazz, when the key part of jazz is improvisation?
“Louisiana, the dominant culture was basically Creole French.”
I would like to know whether music is more or less affected by Creole culture, relative to other arts such as theatre, literature, cuisine and so on. Are there socio-economic divides that are more specific to music and are these divides evident in the music scene of New Orleans?
Je trouve interessante aussi que l’association negatif entre le banjo et les perceptions de la société. Il a dit que, “And he was one of the guys playing the banjo in New Orleans when we’ve got all these negative stereotype images, nobody in my generation wants to play a banjo. They thought it was just Uncle Tommin’ for the white folks, I mean that’s what it was about. The generation before me, and I kinda understand some of those things… “. Donc, je suis curieuse de savoir si M. Vappie sent la perception du banjo a changé et si oui, ce qui a contribué à une nouvelle perception.
Beaucoup de personnes dans la classe ont un choc en ce qui concerne les stéréotypes négatifs du banjo. Mais je pense que c’est assez évident qu’il y a les stéréotypes négatifs en ce qui concerne l’usage du banjo par les habitants du sud et les blancs hommes du sud. Cependant, c’est intéressant quand Don dit qu’il y a des stéréotypes négatifs avec les noirs du sud et les esclaves. Il dit :
“And he was one of the guys playing the banjo in New Orleans when we’ve got all these negative stereotype images, nobody in my generation wants to play a banjo. They thought it was just Uncle Tommin’ for the white folks, I mean that’s what it was about.”
Je pense que les étudiants doivent savoir que le banjo est un instrument des esclaves parce que c’est un aspect de la culture Afro-Américain. C’est aussi un aspect de l’histoire de la sud parce que le banjo influençait la musique de jazz ou de créole.
Enfin, j’ai trouve un vidéo sur un projet qui s’appelle « The Banjo Project. » La vidéo explique les problèmes avec l’histoire du banjo et la vidéo explique l’influence de banjo. C’est intéressant d’écouter la musique dans la vidéo parce que la musique est très traditionnelle et reflète la culture créole et l’influence afro-américaine dans le sud.
http://www.youtube.com/watch?v=pqRL3N1veSA
Aussi, voici un autre film très intéressant sur le sujet du banjo. Bien qu’il ne discute beaucoup les influences créoles sur le banjo, il parle beaucoup des “stéréotypes” associés avec le banjo et sa transformation. Il est intéressant parce que l’interview avec Don Vappie dit qu’il croit que le banjo est comme un art meurt, mais cette vidéo, pour le banjo projet, propose que le banjo qu’un instrument rené avec “The Beverly Hillbillies” et Bluegrass/folk musique aux Etats-Unis.
http://www.youtube.com/watch?v=pqRL3N1veSA
J’ai deux questions pour Don Vappie. La première question est pourquoi est-ce qu’-il y avais une transition de banjo au tambour pour le pouls de la musique? Est-ce que cette transition au même temps de la naissance du “Rock and Roll”?
Ma deuxième question est s’il a déjà fait un banjo d’une calebasse? Si oui, qu’est-ce que la plus grande différence du son entre le banjo passe et présent?
In the interview, Don Vappie makes a distinction between preservation and conservation. He states, “A lot of people look at Preservation Hall in New Orleans as the place where you preserve jazz. But you gotta be careful. Preserve or conserve? Preserve can kill it.” It seems that in this context he associates preservation with assimilation into a pre-established notion of banjo music. I was wondering, what exactly does it mean to “preserve” or “conserve” a genre of music or its history? How might Don Vappie define and distinguish the two in relation to music?
One of the things that makes Don Vappie’s story so interesting is his passion for music and the apparent influence he has had on other artists and that other artists have had on him. My question falls more along the lines of the influence of culture. How does New Orleans and and the apparent Creole influence affect his music style and presentation?
After hearing his music, I was wondering how he got started playing the banjo. Did he learn to play the instrument his family? Or did he pick it up at some point? It would be interesting to hear his story about how he got started and what’s his motivations.
Comme beaucoup d’autres, j’étais fascinée par la lutte des joueurs du banjo aujourd’hui contre les stéréotypes négatifs: “And he was one of the guys playing the banjo in New Orleans when we’ve got all these negative stereotype images, nobody in my generation wants to play a banjo. They thought it was just Uncle Tommin’ for the white folks, I mean that’s what it was about.” Don Vappie a parlé un peu de l’éducation comme une façon de transformer l’image négative du banjo, et j’espère qu’il va discuter des autres idées, aussi.
J’ai fait un peu de recherche, et j’ai trouvé un site Internet de NPR avec des exemples de la musique du banjo et des photos de périodes différentes :
http://www.npr.org/templates/story/story.php?storyId=5223333.
Son discussion de comment accorder (en anglais: to tune) les cordes du banjo m’a intéressée aussi. Je joue le violoncelle, et il y a une façon d’accorder l’instrument, mais (rarement) les cordes sont accordées un peu trop haut ou bas selon la musique. Est-ce que Don Vappie peut expliquer comment le ton et le style d’une chanson changent quand les cordes sont accordées différemment ? Est-ce que l’accord influence si le banjo devient l’élément unifiant (le rythme) ou mélodique ? (“It was that unifying thing, it helped to create the swing. But I think the banjo in the islands did a whole lot more than that. It was melodic.”)
Vous avez dit dans votre interview :
« … we’ve all got these negative stereotype images, nobody in my generation wants to play a banjo. »
Cela m’a fait me demander s’il y a des personnes de ma génération qui s’intéresse au banjo. Y’a-t-il des jeunes musiciens de banjos notables ? Si non, pourquoi pas ? Et pensez-vous que le banjo va disparaître ?
After reading the interview, I would love to know what exactly Vappie does to increase banjo awareness in schools in New Orleans. He briefly describes an experience from these awareness programs but I would like to know a little bit more about the structure of the programs, how effective they are, etc. I think music awareness programs are really important, especially in areas with cultural ties to certain types of music or instruments, which is why I want to learn more about his vision for these programs. Along the same lines, I would also love to hear more about his work with helping artists in the wake of Katrina. Any more detail on either of these topics would be nice, and would most likely be inspirational!
Don Vappie’s relationship to the banjo seems to be unique in many ways. I know very little about the history of the banjo and would love a deeper understanding of its evolution in the Black community of New Orleans and how it became attached to the negative stereotypes that a few other people mentioned in their posts. How does he address these sentiments and this history in his jazz awareness programs? Professor Dubois also mentioned that Vappie has been helping artists in New Orleans in the wake of Katrina. What kind of work has he been doing with them?
Like Bryan, I am also wondering about the process of conserving jazz, versus preserving it, and what that looks like. Why is it specifically important to him to recover French Creole music played on the banjo?
One section of the interview with Don VAPP that I found interesting was his comment on preserving versus conserving, specifically, “A lot of people look at Preservation Hall in New Orleans as the place where you preserve jazz. But you gotta be careful. Preserve or conserve? Preserve can kill it.” In what ways does preservation kill jazz? Moreover, how do we allow for the controlled evolution of music (conservation?).
Vappie*, not VAPP
Jazz is by nature improvisatory, and preserving it might limit the ability of the player by forcing him into set constructs. However, as Bryan says, it would be interesting to understand the way in which Vappie and others seek to preserve and draw from the music’s creole roots, while allowing the musicians still to have agency in its production. I think that his demonstrated commitment to musical education (especially around the banjo) serves to do this in part. I do wonder though how much import he places in his performances on strictly preserving historical music versus modern interpretations of the traditional.
Je n’ai jamais visité Nouvel Orléans, mais j’imagine que cette ville est un endroit où beaucoup de styles de musique et de culture mélangent. Par exemple, l’influence des Antilles et de l’Afrique est assez forte, et le banjo est d’origine africaine. La musique est une partie très importante de la culture créole de Nouvel Orléans. Don Vappie est un Créole qui y a grandi et qui joue au banjo. Il dit que « Being from New Orleans, seeing Bourbon Street in the 70s, when I was much younger, and it was much different than it is now. » Dans quels aspects la ville est-elle différente ? Est-ce que ces différences influencent la musique, et comment ? Comment est-ce que la culture de Nouvel Orléans a changé depuis quarante ans ?
En ce qui concerne l’interview avec Don Vappie, je trouve que la question, « What makes the tune créole ? » est très intéressante. Quand il a reçu cette question, Don Vappie a répondu qu’il y a un rythme latin, avec un élément français ; il pense qu’il y a un mélange des ingrédients, comme « Blues », qui contribue à la « groove ». J’aime aussi comment il parle d’un « feeling » du musique. Dans son interview, il dit, « Listening to Johnny St. Cyr early on, listening to him with Jelly Roll, with King Oliver. There’s a feel there. It’s hard to really verbalize this, but the feel is so important, and that’s what I got from these guys. The feeling –what needs to happen. » A mon avis, vous pouvez vraiment voir la passion avec laquelle Don Vappie joue la banjo…
J’ai aussi été frappé par les mentions des stéréotypes négatifs du banjo. En fait, Vappie dit que : « they didn’t encourage young people playing there…Maybe that could be because a stereotype developed to where people were expecting to see old black musicians at Preservation Hall.” De plus, Vappie explique qu’on essaye de jouer de la musique stéreotypiquement créole afin de plaire aux touristes: « they tell you to play ‘the saints’ or end with ‘Down by the Riverside.’ Make sure you do those ‘New Orleans’ tunes. » Il me semble que les musiciens ou les industrie du tourisme pourrait conformer aux stereotypes afin de réussir. Est-ce que les touristes veulent vraiment voir seulement ce qu’ils pensent définit la musique créole ? Comment développer son propre style de musique tout en produisant ce que le public veut ?
Je suis d’accord avec Karla. Cette citation de l’entretien m’intéresse beaucoup :
« One of the things I’d do, cuz the kids would come in and go “Huh?” and we’d get ’em and I’d say, “Hold up, hold up.” I’d ask, “Which one of these instruments up here has its origins in Africa?” … So I would notice when I’d tell them, “Banjo comes from Africa.” Brought here by the slaves, and everybody would get quiet… It was like, wow… It was almost like a subtle sense of pride… »
Quel est le rapport entre la musique créole et l’identité contemporaine au Quartier Latin ? Les jeunes, est-ce qu’ils voient un lien entre leur histoire personnelle et l’origine de la musique créole ?
Je suis d’accord avec le sentiment de Kendra à propos du style créole, et comment le définir. Je pense que la question elle-même qu’on a posée est intéressante : on ne demande pas comment définir le style français ou le rythme latin, mais plutôt le style créole. Moi je pense que l’interviewer a l’opinion que le style français est plus pur, et il n’y a pas de ton créole sans considérer des influences.
De plus, je suis tout à fait d’accord avec ce qu’a dit Christine, que le banjo ne peut pas être expliqué à travers uniquement des mots. Mais je pense que cette idée montre un aspect plus personnel du banjo ; c’est-à-dire, que le banjo provoque des sentiments différents dans chaque personne, et la musique est la seule chose qui peut exprimer ces sentiments uniques.
Ce qui m’a frappé dans l’entretien de Don Vappie, est sa réponse à la question de l’intérêt et la prise de conscience des jeunes à New Orléans sur le rôle du banjo dans leur musique. Le fait que personne n’était conscient de la provenance du banjo m’a surpris un peu. En plus, la définition du ton créole donné par Don Vappie m’a intriguait. Comme Véronica, je me demande aussi ce qu’il voulait dire avec la phrase « similar to some of the island » ? Quelle est l’influence du « latin rhythm » dans ce ton créole et comment on peut remarquer cette influence ? Qu’est-ce qu’on écoute dans ce deux rythmes que les font des rythmes si similaires et comparables?
La partie de la vidéo qui m’a frappé, c’est le but du projet du banjo, qu’on “can’t claim [the banjo] back…just pay attention to history [of Africans and the banjo]”. Ou, dans les mots de Don Vappie, “celebrating the banjo and the African-American community.” J’admire la simplicité de cette tache et le désir sincère à montrer cette histoire aux autres.
J’ai une question pour Don Vappie concernant cette citation :
“nobody in my generation wants to play a banjo. They thought it was just Uncle Tommin’ for the white folks”
Qu’est-ce que c’est votre réponse à ça? Qu’est-ce que vous diriez à ce stéréotype ?
Il est intéressant que plusieurs fois dans l’interview, Don Vappie choit de répondre aux questions avec sa musique.
« MF : What makes a tune « creole » ?
DV : [PLAYING TENOR] A creole tune…[PLAYS AND SINGS] The almost latin rhythm, and it’s in French. It’s very similar to some of the island. [PLAYS] .. Same kind of groove… »
Alors c’est difficile à savoir ce qu’il veut dire parce qu’on n’écoute pas sa musique. Cependant, il y a l’idée que le banjo ne peut pas être expliqué seulement utilisant des mots. La langue ne fait pas justice au banjo. Pour comprendre l’essence du banjo, on doit l’écouter. J’espère qu’en classe Vappie va jouer du banjo.
Comme Veronica, je suis fasciné que le banjo est associé à des stéréotypes négatifs. Donc je voudrais demander à Monseiur Vappie d’expliquer un peu plus ce rapport. J’imagine que ces stéréotypes négatifs sont la raison pour laquelle peu de gens jouent le banjo aujourd’hui…mais c’est intéressant que Monsieur Vappie dit que “early on, it [the banjo] was sorta like the pulse of a band.” Est-ce que nous avons remplacé le banjo à cause de ces stéréotypes ?
De plus, voila le site web de Vappie: http://www.vappielle.com/CreoleJazzSerenaders.html
Le premier aspect qui m’a un peu surprise dans l’entretien de Don Vappie est le fait qu’il a ressenti une période où il y avait une image négative, stéréotypée, associée avec le banjo. Il serait intéressant d’apprendre plus sur cette expérience et la façon dont les gens faisaient la connexion entre cet instrument et les peuples colonisées, car Don Vappie mentionne que les gens qui jouaient du banjo se sentaient comme « uncle Tommin for the white folks. »
Comme Kendra, j’ai lu son réponse sur le ton créole avec beaucoup d’intérêt. Il me semble qu’il le définit comme un mélange d’un rythme latin avec des influences françaises. Mais c’est aussi intéressant que le musicien sent le besoin de jouer le banjo un petit peu pour pouvoir répondre à cette question. Je me demande quels sont les caractéristiques de ce ton créole qui déterminent Don Vappie à conclure que « It’s similar to some of the island. »
Quand l’interviewer a demandé à Don Vappie de définir la musique créole il a dit « A creole tune… [PLAYS AND SINGS] The almost latin rhythm, and it’s in French. It’s very similar to some of the island. [PLAYS] .. Same kind of groove… » Donc est-ce qu’il veut dire qu’il n’y a pas un style complètement créole ? Qu’il y a plusieurs éléments qui apportent à ce style, qu’il y a beaucoup de variation en ces chansons ? De plus, quel est le degré d’influence de « the almost latin rhythm. » Est-ce qu’on peut trouver plusieurs ressemblances entre les deux types de musique ?