Un traitement de la révolution Haïtienne

Il y avait beaucoup de côtés de la révolution Haïtienne, qu’on veut présenter dans le film.  Donc le personnage principal ne fait que regarder ce qui se passe. Comme cela, il sera objectif et les spectateurs peuvent apprennent les motivations et les croyances des côtés de la guerre.  Cet homme est un « gens de couleurs » qui est un propriétaire d’une plantation de canne à sucre et des esclaves.  Il est un parti de la même classe sociale que Julien Raimond.

Au commencement, l’écran montre des flammes destructives qui brûlent des habitations.  C’est un moment dramatique.  On écoute des hurlements, des rires, et des cris.  Puis on voit le visage de l’homme principal.  Il ferme les yeux et la scène saute aux années précédentes.

Le film expliquera l’Haïti qui existait avant que la révolution. On distinguera les rôles des habitants, comme les planteurs, les petits blancs, les esclaves etc.  On explorera les practices religieuses comme le Vaudou et le catholicisme. Tout cela les spectateurs verront par les yeux de l’homme principal.  Mais on apprendra aussi de ce qui se passe à Paris parce que l’homme recevra des lettres d’un ami qui y vit et qui lui raconte de la révolution et de l’Assemblé National.  Le fin introduira Toussant Ouverture, fier et magnifique, qui dit « ce n’est pas fini ! ».  

One thought on “Un traitement de la révolution Haïtienne”

  1. Dans notre groupe, nous voulions aussi souligner le contexte de la révolution haïtienne : et nous avons parlé du rôle de la religion en particulier. Par exemple, nous voulions représenter la cérémonie Bois-Caiman, et nous avons discuté comment le faire sans représenter des stéréotypes (tel qu’on a vu dans quelques vidéos au sujet de tremblement de terre). Comment représenter la religion vaudou dans une façon neutre et objective ?

    Nous avons décidé de focaliser sur quelques personnages principaux, comme Phillippeau, par exemple. Son histoire souligne quelques aspects essentiels à la révolution, comme les relations entre les esclaves et leurs maitres et la communication entre la France et l’Haïti. Nous voulions créer des nouveaux personnages aussi—une idée était de créer un général dans l’armée français, un homme blanc qui aurait supporté l’esclavage. En montrant les actions et les émotions de cinq ou six personnages, nous voulions représenter la complexité de la révolution haïtienne.

Comments are closed.