Original Discussion in English: http://sites.duke.edu/wcwp/2015/03/02/temples-of-the-earthbound-gods/
En discutant ce livre dans la section française, nous étions fascinés par le développement de l’argument que Christopher Gaffney a présenté. Il parle du symbolisme des stades en analysant quatre stades au Brésil et les stades en générale aux Buenos Aires. Il utilise cette méthode pour souligner comment les stades représentent les classes sociales et hiérarchiques dans la société au Brésil tandis que les stades en Argentine créer une atmosphère qui est provoquant et encourage l’hégémonie masculine (143). C’est intéressant parce que je n’ai jamais réfléchi aux stades comme des endroits qui unifient les différentes classes sociales ou qui peuvent encourager des actions chauvinistes. Mais, le plus que je réfléchi, le plus je me rend compte que cette culture existe et est très présent pas juste en Brésil et Argentine, mais partout le monde.
Par exemple, quand j’étais à Paris, je voulais vraiment aller voir un match de PSG. Alors, j’ai acheté le billet le moins cher pour aller regarder l’équipe la plus fameuse de la France. Quand je suis arrivé au match, j’étais en train de chercher pour mon siège. À mon surpris, il avait quelqu’un déjà debout au dessus de mon siège. L’homme m’a dit « ici, tu es avec les vrais fans, les mauviettes riches sont assis sur les côtés du stade. » Je n’étais pas prêt d’être au debout pour 90 minutes—mais je n’avais pas un choix.
Quand même, je me suis amusé très bien !
Mais, comme l’auteur discute, cette hiérarchie entre les spectateurs n’est pas étonnante. En Argentine, cette hiérarchie existe dans les stades de foot, mais aussi de polo et de rugby (168). Les stades en Argentine, comme mon expérience en France m’enseigné, sont organisé avec la considération des interactions des classes sociales et où les gens vont s’asseoir. Toutes cette considérations déterminent l’atmosphère pendant les matchs et encouragent les tensions entre les spectateurs après les matchs. L’auteur mentionne que cette hiérarchie est tellement présente dehors des stades aussi—dans les cartiers, les murs, et des magasins (172-173).
Evidemment, la culture de foot n’est que les couleurs des maillots où les succès d’une équipe, c’est beaucoup plus. Les stades sont des endroits où milliers personnes se sont rassembles avec des cultures, sexes, parties politiques, et class sociales différentes. Par conséquent, comme Christopher Gaffney raconte, ces stades provoquent des tensions sexuelles et distance hiérarchique qui sont présente partout la culture du foot—comme dans les hymnes et chansons des équipes. Je n’ai jamais pensé qu’un stade à Rio peuvent devenir un symbole d’interaction des classes sociales ou un stade à Buenos Aires repesent les tendances sexuels dans la société. Cela est la raison pour laquelle j’ai bien aimé ce livre car l’auteur m’a montré qu’un stade n’est qu’un lieu pour regarder un match, mais c’est une partie du foot qui est plus représentatif de la culture et comportements de la société.
C’est intéressant de comparer la culture du sport et le rôle du stade aux Etats-Unis avec la culture ailleurs. Généralement, on ne peut pas dire que les stades du sport professionnel sont des intersections des classes aux Etats-Unis. Le prix d’assister un match est trop cher pour la plupart des fans pauvres. Acheter les billets pour chaque match dans un saison est impossible pour tous sauf les fans riches. En outre, l’atmosphère favorise les familles et les supporters détendus. Peut-être la meilleure comparaison est avec les supporters-étudiants aux matchs d’université. Ici, il y a des supporters aussi ardent que les supporters de foot ailleurs en Amérique de Sud et Europe, mais leur rôle est bien différent. Ils sont les étudiants comme les joueurs, puis ils représentent un lien entre les joueurs sur le terrain et les supporters dans le stade. Alors, il n’y a pas une grande mélange des classes différentes, mais cependant une meilleure connexion entre les supporters et les athlètes.
J’ai pensé que le livre était très intéressant – il me fait penser de mes experiences dans les stades, en particulier dans les different sports et pays. Pour moi, le plus intéressant experience sur une stade que j’ai eu était dans le stade de Boca en Rio. Il y ont different sections de stades pour chaque syndicat de crime, et c’est dangereux si on melange entre les deux. C’est un vrai hiérarchie et representation de le monde sociale autour de stade.