Pour moi, je n’ai pas une grande passion pour le football. Je ne supporte pas vraiment une équipe spécifique ou un joueur spécifique. Cependant, je trouve la relation entre la culture du football et la culture d’un pays intéressant. Spécifiquement, la relation entre la race des joueurs au Brésil et la dynamique de la race dans cet pays. Dans une passage puissant dans The Country of Football: Soccer and the Making Of Modern Brazil, Roger Kittleson parle des complications de la race et du football dans l’histoire du Brésil sur page 14:
“Based on this symbolism, the performance of Brazilian teams in international soccer competitions provided a ready measure of the nation’s standing vis-à-vis other countries. Regional rivalries—with Uruguay and especially Argentina—piqued Brazilian interest, but contests with European sides held special significance.”
Dans l’histoire du monde, l’Europe a toujours été une lumière brillante. Et j’ai été surpris de voir comment ce complexe de supériorité a affecté le football et les joueurs brésiliens au début du XXe siècle. L’Europe, et l’Angleterre spécifiquement, étaient très civilisées et les citoyens étaient très blancs. Alors, être un pays civilisé, Brésil devait être “européen” ou ils devaient être “blanc” parce que le pouvoir et la richesse étaient seulement associés à la blancheur pendant ce temps. Kittleson dit aussi:
“From the very start of soccer’s history in the country, Europe—not just specific teams or countries but an imagined, united Europe—represented an ideal of modern civilization that Brazil should strive to attain or, if somehow possible, overcome. Even those who rejected this goal found themselves having to frame their projects for the nation in reaction to it, so hegemonic was the appeal of European modernity.”
C’est triste que puissant et l’autorité étaient seulement associé avec la blancheur (la couleur de la peau). Cela a créé beaucoup de racisme intériorisé qui affecte encore le Brésil à ce jour et alors que le football populaire a contesté ces problèmes (“The spread of popular soccer, though, threatened two defining traits of the elite game: whiteness and amateurism” sur page 26), c’était encore un gros problème qui a façonné l’histoire du Brésil.
Seleçao
L’image:
http://www.brasil.gov.br/esporte/2010/07/primeira-copa-do-brasil-teve-13-participantes/PH_FOT_01682_033.jpg/view