Que ferons-nous avec les stades après la Coupe de Monde?

By | December 8, 2013

Le post de Becca sur les stades au Brésil me fait rappeler du mon voyage à l’Afrique du Sud et du grand problème dont les grands stades de la Coupe de Monde posent aux pays organisateurs : que ferons-nous avec les stades après la Coupe de Monde ?

Dans l’été de 2011, j’ai habité à Durban, Afrique du Sud pendant trois mois avec DukeEngage (un programme sponsorisé par l’université). A Durban, j’ai travaillé avec des organisations non-gouvernementales qui aident des jeunes dans un quartier qui s’appelle Wentworth. Pendant la période que j’étais à Durban, j’ai appris beaucoup de la culture sportive et l’histoire du rugby et du football. J’ai parlé avec des jeunes et j’ai vu le contrecoup persistant du apartheid avec les populations qui jouent chaque sport. Selon les jeunes à Durban, le football reste comme le sport préféré par les Sud-Africains noirs et Sud-Africains de couleurs tant que les Sud-Africains blancs aiment le rugby. Néanmoins, tout le monde joue les deux sports dans une certaine mesure. Nous avons aidé à un camp d’entrainement gratuit pour le football à Durban et j’ai pu voir l’amour pour le football.

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Le moment de mon voyage était très intéressant en particulier parce que c’était l’été après la Coupe de Monde- la première Coupe de Monde en Afrique ! Il était évident pendant notre voyage que l’économie et les gens d’Afrique du Sud souffraient des effets secondaires (« une guele de bois ») de la Coupe de Monde. Nous sommes allés au grand stade à Durban, Moses Mabhida. Le stade était vraiment incroyable avec un grand arc et une capacité de 62,760 places. Moses Mabhida a coûté $450 million et reste comme une attraction touristique après la Coupe de Monde. Nous avons marché sur le terrain et c’était vraiment un spectacle. De plus, nous avons pris le funiculaire au sommet du stade pour une vue sensationnelle.

  

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Cependant, je n’ai pas compris comment le stade resterait ouvert parce qu’il n’a pas été utilisé souvent pour des événements après la Coupe de Monde (sauf le cricket). J’ai demandé aux habitants si Moses Mabhida est un avantage pour la communauté après la Coupe de Monde et s’il a crée du travail. Leurs réponses ne m’ont pas surpris parce qu’ils ont dit que le gouvernement a dépensé trop pour le stade et qu’il aurait pu avoir utilisé cet argent pour les programmes sociaux. En outre, Moses Mabhida n’est pas viable financièrement et il y a un déclin des touristes.

Nous pouvons apprendre de l’exemple de Moses Mabhida et les épreuves que le stade a fait face. J’espère que le gouvernement brésilien pense à long-terme avec ses stades et comment il peut les utiliser pour enrichir le pays.[1]


[1] J’ai pris toutes les photos dans ce post

One thought on “Que ferons-nous avec les stades après la Coupe de Monde?

  1. June Zhang

    Vinay, tu as des bonnes points. Avec ma recherche sur les stades de la Coupe du Monde 2014 en Brésil, je crois que le gouvernement et FIFA ont des plans concrets pour les stades apres la competition. Par exemple, il y a de speculation que le stade Amazonia a Manaus va devenir un prison pour soulager la surpopulation. Aussi, beaucoup d’autres stades vont être la centre d’une nouveau ville avec plus de commerce, attractions touristes, et transportation publique.

    L’idées pour la manipulation des stades après la Coupe du Monde est bénéficiaire, mais je suis curieux si il est vraiment possible et efficace. C’est trop d’un investissement financement pour les stades à se perdre. J’espère que le gouvernement et FIFA arrivent a comprendre que les stades auront une fonctionne utile après la compétition.

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