Le Coupe du Monde de Sans-Abri et le pouvoir du foot

By | April 18, 2019

Pendant que je lisais le livre de Gwendolyn Oxenham Under the Lights and in the Dark: Untold Stories of Women’s Soccer, je trouvais très intéressant le chapitre sur Becca Mushrow, Fara Williams, et le Coupe du Monde de Sans-Abri (Homeless World Cup). Je voulais donner plus d’informations sur ce sujet parce que je pense que ce n’est pas quelque chose très connue.

Le tournoi a été fondé il y a plus de dix ans. Depuis sa fondation, plus d’un million de sans-abri ont joué dans le tournoi qui se passe chaque année. Chaque année un autre pays abrite le tournoi pour les 500 joueurs qui le suivent. Le succès du tournoi est profond : 94 % des joueurs disent qu’il a changé positivement leurs vies. Et outre de seulement le tournoi annuel, l’organisation “Homeless World Cup” affectent 100,000 par année par leurs partenaires locaux.

Sur son site-web, les fondeurs disent qu’ils cherchaient une solution au problème mondial de l’itinérance. Ils ont choisi de l’aborder avec “la langue universelle” – le foot. Je trouve cette décision intéressante parce que je pense que ce n’est pas une approche conventionnelle, mais je vois totalement comment le sport – et le foot en particulier – pourrait unifier les gens pour une recherche commune qui est très inspirante. Comme Oxenham dit, “de jouer devant une foule, d’être vue par tout le monde, de représenter son pays – [Becca Mushrow] n’avait jamais senti rien de la sorte” (70). Après qu’elle est allée au Mexique pour le Coupe du Monde de Sans-Abri, Becca Mushrow a dit “‘dans le Mexique j’ai vu qu’il y a plus de la vie’ … Elle est partie de Mexique avec un désire de voyager, d’apprendre, de voir des cultures nouvelles” (72). Becca Mushrow est un exemple bon du 94 % des sans-abri qui ont des vies améliorées par le foot et le Coupe du Monde de Sans-Abri.

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