Avec notre lecture « Country of Football » par Roger Kittleson, et notre discussion aujourd’hui sur les chants au stade, nous avons exploré le rôle du racisme au football. En Brésil, par exemple, les immigrants et les personnes de couleur étaient initialement exclus de jouer pour certaines équipes. Au début, pendant le 1930s, l’équipe national brésilien était totalement européen. De nos jours, malheureusement, on constate les exemples de racisme au foot aussi. Comme nous avons discuté, Dani Alves, dans un match contre Villarreal en 2014, a mangé une banane que les fans racistes lui ont jeté, et il a commencé le « nous sommes singes » mouvement partout. Je suis curieux qu’il y avait les problèmes similaires avec le racisme dans le football français, parce qu’on trouve un mélange des identités, races, et cultures dans l’équipe et dans le pays. Voici mon recherche et résultats.
La victoire française dans le Coupe de Monde de 1998 a créé une image unifiée pour la France, et l’esprit de « Black-Blanc-Beur », une connotation positive vers une équipe multiculturelle.
Mais, en 2006, George Freches, un socialiste au sud de France, a déclaré « J’ai honte de ce pays. Bientôt (l’équipe nationale de football) sera onze noirs quand il serait normal d’en avoir trois ou quatre ». Suite a cette déclaration, le président Jacques Chirac a rassuré les gens que l’égalité était la première priorité pour le pays. Peu importe, beaucoup étaient furieux. En 2011, un enregistrement des officiels de fédération français a émergé, dans lequel les officiels discutaient un quota pour limiter les arabes et les joueurs noirs du programme national de formation. En 2016, juste avant la Coupe d’Euro, Karim Benzema, Eric Cantona, et quelques autres ont accusé l’entraineur national Laurent Deschamps d’être raciste en excluant les joueurs d’origine d’Afrique du nord. Peut-être, selon eux, Deschamps a été influencé par les attentats terroristes.
On trouve une autre façon de ce problème avec la manque des minorités qui sont entraineurs. En 2016, seulement deux des 40 équipes dans les deux premières ligues françaises avait un entraineur-chef minoritaire. Lillian Thuram, qui a joué pour l’équipe national en 1998, accepte que le racisme n’ait pas disparu dans le football français. Dans le futur, c’était important que la fédération de football nationale favorise ouvertement la diversité et le multiculturalisme dans le football français, et crée les opportunités pour les entraineurs minoritaires et les jeunes joueurs minoritaires. La France était belle à cause de sa diversité, et son équipe de football devrait refléter cela aussi.
Bibliographie :
http://www.marca.com/en/football/national-teams/2016/06/02/574f582ee5fdea68258b4622.html