La semaine dernière, Zahir Belounis était autorisé de revenir en France, le chapitre ultime d’une saga incroyable. Belounis, footballeur franco-algérien, est déménagé au Qatar en 2010 pour jouer pour l’équipe el Jaish. Quand el Jaish l’a loué à une autre équipe, le premier club a cessé ses paiements de salaire. En réponse, Belounis a intenté un procès à el Jaish, mais il n’a pas réussi à obtenir son salaire. Au contraire, el Jaish a refusé de le payer ; en plus, le club ne lui a pas permis de sortir le Qatar avant que Belounis renonce le procès. Belounis ne pouvait pas sortir le pays sans accord formel du club grâce aux lois kafala, un groupe de lois qataries qui subordonne des travailleurs—même des footballeurs—aux employeurs. Pendant cette épreuve, Belounis ne vivait pas que de la générosité de sa famille en France, la communauté expatriée au Qatar, et des citoyens qataris.
Ce qui me frappe le plus de l’histoire de Belounis n’est pas la violation des droits de travailleur, même si la violation est flagrante. L’aspect que je trouve le plus intéressant est le fait que, malgré l’abus, Belounis aime le Qatar, et il admet que le Qatar peut organiser une grande réussite en 2022. Initialement je n’ai pas compris comment une victime de l’oppression peut apprécier le pays où il est opprimé. Cependant, après avoir lu un article de l’affaire Belounis dans le New York Times, j’ai compris qu’il faut faire la distinction entre l’Etat et une poignée de cadres à el Jaish d’un part, et la majorité de citoyens qataris, qui sont innocents d’autre part. Beaucoup de Qataris ont sentaient de compassion, et certains d’entre eux sont allés au-delà de ce qui aurait été attendu, donnant de l’argent à la famille de Belounis pour qu’elle pût survivre. En plus, il ne serait pas logique pour Belounis de n’avoir que de critique de Qatar, car c’est le lieu de naissance de ses filles.
Malheureusement, l’histoire de Belounis n’est pas le seul exemple d’une tragédie résultant du système de travail au Qatar. Tout le monde a commencé de examiner le système de travail au Qatar parce que la FIFA a choisi ce pays comme pays organisateur de la Coupe du monde en 2022. Le journal The Guardian a découvert en septembre que des dizaines de travailleurs népalais eussent mort pendant qu’ils étaient en train de construire une nouvelle ville pour la Coupe du monde. Selon l’auteur de l’article révélateur, le système de travail au Qatar ressemble à celui de l’esclavage. Les exemples de Belounis et des travailleurs népalais sont un grand embarras pour la FIFA et, par conséquent, son choix de la Qatar comme pays organisateur est souvent critiqué dans les médias.