Par Emily Berntsen
Juste après les attentats récents, l’UEFA a “confirmé que la France accueillera l’Euro 2016 malgré les menaces” (Press Association). N’empêche, Monsieur Kanner, le ministre des sports en France, promet que “L’Euro aura lieu sous les conditions de sécurité maximale” (Allen) assurant la sûreté du public et ceux qui sont engagés dans le tournoi. En plus, selon Jacques Lambert, président de l’Euro SAS, sa principale préoccupation aujourd’hui, “c’est d’offrir le niveau de sécurité le plus élevé possible” (Ferret). En fait, il a dit que “si cela doit passer par des mesures moins friendly, tant pis, car ce qui m’importe, c’est que les gens rentrent chez eu sains et saufs” (Ferret). Ainsi, les officiers de l’UEFA essaient de soulager le public à propos de la menace terroriste en leur promettant que leur but principal pendant le tournoi sera de garantir la sécurité du pays et empêcher n’importe quelle tentative de lancer une attaque. Afin de donner suite à cette promesse, de nouvelles mesures de sécurité seront mises en œuvre avant le commencement du tournoi. Ces mesures seront extensives, couvrant chaque partie possible de l’événement; d’où une garantie que n’importe où le public voit les matchs, ils ne seront point menacés. N’empêche, selon Lambert, la sécurité était toujours un intérêt dans la préparation pour l’Euro: “le risque terroriste était présent le début, mais [les attentats récents] nous ont amené à durcir notre position et à renforcer les moyens” (Pommier) encore plus. En fait, selon l’UEFA, “pendant trois ans maintenant, le comité d’organisation de l’Euro 2016 a travaillé étroitement avec les autorités concernées pour développer les mécanismes les plus appropriés, afin de garantir un tournoi en toute sécurité, et nous sommes confiants dans le fait que les mesures nécessaires seront prises” (Ferret). Ainsi, les organisateurs de l’événement ont compris l’importance de la sécurité au début, mais à ce moment-là, nous étions dans “un risque théorique” (Dupré), qui a évolué jusqu’à maintenant à un “risque possible” (Dupré) qui exige des mesures supplémentaires de sécurité. Cependant, après les attentats récents, les modifications ont été déjà apportées à la sécurité des matchs de football. Par exemple, actuellement, “il y a déjà un cordon plus épais pour les matches du PSG et une plus forte présence policière autour le Parc de Princes” (Rodden). Ou, après l’attentat du 13 Novembre, après que le Stade de France a “rouvert ses portes lors du match d’ouverture du tournoi des Six Nations de Rugby en Février, les services de sécurité étaient sur les dents; des snipers postés sur les toits et un double filtrage des spectateurs” (Pommier) étaient mises en œuvre afin de garantir la sécurité du match. En plus, Thierry Braillard, le secrétaire d’état aux sports, voulait souligner que “les kamikazes en Novembre ont tenté de pénétrer au Stade de France mais ils n’ont pas pu” (Ferret), grâce au mesures de sécurité déjà installées sur place; d’où une plus grande confiance que la sécurité des stades sera bien assurée, d’autant plus que les mesures supplémentaires de sécurité seront mises en œuvre.
Vidéo: Thierry Braillard sur la sécurité du tournoi
Cependant, la sécurité offerte aux citoyens pendant le tournoi n’est pas seulement la responsabilité de l’UEFA; en fait, il s’agit d’une “coproduction entre l’état et l’organisation” (Pommier). En effet, un “protocole d’accord sur la sécurité de l’Euro 2016 a été signé entre l’état et la Fédération Française du Football, répartissant les tâches et les compétences” (Ferret) de n’importe quel aspect de la sécurité de n’importe quel lieu pendant le tournoi. Il était décidé que la sécurisation “des stades, camps de base, et hôtels des équipes sont à la charge de l’organisateur” (Ferret), tandis que le reste – c’est à dire les autres endroits dehors ces lieux- “relève de la compétence de l’état” (Ferret). Depuis l’atteint de cet accord, ils ont établi un “groupe de travail national sur la sécurité entre l’état et Euro 2016 SAS” (Ferret) qui travaille continuellement à organiser les plans de sécurité et diviser les responsabilités. Ce groupe de travail “réunit régulièrement entre les sociétés chargées de veiller à la sécurité et les forces de l’ordre” (Pommier) pour qu’il y ait un rapport efficace et coordonné entre les différentes organisations pendant l’Euro. En plus, il y a beaucoup de mesures de sécurité générales qui augmentent le niveau de sûreté autour le tournoi. Premièrement, chaque ville d’hôte a vu “une hausse du budget de 15%” (Pommier) pour qu’ils puissent dépenser plus d’argent sur la prévention du terrorisme pendant les matches. Il y a eu aussi un “travail spécifique sur la cyber-criminalité et les drones” (Pommier) afin de préparer pour n’importe quelle menace. Concernant la transportation, les “parcours entre les gares et le Stade de France ainsi que les rames, sur les liaisons RER B et RER D seront particulièrement surveillées” (Huffington Post). En plus, chacune “des 24 équipes nationales disposera d’un service de sécurité” (Pommier) pour protéger les joueurs. En tout, le “périmètre de sécurité sera donc doublé” (Pommier) car les autorités veulent éviter toute menace possible. Alors, il est clair que des mesures de sécurité “sans précédent seront en vigueur” (Express) dans le pays en général pendant le tournoi, mais il y a deux cibles particuliers qui valorisent peut-être plus d’attention des organisateurs du tournoi: les stades et les fans zones.
Vidéo: L’Euro 2016 menacé?
Comment citer cette page: “Mesures de sécurité en général,” Written by Emily Berntsen (2016). European Cup 2016 Guide, Soccer Politics Blog, Duke University. http://sites.duke.edu/wcwp/tournament-guides/european-cup-2016-guide/securite-de-leuro-2016/24326-2/
