Il est le troisième meilleur buteur de l’histoire allemande, ( il a marqué 49 fois). Le 29 mai 2013, il a inscrit le but le plus rapide de l’histoire de l’équipe nationale allemande, après seulement neuf secondes de la victoire 4 à 2 amicale contre l’Equateur. Lukas Podolski, né en pologne mais ayant grandi en allemagne est un joueur allemand connu qui a joué dans des clubs tels que FC Köln, le Bayern München, l’arsenal, l’Inter Milan, le Galatasaray et maintenant le Vissel Kobe. Podolski entretient de très bonnes relations avec le sélectionneur allemand Joachim Löw, qui a qualifié cet homme de 31 ans de “l’un des plus grands joueurs de l’histoire de l’Allemagne”. En dépit de nombreuses critiques et de ses lacunes, il quitte l’Europe en tant que héros culte de presque tous les clubs où il a joué. Sa sympathie étrange laisse toujours une bonne impression et ayant grandi à Cologne, les murales dédié à lui autour du ville ne sont pas rares et il est maintenant fier d’être le copropriétaire d’une célèbre chaîne de restaurants turcs de la ville.
Passé dans les rangs des jeunes du FC Köln et ayant grandi dans la ville, Podolski a souvent profité de son temps libre pour retourner en Rhénanie et profite régulièrement de son amour pour la région. En ce sens, il est plutôt à l’aise en Allemagne, mais il est aussi un internationaliste intrépide qui a joué en Angleterre, en Italie et en Turquie avec Galatasaray, alors que nombre de ses coéquipiers allemands ont été plus qu’heureux de rester en Bundesliga. Venant juste d’achever son séjour à Istanbul, il est sur le point de partir pour le Japon pour jouer avec Vissel Kobe, de la J-League. Podolski a pris sa retraite du football international le 22 mars 2017 après avoir marqué le but gagnant lors d’un match amical contre l’Angleterre. Pour moi en particulier le fait que le “héros local” de la ville dans laquelle j’ai grandi, a décidé de jouer à Galatasaray, l’équipe turque que je soutiens était une coïncidence étrange mais heureuse. Un joueur avec une trajectoire de vie similaire à la mienne, ayant vécu avec de nombreuses cultures différentes, Podolski reste toujours fidèle à ses racines: “Pour moi, ce club, cette ville, ces fans sont vraiment à la maison”, écrit-il dans un article de BILD. “Et: je reviendrai au 1. FC Köln en chemise ou dans une autre position.” Bien que je sois turque, je comprends Podolski, car Köln sera toujours ‘chez moi.’