Il y a trois niveaux à une joueuse, où chaque niveau représente un aspect différent d’une personne qui joue le football. Les trois identités différentes fusionnent et composent la personne connue comme « la joueuse ». C’est difficile de définir la personne sans une de ces identités parce que ils sont nés de passion, de choses sans intérêt, de la routine quotidienne et du besoin d’être le meilleur. Comme trois rivières entrelacées, ces identités affrontent et usent chaque autre, mais ils ont besoin l’un de l’autre parce que chaque choix que la joueuse fait influence directement les courants des rivières. Il y a la professionnelle, le niveau premier où la joueuse met un masque. Elle joue au football comme une vedette et une célébrité. Sous la façade est le niveau deuxième: la personne. Ici, la joueuse fait les choses normales dans sa vie courante comme des taxes, une espace sans le football, ses stades ou ses spectateurs. Au dernier niveau, il y a “la joie”. Cette place est où la joueuse a trouvé son amour pour football et où sa passion réside. Dans cette rivière, tous les problèmes avec la vie normale ou la vie professionnelle disparaissent. Une joueuse vit une vie fatigante, alors elle réfléchit sur ses expériences, ses choix et son cœur pour s’assurer qu’elle peut être tout qu’elle veut être.
Les lumières, les bruits, le gazon, les spectateurs, et le ballon. Ce sont les images brûlées dans l’esprit de la professionnelle quand elle marche dans le stade. Les stades avalent chaque joueuse et ils crachent seulement une coquille vide de la vraie personne. Le football n’est plus un jeu entre les amis de quartier. Le bonheur n’est pas déterminé en jouant juste parce que le seul moment quand une joueuse peut célébrer est après avoir marqué un but.
Quand elle ne joue pas au football, la joueuse est un citoyen moyen. Elle fait une promenade dans le parc près de quartier. Après, la joueuse fait les courses pour la nourriture, les argenteries et le vin. Elle se souvient de visiter sa famille qui habite juste à l’extérieur de la ville. Elle veut voir comment ses cousins font à l’école ou parle à sa mère de la maladie de sa grand-mère. Elle est la personne sans tous les aspects du football. Entre chaque match. Elle ne s’inquiète pas pour le but ou l’arbitre ou les spectateurs. La joueuse est humaine, même si seulement pour une courte période.
Pour pratiquer ou redécouvrir sa passion, elle joue un petit match avec les garçons et les femmes du coin. Elle est à la fois professionnelle et humaine. Le terrain communautaire devient le stade pour les voisins se rassembler et trouvent la joie dans le football. La joueuse trouve la pureté en touchant juste le ballon. L’odeur de son quartier déclenche la passion et à ce moment-là, c’est juste le ballon et la terre.
