Avant le début de COVID-19, un procès entre les titulaires des l’équipe féminine de football des États-Unis et la Fédération de football des États-Unis développait rapidement. Le groupe a reçu le statut d’une classe; elles réclament que elles suffrent les conditions de travail et à des salaires inégaux lorsqu’ils jouent pour leurs pays.
Recennement, le federation a donné son opinion, large et au public, montrent dans les documents judiciaires. Leur argument: l’occupation d’un joeur national masculine demande plus de travail de travail d’un jeuese nationale feminine. La discrimination est au cœur de cet argument. Clairement, l’équipe comprend: elle réclame maintenant 67 millions de dollars de dommages et intérêts.
C’est la même base de discrimination que millions des femmes en Iran recoit chaque temps elles veulent aller au un match de football. Jusqu’à récemment, ils étaient complètement interdits de matches de football. Aujourd’hui, ils sont toujours effectivement interdits. Le football avait les caractéristiques d’un match; sans l’expérience d’un.
Le stade était vide car il était un match amical. Il n’était pas les spectateurs masculin. Les femmes ont été empêchées de se déplacer dans les tribunes. Tous les éléments de preuve renforcent l’argument que la séparation peut être égale. Les Etats-Unis ont résolu cette source de racisme légalement dans les années 1960. Le sentiment persiste. Aux États-Unis, il existe heureusement des structures juridiques que les gens peuvent utiliser pour exiger l’égalité. Il n’y pas la cas en Iran. Dans une dictature, les filles s’immolent pour regarder le football. L’equipe des Etats-Unis, et specifiquement Megan Rapinoe a magnifiquement et fièrement souligné son histoire. Leur objectif avait nuancé: expliquer son histoire, ignorer la fausse «réforme» de la dictature et critiquer la FIFA.
FIFA faut beaucoup d’expliquer. Malhereusement, Iran n’est pas un cas isolé. Pour un Federation Internationale avec un base en Europe et supposées valeurs libérales, plus de demi des femmes dans le monde ne peut pas jouer.
Source : Time
Les femmes en Iran sont également confrontées aux mêmes couvre-chefs discriminatoires. La présence légale obligatoire du hijab empêche directement les femmes de jouer. Et dans l’ouest, l’instinct est devenu non libéral. Aux Etats-Unis, nos la réaction immédiate était de célébrer une «victoire» avant que peu de personnes ne réalisent les fausses nouvelles. En France, dans un match en Grenoble, deux spectateurs qui avaient un protester aux sujet de le situation du football féminin en Iran, ont été escortés du match. Bien sur, FIFA s’est excusée après le match et la liberté d’expression est protégée à l’ouest (correctement), la réaction est venue de la même réaction instinctive que la société utilise pour discriminer.
Alors, quand il semble que le confrontation entre Rapinoe et l’equipe et le Federation Americain, il faut se souvenir que la discrimination n’est pas arriver dans un vide. Nous devons suivre l’exemple de l’équipe féminine.