Dans son livre Le match du football. Ethnologie d’une passion partisane à Marseille, Naples et Turin, l’anthropologue Christian Bromberger analyse la sociologie du football, y compris la foule sportive qui a «un statut mixte, hybride, intervallaire balançant entre l’affirmation d’une volonté collective et l’appréhension lucide d’appartenances singulières, entre la conscience aiguë de ce qui se dit et se fait et le débridement des émotions» (210).
Dans l’article de Bromberger que vous avez lu cette semaine, il décrit le jeu comme une sorte de rituel : « [le football] gives the group the opportunity to celebrate itself by performing and displaying itself, both in the stands and on the pitch » (311). Comme le Professeur Dubois montre dans son post, le film Zidane, un portrait du 21e siècle exemplifie ce côté ritualistique du football. Sorti en 2006, ce film expérimental suit Zidane en temps réel pendant les 90 minutes d’un match du Real Madrid contre Villareal CF au stade Santiago Bernabéu à Madrid.
http://https://www.youtube.com/watch?v=e5EharkjNBc
Le film communique son message à travers la forme, pas forcément à travers des méthodes conventionnelles comme la narration. La réponse des critiques au film a été mitigée, certains l’ont vu comme une œuvre d’art et d’autres comme un jeu de marketing. Vous pouvez accéder à un résumé des critiques ici :
http://www.allocine.fr/film/fichefilm-56722/critiques/presse/
Mais comme le Professeur Dubois l’a bien souligné, notre perception et opinion du joueur Zidane influent sur nos réactions au film.
Cette semaine, vous allez écrire un commentaire qui répond à la fois à la lecture de Christian Bromberger et au film Zidane, un portrait du 21e siècle. Identifiez dans le film des moments-clés qui vous semblent pertinents à la lumière de votre lecture de « Football as World-View and as Ritual ». Quels sont les points essentiels de l’argument de Bromberger? Est-ce que vous trouvez les mêmes composantes dans le film ?
Ecrivez des phrases entières et en français dans la section commentaires ci-dessous avant 17h00 (5 p.m.) mercredi le 20 janvier.
Pour moi, l’article et le film à deux ont renforcé quelques croyances que j’ai à sujet du foot avant de visionner le film et l’article. Moi, j’ai aimé le foot depuis mon enfance et j’ai toujours cru que le foot est plus qu’un jeu. Je suis né en Munich, Allemagne où je me suis passé près que deux ans. Quand ma famille habitait à Munich, notre maison était située très proche de l’ancien stade du Bayern Munich, l’équipe que mes parents soutiennent passionnément jusqu’au aujourd’hui. Comme j’étais très petit quand j’habitais en Allemagne, j’ai oublié tout ce qui s’est passé là-bas, mais pas des matches du foot auxquels mes parents m’amenaient. A ce moment, je peux encore sentir la ferveur et passion des fans quand leurs plus favoris joueurs ont pris le ballon, dribblé devant les défenses de l’opposition et enfin, marqué des buts avec plein de élégance et grâce. Depuis que je suis arrivé aux Etats-Unis, je trouve que même si on peut trouver la même ferveur et passion parmi les fans des sports d’équipe américains, le foot se distingue encore comme le plus populaire sport dans presque tous les pays du monde sauf les Etats-Unis et quelques autres pays anglophones. Je pense que le film et l’article à deux nous donnent une très bonne explication de pourquoi le foot est le plus populaire sport du monde.
Après avoir vu le film et l’article, je suis convaincu que Zidane c’est exactement le type du joueur du foot dont son existence soutient l’argument que le foot ne soit pas seulement un jeu entre deux équipes d’onze, mais aussi une façon par laquelle on peut exprimer ses valeurs sociales. Dans le film, il me semble évidemment que Zidane soit regardé comme un dieu par la foule sportive : dès que Zidane a pris le ballon et commencer à jouer, la foule criaient tout à coup bien plus fort comme elle s’est réveillé d’un rêve et trouve que son rêve est devenu une réalité en le personnage de Zidane. Pourquoi la foule est totalement ensorcelée par Zidane ? Je pense que l’article a raison en disant que la foule regarde Zidane comme la représentative d’une façon de vie que tout le monde a vécu dans les pays industrialisés.
M. Bromberger a dit d’abord que le foot est un jeu profond qui intensifie et agit des valeurs de vie contemporaine. Cependant, il y a des philosophes qui opposaient cet argument et croyaient que la raison d’être des divertissements populaires c’est pour nous donner une illusion de solidarité à masquer des tensions entres les classes sociales. Ces philosophes comparaient les divertissements populaires avec l’opium. Quelques exemples que M. Bromberger discute dans son article sont que les réussites de l’équipe italienne et l’équipe argentine étaient exploités comme des propagandes. Mais il y a aussi quelques contre-exemples comme les joueurs algériens qui formaient la Front de Libération Nationale après avoir quitté la ligue français. Selon M. Bromberger, comme le foot nous distrait la vérité de notre vie mais parfois aussi la représente, deux rôles qui se contredisent, il symbolise aussi les deux plus importants éléments qui sont ce qu’il faut à réussir dans le monde. Ce sont le mérite et la chance – le foot est une méritocratie parce que les joueurs qui courent plus vite où renvoient le ballon mieux gagnent souvent le match. Mais pour la foule, il leur semble souvent qu’il y a aussi un élément de chance comme les occasions où l’arbitre se trompe en accordant un but quand le buteur est hors-jeu où le ballon ne franchit pas la ligne du but.
C’est pour ces raisons que le foot pris sa place comme le plus populaire sport du monde.
L’article de Christian Bromberger et le film sur Zidane présentent tous les deux des similarités. Tout d’abord on apprend dans l’article de Bromberger que le football est le sport le plus populaire du monde sauf dans quelques pays comme les Etats-Unis. Même si l’on n’observe pas directement le manque d’audience de ce sport aux Etats-Unis, on remarque clairement que le football en Europe, et plus précisément en Espagne, rend la foule absolument folle. Cette foule applaudi Zidane à chaque fois qu’il touche le ballon. Zidane est une véritable célébrité, adoré du public madrilène.
Un autre point important dans l’argumentation de Bromberger est le fait que la popularité du football vient du fait que ce sport idéalise des idées démocratiques fortes. En effet, le foot montre que n’important qui peut devenir une star si cette personne y met le travail qu’il faut. Zidane est l’exemple parfait de ce « rêve démocratique » car il vient des quartiers pauvres de Marseille et a réussi à être l’une des plus grandes stars du football. Il est aussi important de noter l’aspect expérimental du film avec un travail sur le son et les effets sonores ainsi que sur de nombreux zooms.
Pour moi, l’article et le film à deux ont renforcé quelques croyances que j’ai en avant de les regarder à sujet du foot. Moi, j’ai aimé le foot depuis mon enfance et j’ai toujours cru que le foot est plus qu’un jeu. Je suis né en Munich, Allemagne où je me suis passé près que deux ans. Quand ma famille habitait à Munich, notre maison était située très proche de l’ancien stade du Bayern Munich, l’équipe que mes parents soutiennent passionnément jusqu’à présent. Comme j’étais très petit quand j’habitais en Allemagne, j’ai oublié tout ce qui s’est passé, mais pas des matches auxquels mes parents m’amenaient.
Après avoir vu le film Zidane un portrait du 21e siècle et lu l’article de Christian Bromberger qui s’agit du Football comme une vision du monde et un rituel, je suis convaincu que Zidane c’est exactement le type du joueur du foot qui soutient l’argument que le foot soit plus que un jeu entre deux équipes d’onze. Dans le film, il est évident que malgré le fait que Zidane se passe la plupart de son temps sans le ballon, dès que Zidane l’a pris, il me semble que tous les spectateurs se réveillaient tout à coup.
Comme Prof. Dubois a discuté en classe, Zinedine Zidane est un joueur avec une histoire très spécifique et un contexte culturel très spécifique. La discussion de Bromberger de l’identité locale qui se manifeste à travers le football et le style (Football, excitement and local identity, 302-305) est importante pour comprendre le film et comment ils utilisent Zidane. En centrant son point de vue, les réalisateurs permettent à chacun d’identifier avec lui, alors que les Français lui auraient vu comme différent pour sa nationalité et son milieu. Bromberger déclare que le football permet une « expression of collective identities » (302), qui, pour les Français, coulait à travers Zidane. La forme du film humanise Zidane, avec une narration subtile qui rapproche à son enfance et son amour de jeu. Parce qu’il était un récipient pour l’imaginaire collectif français (304), il semble plus grand que la vie. Le film parvient à résister à ce type de mythe de la creation.
Bromberger discute également le concept de l’autre, en profondeur. Le football crée une communauté, un groupe interne et un groupe externe. Normalement, si il n’a pas joué au football, Zidane serait à l’extérieur de la société française. Bromberger déclare que le football et le composition des équipes, crée, « ‘a global social rationality’, deriving, to a large extent, the local conception of citizenship and the perceptions of the Other » (305). Le perception des autres changements quand le football est impliqué. Le film comprend ce concept, quand il vous met dans la tête de Zidane pour montrer sa pleine intégration dans le groupe interne français et sa place dans la société français.
Dans le film, “Zidane : A 21st Portrait”, ma réaction la plus grande est arrivée en voyant et essayant de comprendre l’attitude que des spectateurs français avaient vers Zidane. Ils l’ont aimé. Peu importe qu’il a fait, comment peu ou grand, ils ont applaudi et ont acclamé. Ceci était intéressant à moi parce que partout dans le film, je n’ai pas vu que Zidane ait fait beaucoup ou aient joué très durement. Il marchait souvent sur le terrain et il s’arrêterait quand le ballon a été emporté. Il est un joueur incroyable, mais à l’étape de sa carrière quand le documentaire a été filmé, je pourrais croire qu’il ne jouait pas son jeu le meilleur. Pourtant néanmoins, les supporters l’ont supporté et toutes les actions qu’il a prises sur le terrain.
Après avoir lu l’article, “Why is There No Soccer in the United States” par Andrei S. Markovits, j’ai commencé à me demander si des spectateurs américains traiteraient un athlète dans un sport américain populaire qui a été en retard dans sa carrière comme le français a traité Zidane. J’ai commencé à penser à Tom Brady dans six ans ou Derek Jeter il y a un an. J’ai décidé que des supporteurs américains ne seraient pas comme la sorte. Tandis que les supporteurs américains supporteraient toujours le joueur, honoreraient lui ou elle comme un grand joueur et se rappelleront sur ses points culminants de carrière, ils ne supporteraient pas et acclameraient le joueur si lui ou elle ne jouaient pas au sommet de leur jeu. Plutôt ils les supporteraient pour mettre à la retraite et laisser des joueurs plus jeunes prendre le projecteur.
Parce que je ne comprends pas de football très bien à ce point et peut-être Zidane était au sommet de son jeu plus tard dans sa carrière, j’attends avec impatience d’apprendre plus du jeu et l’aide comprend les différences culturelles qui expliqueront pourquoi les supporteurs de football américain, par exemple, sont si différents de supporteurs de football en France et dans le monde entier.
Au debout du film, j’ai remarqué ce qu’une commentatrice avait dit : « Pendant ce jeu, les spectateurs vont impressionnés avec chaque interaction entre Zidane et le ballon. » D’après l’article écrit par Brombeger, le football est presque une expérience religieuse. Cette hypothèse est confirmée par la réaction des supporteurs du Real Madrid à Zidane. Chaque mouvement provoquait exaltation. Zidane est regardé comme un dieu ; il pouvait transformer l’acte le plus banale à une situation palpitante. En regardant le film, on a l’impression que Zidane a des qualités miraculeuses. Il peut prédire le mouvement du ballon ; chaque interaction était précise. Son jeu était suffisant. La simplicité avec laquelle il jouait, avait un aspect féerique.
Bromberger parle aussi du football comme une contradiction : le jeu donnait aux spectateurs un sentiment d’unité, mais aussi une de compétition féroce. Zidane lui-même représente une contradiction. Aujourd’hui il est bien connu par la grâce et la technique qu’il démontrait en sa manière de jouer. Par contre on se souvient aussi de son emportement pendant le Mondial du 2006 en lequel il a donné un coup de tête à un joueur Italien. En plus, il est regardé comme un des meilleurs athlètes françaises, même s’il est le fils d’immigrants Algériennes et la relation entre les deux pays est une de discorde.
Zidane joue simplement et doucement. Il est une minimaliste parce qu’il ne court pas beaucoup, mais il court vite des temps en temps quand c’est important. On peut voir l’intelligence de Zidane si on regarde son visage et ses décisions. Par exemple, Zidane recevait le ballon et il sait qu’il y a quelqu’un qui vais le tacler. Donc, il décide de positionner le ballon et son corps pour que l’autre jouer commettre une faute sur il. Si on regarde Zidane, c’est clair qu’il reçoit intentionnellement la faute parce qu’il est calme et prêt pour le contact.
On peut voir l’expérience et que Zidane est un peu vieux. On peut voir qu’il est confortable et il a vu toutes les choses avec le sport avant. Il court seulement quand il a besoin de courir et pas comme un jeune joueur qui courir beaucoup et quand ce n’est pas nécessaire. Zidane pense a moins trois étapes à l’avance et il peut voir qu’est-ce qui va passer après il passe le foot.
C’est cool et vrai qu’on peut voir toutes ces choses quand on voit Zidane. Peut-être c’est parce que j’ai d’expérience jouer le sport, je peux reconnaître les qualités d’un bon joueur.
Le film et les exemples que je discutais montrer que football est un rituel pour les professionnels comme Zidane. Il joue avec concentration et c’est comme un autre jour au travail. Bromberger écrit que football est très populaire parce que le sport a le « capacity to embody the cardinal values that shape modern societies. » Bromberger discute toutes les émotions avec le sport de foot, mais au même temps on peut voir que les joueurs (qui ont plus d’émotions) ne montent pas les émotions ou écouter au public. Les principales de foot que Bromberger discute dans l’article sont le même partout dans le monde. C’est intéressant qu’on peut regarder c’est film en n’importe quel langue. Football est vraiment une langue internationale.
M. Bromberger a dit dans son article que « [le football] shows us who we are » (311). Cette proposition est le cœur de l’argument, est c’est pourquoi il discute tous les facettes variées du football sous l’angle de rituel. Il y a quelques moments importants dans le film Zidane qui reflètent l’importance de cette proposition clé par donner à l’audience une image de l’homme Zidane et pas la superstar.
Bromberger commence son analyse du football avec l’idée de « deep play » (294). Pour Zidane, un match est un jour de travail ordinaire, mais cette explication ne suffit pas. Le football, à son nature, est un jeu, une espèce de « play ». Bromberger prend une étape plus : il maintient que ce « play » est vraiment signifiant dehors de n’importe match spécifique. Il apparait que les cinéastes du film sont en accord : commencer au moment (35 :00) dans le vidéo on écoute les sons de jeu des enfants superposé sur le match. Aux même temps que Zidane joue dans un match professionnel avant des milliards de fans, il prend part dans un jeu comme il avait fait depuis sa jeunesse, et pour la même raison : la joie simple du sport. Il est vrai que Zidane se comporte gravement (il a souri seulement une fois), mais les cinéastes suggèrent avec leur choix de son créatif que l’attention sérieux de Zidane est un exemple de jeu joyeux.
Bromberger touche aussi sur les spectateurs dans son article, principalement sur leur engagement avec le match. Il décrit un match de football comme un « ritualized war » dans lequel les fans sont les « support divisions » et s’appellent « ‘brigades’, ‘commandos’, ‘legions’, and ‘assault troops’ » (302). Le match n’est pas un conflit isolée comme un bataille entre gladiateurs ; au contraire, les fans se voient comme des soldats et des participants. Il y a beaucoup des moments pendant le durée du film quand le bruit des fans est entendue, mais il y a un moment en particulaire qui reflet quelque chose de l’essai de Bromberger. Au moment (6 :44) on voit très brièvement les grands flags brandi par la foule devant le goal. Cette instance forme un lien entre l’idée des fans comme participants dans une guerre ritualisée (Bromberger fait référence aux « anthems, military fanfares and banners » des fans (302)). En plus, c’est un exemple de ce que Bromberger appelle « performing and displaying [eux-même] » (311). Pour certains fans, un match est une façon pour être reconnait sur une échelle grande. Bromberger discute par nom les Ultras, des hyper-fans pour qui un match c’est presque plus au sujet d’eux-mêmes et pas l’équipe qu’ils soutiennent, et au moment (52 :22) on voit des bannières avec le mot « ULTRAS » sur la face (311). Ce moment est un bon exemple d’une des raisons Bromberger a mis en avant pour les émotions et motivations derrière le soutien d’un équipe par les fans.
Bien sûr il y a beaucoup d’autre moments qui reflètent l’essai de Bromberger, mais pour moi ces deux sont parmi les plus clairs ou importants.
L’essai 《Football as World-View and as Ritual》de Christian Bromberger traite de obsession de la monde avec football. Objectivement, football est juste, comme dit Philippe Soupault, une joue sans valeur inhérent. On connaît que football est plus de sport normal. L’essai ensemble avec le documentaire 《Zidane, un portrait du 21e siècle》illuminent les raisons du transcendance de football. Bromberger dit que 《As well as individual performance, it need not be stressed that football values team work》. Le documentaire supporte l’argument que football est individuelle ainsi que coopérative. Zidane est le premier attention du documentaire, une jouer sur les vingt-deux joueurs dans la terrain. Zidane est un héros, une jouer très accompli et populaire. Pour les supporters occasionnel, Zidane est sont centre. Mais, dans la fin du documentaire, l’équipe du Zidane est devenu important. Zidane reçu un carton rouge, et ses coéquipiers l’ont supporté. Le héros, Zidane, nécessité aide.
Le film, dans sa totalité, supporte la contradiction entre l’absurdité de football et la grande importance du cette sport. On regarde une homme marche, jogging, et joue avec une ballon. Mais cet documentaire est très populaire et intéressant. Tout les aspects du football saisissent l’attention du monde. C’est incroyable que une film qui représente juste une jouer dans la totalité d’une match hasard est intéressant.
Ce documentaire donne une vue unique d’un joueur du foot réussi où on peut voir les émotions qui sont exprimés par du langage corporel et des expressions faciales. Les réactions de Zidane sont vraiment fortes, on peut lui voir rire et sourire et quelques instants plus tard, il est en colère avec l’arbitre et des joueurs de l’autre équipe. Zidane n’est pas inconnu pour être en colère sur le terrain : beaucoup des gens rappellent quand il donna la tête au un joueur du foot de l’équipe italien pendant le Coupe du Monde de 2006. Mais être un joueur du foot très connu ne signifie pas qu’on est exempte des règles. Par un moment dans le film, Zidane marche avec confiance à l’arbitre, comme il fait quand quelque chose lui contraire. Mais par un geste avec les mains, l’arbitre signale qu’il est en charge et que le joueur faut le respecter. Dans ce documentaire, on peut voir plus que dans un match du foot à la télé, mais quelques détails sont toujours difficiles de repérer. Bromberger note que le pouvoir d’arbitre ne doit pas être oublié et il nous rappelle que l’arbitre doit faire des décisions par choses qui sont difficile pour les spectateurs de voir clairement. Il note que le jeu est gouverne par un certain sens d’incertitude. Cela demande des techniques compliques et un certain partie est gouverne par chance. Selon Bromberger, mérite ne suffit pas (257). Zidane est rappelé de ça quand l’arbitre signale son rôle. Donc, le football est un jeu gouverne par une hiérarchie pour renforcer des règles et d’ordre, mais aussi par la chance et pour beaucoup des gens: l’idée du destin. Les joueurs talentueux sont récompensés mais faut respecter des règles et les gens au pouvoir, et une certaine partie est gouverne par la chance. Selon Bromberger, il devient une métaphore de la vie. Le film du Zidane aussi peut donne le même idée: un homme qui va à travers la vie, qui se souvient de moments de son enfance qui l’a amené à où qu’il est maintenant. Il montre que la chance peut changer le cours de la vie et le jeu, et que déviant des règles entraîne d’exclusion des privilèges – dans la vie cela peut signifier l’exclusion de la société par l’emprisonnement par exemple, et dans football l’exclusion de jeu par exemple en recevant le carton rouge comme Zidane dans ce film après une bagarre avec des membres de l’autre équipe.
Selon Bromberger, «Des match du foot montre un droit de la vie moderne: L’interdépendance complexe de destins individuels et collectifs dans la route de bonheur (299). » Ça veut dire que le match réfléchit des mêmes idées de notre vie: que nous sommes partie d’un communauté qui devons travailler et faire notre partie dans l’intérêt de la société. Mais au même temps, nous sommes des individus avec des talents individuels. Donc nous sommes interdépendant des autres membres de la société mais au même temps notre effort est important : même si un match de football. Dans le documentaire, nous suivons principalement un joueur du foot: le star Zidane. Nous recevons une vue intime du joueur et commençons à comprendre comment cet individu a obtenu du grand succès et comment il s’agir dans un match. Mais dans des petits moments, on peut entrevoir des interactions avec des autres personnes qui sont partie du jeu. Les moments quand Zidane est en désaccord avec quelqu’un montre qu’il est difficile d’être dépendant de quelqu’un d’autre. Aussi, quand il reçoive le carte rouge, ça montre qu’il faut obéir certains règles, ou sinon on serait puni. Mais aussi, on voit des bons moments avec ses autres membres de l’équipe : quand ils rirent et rigolent ensemble. En comparant le texte de Bromberger et le documentaire « Zidane » on peut comprendre que le football montre des étapes différents de la vie, des émotions, des interactions entre des gens et la complexité de coexistant.
Le football est plus qu’un jeu. L’article « Football as World-View and as Ritual », écrit par Christian Bromberger, déclare que le football possède beaucoup d’éléments qui s’appliquent à la vie en général, et cette notion est illustrée très forcement dans le film Zidane, un portrait du 21e siècle. Selon Bromberger, la première fonction essentielle du football est comme une représentation émotionnelle de la incertitude de la vie. Bien que le mérite se célèbre considérablement dans le jeu, il y a aussi un élément substantiel de la chance quand on joue au football, ce qui crée un sentiment dramatique. Le film évoque ce drame avec son utilisation de son. Il y a un changement constant entre la musique et les bruits de l’atmosphère, comme le vacarme de la foule. Le choix de son dans un moment spécifique reflète l’émotion et les sentiments actuels de Zidane. Par exemple, quand Zidane reste et n’exerce pas beaucoup d’effort une chanson tranquille commence ; réciproquement, quand Real Madrid marque un but, on peut entendre très clairement les cris de la foule.
L’autre fonction principale du football selon Bromberger est son rôle comme un type de rituel. Il écrit dans sa lecture qu’un match de foot est « akin to a sacred ceremony » (305). Parmi les sept caractéristiques essentielles d’un rituel qu’il mentionne, le film démontre au moins deux d’eux très bien. Á cause du fait que le film se focalise sur Zidane pour le match entier, il est très facile de voir la distribution des rôles parmi les joueurs. Quand on regarde Zidane, il est évident qu’il a un rôle très particulière et distinct ; le plus souvent, il ne possède pas le ballon et simplement se met en position. Et quand il a le ballon, son rôle comme un milieu de terrain nécessite qu’il dribble, coure, et passe beaucoup (par exemple, à 1 h 06 dans le film). La démonstration de la seconde caractéristique d’un rituel, la structure séquentielle du match, est facilitée aussi par le style du film. Parce que la caméra suit Zidane tout au long du match, on observe le développement et la progression des évènements importants, comme le but de Villareal, les deux buts de Real Madrid, et les cartons jaunes que l’arbitre donne à Zidane et d’autres joueurs.
Donc, le film soutient la thèse principale de Bromberger : Le football est un rituel qui imite des éléments intrinsèques de la vie réale.
Dire que Zidane, un portrait du 21e siècle est un film typique n’est pas juste du tout. Pourtant, ce qui est juste est que le film, en exposant le génie de Zinedine Zidane sur le terrain parvient en même temps de montrer quelques aspects du football qui le rendent si bien-aimé dans la plupart des pays du monde. Ce film supporte l’idée proposée par Christian Bromberger que le football n’est pas tout simplement un jeu ou le ballon est circule pour essayer de marquer un but ; c’est plus que ça dans les yeux des spectateurs et des joueurs. Dans le film, il est évident que ce n’est pas juste les buts qui provoquent des émotions de a foule, il y a d’autres moments comme des moments où Zidane contrôle le ballon ou le moment où il sort du terrain après avoir reçu un carton rouge. Les réactions de Zidane pendant ce match ainsi que ses mouvements montrent que le football est un sport mental aussi. On a l’impression que Zidane ne bouge pas suffisamment dans ce match mais en même temps il joue un des rôles les plus fondamentaux dans le terrain. Il parvient à contrôler le jeu malgré son manque des mouvements extrêmes et de possession qui est très élevée. Cela montre que comme dans beaucoup de sports, une certaine aptitude mentale est nécessaire pour maitriser le sport et devenir un grand joueur comme Zidane. Comme Zidane est un grand joueur qui a atteint un niveau que seulement un petit nombre d’autres joueurs ont pu atteindre, il est devenu une idole pour beaucoup particulièrement pour les français parce qu’il les représentent bien et il fait qu’ils sont de plus en plus fiers de leur identité (la seule coupe du monde que la France a gagnée en 1998 est l’un des exemples des grandes contributions de Zidane), et c’est ça le pouvoir qu’a le football comme le signale Bromberger dans son article.
Bromberger aussi fait allusion au fait qu’un match de football ressemble à une rituelle. Je trouve que c’est une bonne hypothèse parce que pour la plupart des gens qui suivent ce sport et pour des joueurs du sport, un match est traité comme une cérémonie sacrée. En lisant sa description, on comprend qu’un match de football possède toutes les caractéristiques d’une cérémonie sacrée. En plus, la foule représente une grande partie de cette cérémonie. Pendant un match, la foule devient une force unie avec des intérêts et des comportements similaires avec le but de faire en sorte que leur équipe gagne mais aussi de gagner quelque chose de plus au niveau personnel. En tenant compte de l’endroit, la structure, l’organisation et l’atmosphère d’un match de football, on dirait que c’est juste de le comparer à une rituelle religieuse. En y allant les gens s’attendent à une sorte de transformation comme conséquence de leur présence. Quand on gagne c’est la satisfaction, l’amusement et la joie qu’on sent, mais quand son équipe perd c’est le contraire de ces émotions qui se sentent. Pourtant, les vainqueurs et les vaincus sont toujours finalement contents d’avoir eu la chance de vivre ces moments extraordinaires. En outre, quand on est au stade, on ne se concentre pas totalement au ballon, on observe partout parce qu’il y a beaucoup de petits évènements qui se passent aux alentours et qui contribuent à ce phénomène. Ce film est un bon exemple qui prouve que le match peut être intéressant même sans suivre le ballon tout le temps.
Même si ce film ne couvre pas toutes les idées que proposent Bromberger, on dirait qu’il peut être utilisé pour supporter quelques idées principales de l’article parce que même si Zidane est le centre du film, il y a beaucoup à apprendre en ce qui concerne l’importance du football aux millions des gens qui le suivent avec passion et beaucoup de ce que Bromberger propose a comme objectif de faire la même chose.
Au centre du football, que j’ai vu dans l’article de Bromberger, sont les contradictions fortes. Le sport est vraiment futile, mais le football est très important pour beaucoup de gens. Il est important, malgré le fait qu’une victoire ou une défaite ne change pas beaucoup, parce que le sport est intégral avec la fierté d’une nation.
Une contradiction plus approfondi : bien que le football est un méthode d’échapper les soucis, on contracte beaucoup d’émotions pendant le match. L’idée de jouer paraît simple et insouciant, mais, je pense que l’idée de Bromberger de « jouer profond » est que jouer est assez primitif, en ce que on peut se plonger dans le match et sentir tous les émotions très fortes.
Vous avez dit que le film de Zidane a montré ses arguments dans les méthodes qui ne sont pas conventionnelles. Je suis d’accord. J’ai vu des arguments, qui sont similaires de Bromberger, dans la variation de la musique, les sons de l’audience, et les angles différents de la caméra.
La musique a montré au temps l’intensité, ainsi elle insinue que le football ait une importance et une nature sérieuse. Mais, la musique ne reste pas intense pour beaucoup de temps. Ca montre les couches du sport, qui demande quelquefois la concentration, mais aussi la liberté légère.
Cette idée est montrée aussi avec des mouvements de Zidane. Le film montre que pendant le match, il y a des moments d’intensité et les efforts physiques, mais aussi il montre des moments ou Zidane traîne pensivement ses pieds sur le terrain. Il y a une partie dans laquelle Zidane analyse le match, et on peut écouter les sons des enfants qui jouent au foot dans la rue. On peut comprendre un autre couche du football : que les joueurs se sentent au même temps la complexité du sport, et la simplicité d’un jeu qu’ils jouaient tous leurs vies- un sentiment intimement lié avec la jeunesse.
La variation des angles de la caméra explore la signifiance d’un jeu. Le caméra qui suit Zidane, ou on peut analyser ses expressions, saisit l’importance de chaque mouvement, la concentration et l’effort d’un joueur. En contraste, la perspective de dessus le stade montre que les joueurs sont petits, et simplifie le jeu, exposant sa nature triviale. Donc, on voit que le film et l’article de Bromberger sont entrelacés dans leur capacité d’exposer les contradictions du football.
Il me semble que le film prend le jeu de football et oblige le public à voir le jeu d’une point de vue qui est généralement inexplorée. Il est curieux qu’il se concentre sur un joueur de football qui est très populaire parce-que la perspective du film fait Zidane semble à l’écart. Pour quelqu’un qui ne suit pas le sport et ne sait pas qui est Zidane, il semblerait qu’il ne soit pas un joueur clé dans un match, mais cette hypothèse serait incorrect. La perspective du film est intéressant étant donné qu’il se déroule lors d’un match de football et est sur un joueur de football, mais il est pas vraiment sur le match lui-même.
En raison que Zidane est reconnu comme un joueur de football phénoménale ce film oblige le public à réfléchir sur pourquoi il est si grand étant donné qu’il semble être simplement se promener pour la plupart de ce match. Quel est si grande sur un joueur de football qui se promène d’environ du terrain de soccer? À mon avis le film démontre les compétences uniques de Zidane comme un joueur de football, ainsi que la raison pour laquelle le football exige plus qu’un aspect physique. Il est évident que Zidane pense et en observant le match donc il peut prendre des décisions les plus intelligents en termes d’où il doit être sur le terrain de football et quand. Il est pleinement attentif sur ce qui se passe dans le match, car il semble être toujours en suivant le ballon, alors même que le public ne peut pas voir le ballon pour la majorité du film.
Il me semble que les points essentiels de l’argument de Bromberger sont reflétées dans le film. Je pense que son argument sur le rôle de l’émotion dans le football est représenté de plusieurs façons. Plusieurs fois dans le film, nous pouvons écouter le coup de la foule et applaudir pour Zidane quand il touche le ballon, même lorsque l’importance de cette action est apparemment minime pour le match. Cela montre avec quel sérieux les fans de football se sentent sur leurs joueurs préférés et leur rôle dans le match. Le film inclut des légendes au sujet de l’enfance de Zidane qui démontrent le lien particulier qu’il éprouve pour le football. Il montre comment émotionnelle et personnelle le football peut être pour les joueurs. Le football n’est pas seulement un jeu, mais plutôt un mode de vie pour de nombreux joueurs de football et pour de nombreux fans de football.
J’ai trouvé que l’article de Bromberger, “Football as world-view and ritual,” soit une très bonne introduction au football pour une personne qui n’a jamais suivi le sport, d’autant plus qu’il a parlé du football dans une façon qui a montré les aspects culturels, sociaux, et politiques du sport; tous ces éléments mélangent ensemble afin de former une identité nuancé du sport. Ce que j’ai vraiment trouvé intéressant était la caractérisation du sport comme “complex and contradictory” (Bromberger, 296). D’un côté, un match de football souligne les divisions sociales qui existent dans les foules assies dans le stade; cependant, de l’autre côté, le sport essaie de se rapprocher les gens et créer des liens entre les spectateurs, qui sont tous enthousiastes de l’équipe. Prenant cette perspective, et mettant en tête l’article de Bromberger, il est clair que le football est quelque chose intégré dans notre culture, qui crée une passion unique et exceptionnelle “regardless of the diversity of region, nation, and generation” (Bromberger, 294). L’affirmation le plus fascinant dans l’article était la discussion de “Deep Play,” où Bromberger a revendiqué que l’unicité du sport ait lié dans la façon dans laquelle le sport imite notre vie moderne à travers les valeurs, les idéaux, et le rôle de la fortune, tous éléments qui permettent les gens de se rapporter. En tout, je crois que Bromberger essaie de créer un lien entre la vie contemporaine dans notre société et le football: “Football embodies an image of today’s world which is both consistent and contradictory. It celebrates individual and collective merit…but it also underlines the role of luck and cheating in the achievement of success… ” (Bromberger, 297). Finalement, ce que j’ai trouvé intéressant aussi est la discussion sur le rôle de spectateurs et leurs identités qui créent un rapport avec une équipe en particulier. Il est clair que sans les spectateurs, le match ne serait jamais le même, et ne posséderait jamais les caractéristiques rituelles dont Bromberger parle.
En songeant la comparaison entre un match de football et une rituelle, tandis que je vois les similarités et le fil de pensée de Bromberger, je reste quand même un peu sceptique à cette juxtaposition. Je peux voir quelques raisons pour lesquelles Bromberger revendique qu’un match est comme une cérémonie religieuse, mais certaines semblent un peu farfelues. Par exemple, je suis d’accord qu’il y a une certaine tradition qui est impliquée dans un match de football qui le rend semblable à une rituelle. Il y a des actions, habitudes, et vêtements qui sont toujours répétés dans une manière très spécifique; en plus, le match rapproche les gens: “the match produces that sense of communitas…” (Bromberger, 308). Cependant, il y a certaines explications que Bromberger donne qui sont très générales, qui pourraient être juxtaposées avec un autre type d’organisation, comme politique, au lieu de religieuse. Par exemple, la distribution des spectateurs dans le stade, ou le calendrier des matches, ou, finalement, l’organisation de FIFA. Alors, tandis qu’il existe plusieurs similitudes entre une rituelle religieuse et un match de foot, je crois que la comparaison est un peu dramatique et Bromberger prend son argument un peu trop loin.
Cependant, le film de Zidane m’a convaincu un peu plus qu’un match de football est comme une rituelle. Tandis que je suis d’accord avec les critiques qui revendiquent que le film était une tentative de faire de la publicité pour l’athlète, car le film entière n’a focalisé que sur lui, il a demontré plusieurs points de l’article de Bromberger et a créé un lien avec ses arguments. Il y avait plusieurs moments clés qui étaient pertinents à la lumière de notre lecture de Bromberger. Premièrement, on a pu voir l’effet énorme de la foule sur l’ambiance du match et sur les joueurs eux-mêmes. Le film capte la grandeur du stade et l’enthousiasme que les spectateurs émettent. Par exemple, la réaction de la foule quand Zidane tombe est incroyable. Dans le film, on apercevoit les thèmes comme l’importance de l’identité, la communauté, et la hiérarchie sociale existant dans la foule. On voit aussi l’importance de la rituelle concernant les vêtements et les chants des spectateurs. A propos de la rituelle aussi, j’ai aperçu une tique obsessionnelle à la part de Zidane, quelque chose qu’il fait avec ses pieds sur plusieurs occasions et qu’il répète plusieurs fois. Alors, cela donne du crédit à l’argument de Bromberger. Finalement, le dernier lien que j’ai pu créer entre l’article et le film est le rôle des arbitres. Bromberger n’a pas exagéré le pouvoir énorme qu’ils possèdent, et comment la justice dans un match n’est pas toujours juste. Le film souligne aussi l’emphase mise dans l’article sur le rôle du hasard dans un match, et qu’il y a plusieurs facteurs en jeu qui produit un résultat final. Finalement, j’ai noté une chose dans le film que Bromberger aurait pu souligner: les joueurs eux-mêmes. Il est clair à travers le film qu’il y a une quantité énorme de pression mit sur les épaules des joueurs, aggravé par les cris de la foule; Bromberger n’a pas adressé l’esprit de ces athlètes, et comment ils utilisent la rituelle pour se débrouiller pendant un match. À part de cela, j’ai pu voir plusieurs similitudes entre le film et l’article, qui m’ont donnés une vision plus compréhensive du football.
Le personnage qui est Zidane représente un exemple parfait de ce que M. Bromberger a dit en ce qui concerne le football. Dans le texte, M. Bromberger décrit le football comme « the opium of the people », une drogue qui crée des déformations de la vie quotidienne. Dans un stade, tout d’un coup, des personnes qui jouent sur le terrain deviennent des personnes divines, des symboles concrets de ce qu’on voudrait devenir. Ce sens d’être en dehors de la réalité est aussi applicable aux joueurs. Dans le film, Zidane dit qu’il se sent diffèrent pendant un match, quelqu’un qui essaie de gagner même s’il a des prémonitions de comment le match finira. Ces sentiments nous montrent que la croyance en des émotions et des choses intangibles jouent dans le match aussi—pas seulement les deux équipes. Bromberger décrit aussi l’anonymat du public. Le public devient une seule quantité, au moins pour les joueurs, un phénomène que le film décrit comme « Le son de bruit », mais au même temps Zidane dit qu’il y a un choix. Il peut écouter s’il ne veut pas être seul. Le choix d’être seul ou avec le groupe est un des points signifiant de ce que Bromberger écrit aussi. Un membre de la public, en regardant un match, veut d’être partie du groupe et au même temps seul et connu pour la ferveur de sa obsession. Ce désir contradictoire reflète la nature duale du sport et de ce que Zidane décrit sur le terrain.
Un choix artistique dans le film résume une des grandes idées lancé par Bromberger. Il affirme que le football est plus qu’une équipe, une personne, ou un pays. Au lieu, on peut se voit dans le monde de football. Les gens, si seuls, si dans le public, choisissent des joueurs et des équipes qui reflètent les valeurs et l’identité sociale du contexte où ils se trouvent. Intéressement, le film choisit de se focalise sur un joueur, Zidane, qui avait reflète et qui reflète toujours le niveau auquel on se mesure. Il apporte avec lui les espoirs des gens qui veulent voir un homme, né sans rien, réussit. Le personnage de Zidane est toujours fascinant pour le public grâce à son histoire. Bromberger dit que le football ne doit pas être populaire. C’est un sport dans lequel on donne un coup de pied à un ballon. Mais des personnalités comme ce de Zidane créent une histoire. On ne voit presque jamais le ballon dans le film, mais l’intensité de Zidane et les sons du stade créent l’idée, que Bromberger a garde, du football.