La 2014 Coup du Monde à Rio de Janeiro

By | October 7, 2013

J’étais particulièrement attirée par les lectures cette semaine (Gaffney, Temples of the Earthbound Gods) à cause de la familiarité et ma capacité de relier. Grâce à ma mère qui est née et a grandi à Rio de Janeiro, j’ai la chance d’avoir la double nationalité. Comme mes grands-parents et tantes vivent encore là, j’ai passé de nombreux étés à Rio, connue pour ses belles plages, le foot, et le carnaval. J’ai eu la chance de voir les meilleures choses que Rio a à offrir, mais j’ai aussi vu la pauvreté des plus démunis dans les favelas (quartiers pauvres) où il y a plus d’un million de personnes. Les Brésiliens sont pleins de vie, mais le pays a traversé des hauts et des bas économiques, et la vie pour beaucoup n’a pas été facile. De mon point de vue, il est impossible d’échapper à ces problèmes socio-économiques. Comme la coupe du monde est proche, je suis constamment demandé, “Est-ce que tu vas aller à Rio pour la coupe du monde?” Quand ma réponse est non, la réaction est toujours la même: «Tu plaisantes! Tu dois aller, comment pouvais-tu pas? “La réponse réside dans les nombreuses questions soulevées par Gaffney dans son livre et blog, dans l’article du professeur Dubois, et dans les nouvelles brésilienne.

Maintenant Maracanã est un grand centre de la controverse à cause des coûts élevés du projet. Un article dans O Globo, le journal principal du Brésil, explique qu’il est estimé que le coût du Maracanã est plus que R$ 1,1 milliard. Le coût est en augmentation par un autre R$ 12 millions pour installer des panneaux photovoltaïques qui captent l’énergie solaire qui alimente le stade. Cet investissement prendra environ dix années pour payer pour lui-même avec l’épargne qui sera rendu dans la facture d’énergie. Ensuite, l’usine passera automatiquement au contrôle du gouvernement de Rio de Janeiro, qui va devoir chercher de nouveaux partenaires.

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Chaque fois qu’il y a une coupe du monde, le pays hôte a besoin de construire plus d’infrastructures, notamment de nouveaux stades et des hôtels. Pour la Coupe du Monde 2014, une partie de l’investissement était pour refaire Maracanã, le plus grand stade de football dans le monde. Un pays qui a déjà d’innombrables stades de football, a besoin d’investir pour «fixer» les vieux et pour créer de nouveaux pour respecter les normes de FIFA. Cependant, Gaffney et professeur Dubois expliquent que les stades doivent être transformées “des espaces qui sont ouverts aux communautés locales en clôturées espaces, très réglementés … Autrement dit, en organisant une Coupe du monde exige non seulement la transformation de l’espace urbain, mais de plusieurs façons la transformation de la pratique de voyager et assister aux événements sportifs ».

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Dans un pays qui a déjà une mauvaise économie, la pauvreté troublant, et un mauvais service de santé, ses habitants contestent la décision du gouvernement de consacrer des fonds vers de nouveaux stades et pas vers l’amélioration éducation et la santé. Le pays justifie la décision comme un bon investissement qui augmentera le tourisme et créera des emplois, les deux qui vont profiter à la population à long terme. Mais quand les gens ne voient pas les résultats et tout ce qu’ils voient sont les augmentations des prix de tous les jours, les protestations se poursuivront. Des émeutes deviennent dangereuses parce que les gens sont trop ignorants et le pays lui-même est trop désorganisé. La police est incapable de contrôler les manifestations, et donc des gens comme mes grands-parents ont peur de quitter leurs maisons. Tous ces problèmes ne sont pas uniques à Rio, mais la Coupe du Monde 2014 a amené les problèmes à la surface.

Category: Brazil World Cup

About Becca Fisher

I am currently a sophomore at Duke University. I was born and raised in New York City and played soccer in high school. My true interest in learning more about soccer comes from my Brazilian heritage. Even though my mom is Brazilian and I visit my grandparents in Rio every year, I don't feel like i know enough about the sport that everyone lives and breathes. I am also in the French section of this class. I have spoken French since 5th grade, it is my grandmothers first language, and I hope to eventually major in it. http://sites.duke.edu/wcwp/2013/09/25/pele-avec-des-jupes/

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