J’ai quelques pensées liées à notre discussion en cours…
Concernant les romans, il est vrai qu’ils n’aient pas vraiment touché la basse classe, mais ils ont formé la fondation pour la transformation sociale (Hunt 39). C’est à dire, le roman n’était que la première étape dans ce procès, les graines desquelles les vérités évidentes augmentaient. Donc, il n’y avait pas d’action politique immédiatement après la prévalence des romans empathiques.
Aussi nous discutions le lien entre l’empathie et les medias. Je crois que ceci effectue considérablement notre approche globale. Angela a mentionné la tendance (surtout dans les Etas Unis) à faire attention aux grandes désastres et les pauvres des autres pays pendant que nous ignorions les pauvres ici, dans nos villes. En mon avis, chaque vie est égale, ainsi on devrait aider également les gens dans tous les pays (hypothétiquement). Mais le point est que le media réfléchit ce déséquilibre d’attention. Par exemple, maintenant, le media concentre sur les désastres à Haïti. Mais après quelque temps, le media ne parlera pas beaucoup de Haïti, même que les Haïtiens auront encore besoin d’aide. Même dans notre propre pays, les victimes de l’ouragan Katrina reconstruisaient leurs maisons des années après la catastrophe, quelque temps après le media a arrêté la parler. Ceci n’est pas a dire que cette mentalité erroné est tout la faute du media, mais le lien entre les deux est intéressant.
J’aimerais bien entendre des autres opinions de ce sujet…