All posts by Sylvia Nantier

la Coupe du monde, les supporteurs

Je voudrais explorer plus en profondeur comment les spectateurs sont affectés par la Coupe du monde en racontant une histoire personnelle. C’est vrai, pour chacun, la Coupe du monde veut dire quelque chose de différent, et chacun a sa propre histoire à raconter. Pour moi, en 2006, j’étais en Chine, où j’ai étudié le ballet avec le Ballet Shanghai avec une amie colombienne. En dépit du fait que nous étions arrivées à Shanghai la nuit avant le match de la France contre le Brésil, nous nous sommes réveillées à 5 heures du matin pour que nous puissions voir le match. A environ 8 heures, je me souviens que j’ai dansé tout autour de la chambre de l’hôtel en faisant des taquineries. Mon amie a poussé des grognements en restant au lit et m’a refusé à s’avouer vaincu.

Br vs Fr la Coupe du monde 2006

La Coupe du monde, Zidane

Avant de continuer, une note sur le sujet de la glorification du sport dans les vidéos : le choix de la musique me frappe parce qu’elle renforce le ton très dramatique évoqué en classe par le film sur Zidane quand il a marqué un but du milieu du terrain avec son pied gauche en 1995.

Ensuite, après la classe, j’ai parlé avec un ami américain des différences entre des cultures et l’importance du foot. En classe, nous avons touché sur ce sujet, mais nous n’avons pas considéré comment un pays stéréotype l’attitude vers le foot d’un autre pays. Il m’a offrit un nouveau perspectif sur comment les Américains voient les Français (et aussi les stéréotypes des Américains) en m’envoyant cette vidéo :

Robin Williams

Je pense que Robbie Williams symbolise l’Américain classique, et bien caractérise l’humour américain. C’est intéressant, pendant la Coupe du monde de 2010, les Américains se sont comportés avec beaucoup plus d’enthousiasme…

vs l’Algérie en 2010

Faites attention à la musique encore une fois. Ce qui fait le rapprochement entre toutes les vidéos, c’est la gloire, la fierté, et l’investissement émotionnel.

 

La présence locale du voile

On est plus proche du debat qu’on pense. En réponse de l’article de The Chronicle, on doit soigneusement considérer l’universalisme de ce débat. Juste ici à Duke, en suivant l’article, la présence du voile est toujours explorée. Je suis particulièrement impressionnée avec les styles dont la présence du stéréotype des musulmans à Duke et la communauté est explorée, surtout dans l’art visuel. Voici une exposition qui se termine le 19 nov. à Rubenstein Hall:

Photo Exhibition: “Esse Quam Videri: Muslim Self Portraits”

Presenter: Todd Drake

Location: Rubenstein Hall 153 – Map

When: 08/22/2011 at 09:00 AM to 11/19/2011 at 09:00 AM

Info sur l’exposition: This exhibit features 20 portraits collaboratively created by photographer Todd Drake and Muslims in North Carolina and Bahrain. In response to the stereotyping of Muslims and in recognition that it is human nature to fear what we do not know, community based artist Todd Drake has worked with Muslims to create self-portraits that share real, rather than seeming, reflections of self to a wider audience. Muslims from a variety of backgrounds and living in a variety of communities participated in this series by working collaboratively with Drake to realize their own vision.”

“Esse Quam Videri” signifie, « d’etre  plutôt que de paraitre » (“To Be Rather Than to Seem”). Ce titre présente un paradoxe de la devise de N.C. State ; il semble qu’on s’acharne à juger selon la vérité et non pas les apparences ; mais on fait exactement cela quand on voit un voile.  L’exposition de monsieur Drake non seulement implicitement critique de ce jugement, mais aussi reconnait la nature humaine et qu’on craigne ce qu’on ne sait pas.

Monsieur Drake a aussi un site web où vous pouvez apprendre plus sur son impact dans la communauté : http://www.muslimselfportrait.info/

C’est comme ce que Sembène a fait avec son oeuvre que Cooper n’a pas pu, cet art donne une impression de l’individu, l’impact personnel du voile. Mes portraits préférés est ceux qui sont assez simple mais expliquent l’esprit derrière le voile, de la décision personnelle des femmes de prendre le voile. La religion a une signifiance différente pour chacun. Le plus que j’apprends avec l’aide des choses comme cette exposition, le plus que je me sens la nécessité de respecter leur manière de vivre:

KHAWALA

“Nowadays, all people tend to lie; family, friends, politics, and the Media. The world is missing honesty, even from those closest to us. This hurts a lot of people. Those most hurt by this absence are those whose voices are not heard because of their age, religion, color, job, or class within the community.”

OLA

Digital Photograph | Raleigh, NC | 2008

 

“Ola finds a closeness to Allah in nature.”

 

Après la classe aujourd’hui, j’ai pensé plus sur le sujet du « voyage », de l’immigrant ou l’étranger, et la fonctionne des cultures différentes juxtaposées sur l’un à l’autre. Le film, Paris, je t’aime et l’un de mes préférés. Il y a d’autres scènes qui focalisent sur ces sujets, comme :

  1. Quais de Seine http://www.youtube.com/watch?v=X2TbtljoVgk

Le garçon apprend quelque chose du nouveau du voile. Leur dialogue reflète une différence culturelle de la beauté, et le garçon, qui représente le vue occidental, est rappelé au fait qu’il y a différents types de beauté. Néanmoins, il est emballé par elle, en dépit leur conceptions différentes.  Je ris un peu au dénouement parce qu’il semble que le vieux homme comprenne exactement ce qui se passe assez implicitement et subtilement entre les deux jeunes personnages. Son regard nous exprime tout. L’amour est-il aveugle ?

2. Porte de Choisy- Il n’y a pas de vidéo,  mais c’est une scène un peu bizarre qui montre une belle femme chinoise  qui s’appelle Mme Li qui prend les services d’un homme pour changer sa coiffeur à un style plus occidental. Il y a un métissage des langues, français, anglais, chinois. Si je me souviens correctement, il y a même un jeu des mots phonétique, « Henny » transformé et prononcé similairement comme « ai ni ». On ne se rend compte qu’au dénouement, ou le moment où l’homme (Henny) proclame qu’elle est plus belle comme elle est naturellement, sans influence d’ouest, ce qui signifie « ai ni » (à moins que vous parliez chinois) : « love you ». D’après moi, le mélange des langues, images de l’ouest, l’est, donne l’impression de l’universalité de l’adoration ou l’amour, aveugle aux langues, cultures, identité (soit combattante*, soit coiffeur). Pour ce qui concerne l’amour, on peut voyager partout, être immigrant, citoyen, n’importe quoi—l’expérience, la sensation, ne change pas du tout.

* Mme Li pose comme combattante pendant le début de la scène

 

Schengen

Je voudrais rapporter un post que j’ai fait vers le début du cours et s’étendre sur le sujet car il est approprié en considérant le thème ce semaine :

« J’ai lu un article sur l’espace Schengen qui souligne le sentiment négatif des Français vers l’immigration. La France veut protéger leurs frontières alors que sa propre culture demeure préservée.

Ce qui m’intéresse est que les autorités ne disent rien explicitement, à cause du fait que le sujet est très délicat. On ne sait pas exactement la nature des mesures prises ce jour-là, on peut seulement interpréter…

Article: http://online.wsj.com/article/SB10001424053111903999904576467652547442210.html?KEYWORDS=EU+Says+France+Italy+Fell+Short+on+Accord
Infos sur Schengen:
Anglais: http://travel.state.gov/travel/cis_pa_tw/cis/cis_4361.html#
Francais: http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/union-europeenne/ue-citoyennete/citoyennete-europeenne/qu-est-ce-que-espace-schengen.html »

Voici quelques vidéos sur Schengen :

Dans les nouvelles françaises :

« Schengen : le France peut-elle suspendre les accords ? » http://www.youtube.com/watch?v=hlr3h3WwKJY

-ceci introduit les accords généraux, et qui participe

« IMMIGRATION : SCHENGEN EN SUSPENS ? »

http://www.youtube.com/watch?v=quVDoe6AIBs&feature=related

-ceci révèle indirectement le sentiment français. La situation est délicat, mais il est clair que les frontières ont été affaiblis.

Pour commentaire à l’article du Wall Street Journal, la raison pour laquelle la France n’a pas « respecté » l’esprit du Schengen est, après ce que nous avons appris aujourd’hui, bien enraciné. La question de l’immigration, l’identification de ce qui est étranger et l’intégration a provoqué des grands ravages dans l’histoire. Il est intéressant de voir que même les circonstances les plus récentes, à 2011, suggère une continuation de cette tension inexprimée.  La lutte sera-t-elle jamais résolue ? Est-ce qu’il y a un peur de réaliser un métissage des cultures en France (si ceci n’est pas déjà  arrivé) ?

 

Aimé Césaire, Cahier d’un retour au pays natal; Une foule impressionante

Césaire aborde beaucoup de domaines. J’ai tracé quelques thèmes l’œuvre de Césaire a souligné. Les grands lignes du poème, d’après moi, est que en dépit du sang est sacrifié, d’animation du foule, la passion terrible, le désir désespéré d’améliorer les conditions de la vie marquée par la répétition des sentiments sauvages comme le faim ou le soif, le foule ne sert rien. On voit cet effet premièrement à page 9, « …dans cette ville inerte…son cri de faim, de misère, de révolte, de haine, cette foule si étrangement bavarde et muette. »

Le faim représente le désir d’améliorer quelque chose, signifie une recherche malchanceuse.  Les descriptions sont violents et sanglants, évoquant des images vivants et intenses (comme « …le morne accroupi devant la boulimie aux aguets de foudres…lentement vomissant ses fatigues d’hommes, le morne seul et son sang répandu… » (p.11) «…voilà toutes les veines et veinules qui s’affairent au sang neuf et l’énorme poumon des cyclones qui respire et le feu thésaurisé des volcans… » (p. 57)), mais même temps passif, renforcé par les mots « morne », « inerte » et « muette », par exemple. En focalisant sur le rôle du sang dans le poème, le sang représente la lutte, et l’humanité, le sacrifice de la lutte. Le thème de la peur et de la folie de la foule renforce cette cause désespérée.

« Le foule » est caractérisé comme un individu, agissant comme un collectif acharné, e.g., « Et nos gestes imbéciles et fous pour faire revivre l’éclaboussement d’or des instants favorisés… » (p. 13), ce qui signifie une vraie autonomie. Cet élément de la stupidité répété au fil touche à ce que nous en avons parlé en classe : la soumission sociale des Africains, encadrant l’effet psychologique de la colonisation même après le fait.

« Et ce ne sont pas seulement les bouches qui chantent, mais les mains, mais les pieds, mais les fesses, mais les sexes, et la créature tout entière qui se liquéfie en sons, voix et rythme » (p.16) donne l’idée de l’autonomie réelle, que tous les individus sont mis ensembles, qu’ils ont un but en commune, et on ne distingue plus l’un de l’autre.

Finalement, le thème du « terre » est peut-être le plus important, car il s’avère que le désir de la foule est fondé; cela donne l’idée que ce cause est dévoué des droits naturels, aussi naturels que la nature observable autour de nous.

 

La conception africaine et la conception des Africains

La différence entre les deux œuvres est que le roman utilise le discours à relier la discrimination. Cooper donne des chiffres qui nous monte l’inégalité et le nature discret du gouvernement, qu’elle veut éviter confronter ce sujet directement parce qu’en fait il se peut que les droits de l’homme soient trompés : « They did not want to defend overtly the discriminatory structure of a colonial labor force against the universalistic claim to equality among all workers” (p. 91). Cooper continuer à expliquer le dilemme : « Officials were no doubt reluctant to escalate for fear of going against their own initiatives of the post-war era : to constitute a new approach to labor based on ending forced labor…” (p. 104).  En plus, on sait comment la demande a été presenté officiellement en public par Sarr : « …the abolition of antiquated colonial methods… [to] be equal in duties and rights and that the recompense of labor be a function solely of merit and capacity” (p.87).

Pourtant, le roman nous donne quelquechose plus familier, plus banal, qui nous montre comment les normes coloniales a impacté la vie quotidienne. Nous entrons les têtes des Africains, les buts, les attitudes, les valeurs. Au lieu d’expliquer les normes dans un sens historique, comme, « …the auxiliaries did not receive housing or indemnities ; they could be fired for minor offenses ; they were in many respects treated like temporary workers even though most served for years” (p. 89), nous voyons ce qu’ils disent explicitement, comment le grève a été initié :

« Nous avons notre métier, mais il ne nous rapporte pas ce qu’il devrait, on nous vole. Il n’y a plus de différence entre les bêtes et nous tant nos salaires sont  bas. Voilà des années, ceux de Thiès ont débrayé, ça s’est soldé par des morts, des morts de notre côté…Des hommes sont venus avant moi sur cette tribune, d’autres vont suivre. Etes-vous prêts à déclencher la grève, oui ou non ? Mais avant, il faut réfléchir » (p.24)

Une dissertation PhD de 1976 sur Sembène et ses œuvres (j’ai essayé de trouver quelque chose plus proche des évènements sur lesquels nous nous y attachons) nous présente le pouvoir du texte que Sembène a écrit :

« Sensible aux réalités sociales et psychologiques du Noir vivant dans une période de transition entre l’époque coloniale et l’époque des indépendances, Sembène s’est donné pour tâche de les interpréter… Pour Sembène, l’expérience du colonialisme a traumatisé le Noir au point que celui-ci a perdu son identité profonde. Pour réhabiliter sa dignité, il lui faut prendre conscience de sa condition et réagir. L’auteur propose la révolte collective dans une perspective marxiste car la libération psychologique ne se fera que lorsque les structures sociales respecteront la liberté individuelle. Chaque Africain est impliqué et doit se sentir responsable de l’avenir. Sembène met sa foi dans le peuple resté plus près de ses racines que l’élite et donne aux femmes un rôle actif dans la réhabilitation d’une culture africaine originale. Pour lui, l’écrivain est un membre dynamique de sa communauté; il a un rôle éducatif à jouer. Cette conception existentielle engagée est aussi une conception traditionnelle africaine. »

Vous pouvez en lire plus ici http://hdl.handle.net/2429/20731

 

Quelques réflexions

Après avoir lu les articles pour cette semaine, j’ai été très intéressé avec la phrase laide « l’impôt du sang. » Je n’ai pas étudié beaucoup d’histoire ou la politique, ni bien, donc, j’essaie de trouver plus sur ce sujet. Dans la citation, « La France coloniale avait apporté aux Africains les lumière de la civilisation et prétendait solder cette dette en prélevant l’impôt du sang. » Les mots lumière et dette invoque un ton du sarcasme ; c’est bizarre de supposer qu’un pays envahit un autre, et le subordonné doit à son colonisateur  D’être une colonie de France étaient regardaient par les français comme un honneur.

Race and war in France: colonial subjects in the French army, 1914-1918 par Richard Standish Fogarty m’a introduit à plus, particulièrement pages 15 et 25:

 

Finalement, après la classe de Mardi, j’ai lu plus sur le sujet dont j’ai posé quelques questions à Philippe Bernard à propos de l’influence de la politique sénégalaise sur le désir des citoyens de s’enfuir. Ce que Philippe Bernard a constaté, que le fait que tout le monde veut quitter le pays monte un échec politique me frappe beaucoup.

Dans un article que j’ai trouvé sur le site de Duke Library, Dr Elhadji Mounirou Ndiaye prononce l’impact de la politique sur l’économie sénégalaise :

« L’impact de la politique sur l’économie est compréhensible dans une certaine mesure. La satisfaction de la clientèle politique infléchit la rationalité des dirigeants élus, dont les choix servent aussi des objectifs de réélection. Il s’agit alors d’un mal nécessaire, puisque l’individu est, de toute façon, le point d’amorce de la satisfaction de l’intérêt général. »

 

 

La pouvoir de la radio

Après avoir vu le film presenté au jourd’hui, j’ai été fascinée avec comment la radio influence la culture et la politique d’une société. Ici, on ne pense guère à l’importance de cette forme de médias, car c’est plus facile d’obtenir les nouvelles. Quand je pense à la radio, je pense à la conduite dans une voiture, et on met la radio pour se divertir. Mais pour un pays comme l’Haïti, l’importance (et la controverse) est plus grand. Pendant la classe, on a vu son importance politique. Comment fonctionne-t-elle pour des catastrophes naturelles ? Voici un clip qui répond à cette question :

Une tragédie classique

Ce qui m’intéresse beaucoup est la structure de ce roman. Trouillot suit les « règles des trois unités » d’une tragédie classique établit par Aristotle : qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli. Il convient de suivre cette forme d’écriture parce qu’en encadrant l’histoire de cette manière, la lecture est mise dans un contexte réaliste.  Trouillot communique l’historique de l’Haïti dans une manière très créative : comme fiction. Comme les romans épistolaires que Hunt a mentionnés, l’histoire d’un individu a le même effet sur les lectures : il nous permet d’être empathique, d’être engagé et donc nous encourage à apprendre quelque chose d’historique  de l’Haïti.

Cela est, peut-être, le but de Trouillot. Trouillot a écrit beaucoup de livres avec ce but. Un critique explique, utilisant un autre livre, « Silencing of the past » :

“It is Trouillot’s purpose to trace this process of the creation of history, cautioning us as consumers of history, to be critically aware of the “silencing of the past” and of the often ideological nature of historical narrations.”

Vous pouvez en lire plus ici: http://www.webster.edu/~corbetre/haiti/bookreviews/trouillot.htm

Trouillot prend l’avantage au fait qu’un texte est plus puissant quand on est engagé émotionnellement. Dans ce style, nous sommes emportées sur un voyage, nous nous sentons tout-ce que le héros ressent. Nous devenons compatissants ainsi que nous suivons son histoire. Tout à coup nous avons peur comme lui, nous sommes menacés comme lui. Nous le comprenons. En effet, nous pouvons comprendre ce qui s’est passé en Haïti sur un niveau plus profond que si l’on lirait un manuel académique d’histoire.

Comme anthropologue, Trouillot a plusieurs d’œuvres qui focalisent sur le genre d’historique des Caraïbes.  Vous pouvez apprendre plus ici : http://anthropology.uchicago.edu/faculty/faculty_trouillot.shtml

“Magnifique écrivain Haïtien, Lyonel Trouillot écrit à sa façon un homage à tous ceux qui sont descendus dans la rue, qui ont pris le risque de mourir parce qu’ils n’avaient plus le choix. Né en 1956 à Port au Prince, où il vit toujours, il est l’un des plus grands romanciers et poètes des Caraïbes” -Anne-Marie Koenig

Ethical Egoism

Ayn Rand, writer and philosopher, changed the way I think about individualism and altruism vs. egoism. Societal standards call for (sometimes irrationally so) an altruist morale, and looks down upon egoists, stigmatizing and stereotyping that way-of-being. To be egoist, as society sees it, is to be greedy, selfish, conniving. However, Rand’s works made me see new meaning to what it is to be “selfish”: the word encompasses a different meaning that does not necessarily denote negative traits. This is ethical egoism. This theory can be applied politically, which has made me a supporter of the capitalist ideal (when before I was neutral); Rand’s ideas are applied to the foundations of capitalism. Rand’s essay “Capitalism” was particularly striking. Since capitalism supports prime movers (or those who possess unprecedented historic ability that allows them to incur massive change to their field of interest and in effect help others of lesser ability in that field thrive) as it is based on the concept of man as a free, independent individual, I strongly believe in it as an ideal. In this class, I am finding it very interesting to learn about the origination and the rise of individualism in the 1700s as outlined in this week’s reading by Lynn Hunt.

One of Rand’s other works, Atlas Shrugged, demonstrates theory through fiction. It highlights the necessity of adhering to reason and what is realistic, which calls for the consideration of both practicality and morale in how society should be run. There is no point in believing in an unsustainable ideal, one that considers no future, and is impossible to achieve, which is ultimately what altruism brings. However, the ideal Rand supports has no base without the validation of reason as fundamental to society’s maintenance and progress. One must first accept and commit to rationale, and secondly live morally selfish, i.e., not as a backstabber who exploits another as a means to a personal end, in order for a system that embodies the morale from egoism and political philosophy that arises from individualism such as Capitalism to truly be moral and practical. These are the conditions necessary for a truly free and just society to exist.

Rand has a number of famous quotes. You can find many of them here:

http://en.wikiquote.org/wiki/Ayn_Rand