Je voudrais explorer plus en profondeur comment les spectateurs sont affectés par la Coupe du monde en racontant une histoire personnelle. C’est vrai, pour chacun, la Coupe du monde veut dire quelque chose de différent, et chacun a sa propre histoire à raconter. Pour moi, en 2006, j’étais en Chine, où j’ai étudié le ballet avec le Ballet Shanghai avec une amie colombienne. En dépit du fait que nous étions arrivées à Shanghai la nuit avant le match de la France contre le Brésil, nous nous sommes réveillées à 5 heures du matin pour que nous puissions voir le match. A environ 8 heures, je me souviens que j’ai dansé tout autour de la chambre de l’hôtel en faisant des taquineries. Mon amie a poussé des grognements en restant au lit et m’a refusé à s’avouer vaincu.
Br vs Fr la Coupe du monde 2006
Avant de continuer, une note sur le sujet de la glorification du sport dans les vidéos : le choix de la musique me frappe parce qu’elle renforce le ton très dramatique évoqué en classe par le film sur Zidane quand il a marqué un but du milieu du terrain avec son pied gauche en 1995.
Ensuite, après la classe, j’ai parlé avec un ami américain des différences entre des cultures et l’importance du foot. En classe, nous avons touché sur ce sujet, mais nous n’avons pas considéré comment un pays stéréotype l’attitude vers le foot d’un autre pays. Il m’a offrit un nouveau perspectif sur comment les Américains voient les Français (et aussi les stéréotypes des Américains) en m’envoyant cette vidéo :
Je pense que Robbie Williams symbolise l’Américain classique, et bien caractérise l’humour américain. C’est intéressant, pendant la Coupe du monde de 2010, les Américains se sont comportés avec beaucoup plus d’enthousiasme…
Faites attention à la musique encore une fois. Ce qui fait le rapprochement entre toutes les vidéos, c’est la gloire, la fierté, et l’investissement émotionnel.