En lisant « Soccer Empire », je m’intéressais aux pensées des gens en référence aux deux buts que Thuram a marqués pendant le coup du monde en 1998. Comme Dubois a dit, les immigrés en particulier ont vu la victoire comme une victoire politique. « the celebration was a vindication…many other celebrants had already experienced Thuram’s goals as a fundamentally political act, one that extended to them a kind of citizenship previously denied them. » (129). Pour les immigrés, la victoire n’était pas seulement pour la France mais pour leur ancien pays aussi. Ils avaient une reconnaissance qu’ils étaient officiellement des citoyens de France maintenant.
Cependant, je voudrais savoir si les français natals ont vu le match dans une manière similaire. Certainement, les immigres ont considéré le match comme une victoire pour la lutte contre racisme et le FN, mais je ne sais pas si les français ont vraiment changé leur opinion de la situation des immigrés à cause du match. Que pensez-vous ?
Je voudrais présenter mes observations sur deux aspects du livre, et sur le football en générale en France et en l’Afrique; ils ont un peu comme l’idée présenté par Julia. D’abord, j’aime bien le phrase dans le préface, « When I root for the French football team, it’s not really about rooting for the French nation. I am rooting for something bigger than that. » Je suis d’accord avec cette déclaration. J’étais en New York City pendant le dernier Coupe du Monde, et je me rappelle distinctement d’être dans un bar avec mes amis pour le match entre les États Unis et le Ghana. J’étais la seule personne qui a croisé les droits pour le Ghana ; parce que j’ai passé deux mois en Ghana l’été avant, je voulu qu’ils gagnassent. Mais ce n’était pas parce que j’aimais l’équipe de Ghana, c’était plus que ça. J’étais pour le Ghana parce que c’est un pays pacifique avec une longue histoire de la démocratie ; c’est un modèle de bon gouvernement pour d’autre pays Africains. Bien sur, mon expérience l’été avant a eu une influence sur mes avis, mais je pensais que pour un pays comme les États Unis qui gagne beaucoup, il serait bon qu’un pays comme le Ghana gagne pour une fois. Heureusement, ils ont gagné.
Comme mon choix d’équipe, le football est plus qu’un sport. J’ai eu la chance de voir Thuram à Durham, quand il a parlé à Duke. Il a parlé au sujet de la race, et le rôle de la race en football, en particulier en France. Comme dans le livre, l’équipe française est très diverse. Ils ont eu des problèmes à cause de la prévalence des immigrés sur l’équipe française, mais c’est aussi représentatif du progrès. Thuram a discuté l’idée de « beur-blanc-noir, » le mélange des races et des couleurs qui définit le foot français. Mais, il n’a pas mentionné comment les origines des joueurs ont des implications politiques. Ici est un documentaire de Vanguard (sur la chaîne Current) au sujet des implications du football européen sur les gens de l’Afrique de ouest. L’émission s’appelle « Soccer’s Lost Boys, » et la journaliste appelle le phénomène, « the new slave trade. » C’est un peu long et c’est vrai que les journalistes ont des avis forts sur le sujet, mais le documentaire est très intéressant. http://current.com/shows/vanguard/episodes/season-four/soccers-lost-boys/
Je pense que c’est un grand thème partout le livre; l’équipe, dans toute sa diversité riche, essaie de battre l’image négative des immigrés. Certainement, Le Pen a beaucoup de supporteurs, et je suis sure qu’il y a des gens qui disent “Oui, ils sont des vrais Français, mais ils ne sont pas comme les adols dans les banlieues.” Je n’ai pas beaucoup d’expérience avec le racisme, mais je pense qu’ils ne pensent pas rationnellement quand il s’agit des gens qui apparaissent différents.
Je pense que les reportages dans p. 124-125 couvrent bien les vues variées; il y a des gens qui devient plus sympa aux immigrés, mais il y a encore des gens qui ne changent pas leurs avis. Même dans les rapportages, il n’est pas très clair s’ils ont eu ces opinions positives avant le match, ou si c’était vraiment un changement.