En lisant la selection de Trois Femmes Puissantes et quelque critiques sur le livre, ce que j’ai trouvé interessant était la différence entre le ton de Marie NDiaye envers la situation des femmes et lesquels des autres auteurs que nous avons discutés ce semestre. Tandis NDiaye crée une image distinctement désespérée de l’existence des femmes partout dans le monde, Fatou Diome, par exemple, donne à ses personnages féminins de la chance d’améliorer leurs vies. La femme de NDiaye que nous avons rencontrée s’appelle Khady, et après la mort de son mari, elle éprouve un grand nombre de souffrances sans explications. En plus, à la fin, Khady exprime qu’elle a souffert la douleur justement pour être “préparée à ne pas juger anormal d’être humiliée”. Donc le lecteur tire du texte qu’il n’y a pas de sens en essayant de changer les circonstances miserables des femmes. À l’autre côté, même si les femmes souffrent de l’oppression de leurs maris, de leurs familles, et de la société en général, Diome montrent qu’il y a de l’opportunité pour les femmes d’échapper leurs sorts. Le personnage principal du livre de Diome, Salie, est elle-même un exemple d’une femme qui pouvait partir ses mauvaises circonstances et créer une nouvelle vie. Donc, c’était interessant pour moi de lire le texte de NDiaye, qui est née et a vécu sa vie entière en France, et de découvrir un ton beaucoup plus pessimiste sur la situation des femmes. Pourquoi Diome, j’y pense, avait-elle une perspective assez différente sur la capacité des femmes d’améliorer leurs vies?