What do you think of this analysis? How do you see your own place, as students at one of the country’s elite universities, in the processes described here? Is there a way to imagine some kind of system that would combine the advantages of both diversity and equality, drawing together lessons from both the U.S. and Europe? Or is there a fundamental contradiction between the two approaches?
7 thoughts on “On Diversity and Equality”
Comments are closed.
Tandis que je peut apprecier l’argument que Stille nous present quand il dit que «The United States prides itself on the belief that ‘anyone can be president,’…and yet more than half the presidents over the past 110 years attended Harvard, Yale, or Princeton. » Je ne suis pas totalement d’accord avec le sentiment que “we have become both more inclusive and more elitist.” Stille utilise l’exemple de Barack Obama, mais je crois que pour des raisonnes incorrectes. Je crois que notre président est un contre-exemple parfait a son argument parce qu’il semble que l’auteur dit que seulement des étudiantes riches peuvent étudier a Harvard ou Yale ou Princeton, mas Obama a reçu un diplôme de Columbia et Harvard Law sans être d’avant « élite ». Meme le père d’Obama a étudié a Harvard avec un bourse d’études dans les années soixante. Il faut reconnaitre que les universités d’aujourd’hui, spécialement les universités élites avec des grandes dotations, s’occupent d’être divers et de donner l’aide financière a des étudiantes qui sont qualifiés d’être admis. À cet égard, je crois qu’il existe dans un sens, d’opportunité égale dans ce pays.
A part cela, je crois que la question que Stille nous pose de « Could America’s lost enthusiasm for income redistribution and progressive taxation be in part a reaction to sharing resources with traditionally excluded groups ? » est une question très importante à répondre et réfléchir. Les Etats-Unis ont beaucoup à apprendre au sujet des droits des travailleurs et le system d’assistance social, et cela est une leçon qu’il pourrait prendre de la France et des autres pays d’Europe.
Dans le texte: “In France, it is illegal for the government to collect information on people on the basis of race. And yet millions of immigrants — and the children and grandchildren of immigrants — fester in slums.” Cette loi est telle que basée sur le principe d’autonomie et donc exige l’interdiction de faire des distinctions. Mais il y a une hypocrisie, une contradiction que Sartre a souligné :
« Vous faites de nous des monstres, votre humanisme nous prétend universels et vos pratiques racistes nous particularisent » (p.168)
En principe, l’autonomie marche en Utopie, c’est-à-dire, comme l’idéal, mais en même temps, comme le double-sens phonétique de l’Utopie implique, impossible*.
Un point de vue assez cynique, mais la réalité, après avoir rendu compte une autre philosophie dont les Français suivent, la condition humaine, comme on voit dans une manière plus prononcées des situations plus bruyantes et tendues comme la (de)colonisation en Afrique, on ne parviendra jamais à cette Utopie. On toujours y essaie en forme de la politique, mais c’est pour cette raison qu’il n’y a aucun système du gouvernement qui fonctionne parfaitement.
*l’explication d’origine du mot « Utopie » :
Anglais: “utopia” is a compound of the syllable ou-, meaning “no”, and topos, meaning place. But the homophonic prefix eu-, meaning “good,” also resonates in the word, with the implication that the perfectly “good place” is really “no place.
Francais: Ce terme est composé de la préposition négative grecque ou et du mot topos qui signifie lieu. Le sens d’utopie est donc, approximativement, « sans lieu », « qui ne se trouve nulle part ». Cependant, dans l’en-tête de l’édition de Bâle de 1518 d’Utopia, Thomas More utilise, exceptionnellement, le terme d’ Eutopia pour désigner le lieu imaginaire qu’il a conçu. Ce second néologisme ne repose plus sur la négation ou mais sur le préfixe eu, que l’on retrouve dans euphorie et qui signifie bon. Eutopie signifie donc « le lieu du Bon ». (Wikipedia)
Quand on fait les comparaisons entre l’Europe et les Etats-Unis, je pense que c’est important de considérer les différentes attitudes à propos des races, dans un sens historique. L’une des raisons que l’élite des Etats-Unis est plus diverse, au moins racialement, est que les Etats-Unis est historiquement un pays des immigrants. Le « rêve américain » est le fondement de l’attitude et de l’idée d’Amérique – il incarne la conviction que personne ne peut devenir rien, peu importe leur race.
Le sentiment du « rêve américain » n’est pas présent en France. Quand j’étais assistante d’anglais à un lycée français l’automne dernier, j’ai demandé à mes étudiants s’ils ont cru au rêve américain en France, et ils m’ont dit que non. Ils se voient comme coincés dans la situation de leurs parents, sans l’occasion de s’élever dans la société.
De plus, la France, comme tous les pays européens, a une histoire culturelle très profonde et très longue. Comme une partie du « monde ancien », ces nations partagent une patrimoine culturelle qui se définie partiellement envers de race. J’ai vu un entretien de Sarkozy où il parle du multiculturalisme en France. (http://www.youtube.com/watch?v=CNENhFaeNxs) Dans ce clip, il argue que les groupes minoritaires en France devraient devenir intégrés dans la société française, au lieu de rester les groupes séparés.
Ces attitudes qui prévalent pourraient expliquer quelques différences dans l’élite américaine par rapport à celle des pays européens.
Il est vraiment intéressant, cet article. La phrase qui m’a frappée plus forte est “‘ In a meritocracy, inequality becomes much more acceptable.’ ” Il est vrai. La tradition américaine est fondée sur l’idée d’opportunité égal et de travailler et recevoir de la récompense. On voit parfois les personnes qui disent “ben, s’ils sont pauvres il est à cause de la paresse” et cela n’est pas du tout vrai. Mais, tout de même, l’interêt était toujours l’égalité pour les minorités.
Cependent, je crois qu’il était inévitable qu’il y aurait un système ou une démocratie plus et plus influencé par l’élite. Ceux qui ont des avantages d’univésité ou d’argent feront ce qu’il les plaît. Ils vont faire tous qui est possible pour leurs enfants et oui, il devient un cycle. Mais c’est la fondation de l’économie américiane. Je ne crois pas que les différences entres les classes sociaux sont mauvaises. Toutefois, je vois que l’opportunité égal devient moins et moins égal en fonction de class sociale.
Je sais, qu’en comparaison aux la plupart des américains, j’ai beaucoup de privilège. Mes parents et mes grandparents ont mis beaucoup d’importance dans l’éducation et dans le travail. Mes grandparents ont grandi pauvres mais ils pouvaient créér une vie confortable pour mes parents et en suivants, mes parents ont fait pareil pour moi. En dépit de la désillusionnement croissante dans la “meritocracy”, j’y crois toujours.
L’une de mes meilleures amies à Duke viennent d’une classe socio-économqiue plus bas et son opportunité de venir ici est grâce à l’aide financière. Je ne peux pas penser de quelqu’un d’autre qui mérite cet aide plus qu’elle. Nous avons parlé aux quelques “Alums” qui avaient l’aide financière et qui actuellement font don pour l’aide financière.
Je ne vois pas ce sujet avec tant de péssimisme et sans espoir. Je sais que ma situation influènce ce point de vue.
Il est intéressant d’aller en France et de recevoir beaucoup de regards parce que je suis asiatique. Mon père d’acceuil m’a dit des choses que l’on considère un peu raciste (ça c’est trop fort, mais je voulais dire que ces choses auraient été un faux-pas), je crois en raison du fait qu’il n’y pas encore beaucoup d’integration des asiatiques et la plupart des asiatiques sont la première génération. Même aux écoles internationales (en l’Europe, mon expérience est à Paris) où les étudiants ont habité pendants des années hors d’États-Unis, quand on dit que nous sommes philippines, la première chose qu’ils disent est “oh! Ma femme de ménage est philippine, ” ou, “oh! ma femme de chambre est philippine.”
Est-ce qu’il y a une solution? Je ne sais pas. Si on voudrait garder les idéaux américains, je crois qu’il serait difficile d’avoir l’égailité sociale ainsi que la divérsité. Je crois que le but est de minimiser les différences entre les classes sociales et de promouvoir la mobilité sociale. Dans une société où le succès dépend de l’éducation, il est facile d’empecher l’opportunité égal et la mobilité sociale. Je me demande comment le fait que l’univérsité est ouverte et rélativement gratuit à tout le monde en France affecte l’égalité sociale.
[Quand il a parlé de l’éfficacité de l’inclusion, j’ai pensé de cet article: http://www.nytimes.com/2011/10/05/us/farmers-strain-to-hire-american-workers-in-place-of-migrant-labor.html%5D
Alexander Stille’s attitude within his New York Times article is one that I have become familiar with through other classes that I have taken here at Duke. Through Education classes, I have begun to see how much of an impact an individual’s educational trajectory relies on the step before it—the first step typically being the amount of wealth a family may put forth towards schooling. I am a classic example of this process: I have been put through private school from the elementary level and matriculated from a college preparatory high school only to enroll in an elite university. In this way, I example Professor Becker’s statement that “educational attainment has become increasingly predictive of economic success.” My financial means were able to condition me towards a higher form of education that I may not have received if my economic status has been altered.
In terms of the United States developing a “hard-working” but “self-perpetuating elite that reaps a greater and greater share of financial rewards” and is more diverse than the old white male Anglo-Saxon establishment,” my thoughts head straight towards the Legacy factor and how Legacy plays into the college admission process. If Becker is correct, that it may seem that the offspring of the former Anglo-Saxon elites are the legacy generations that these well-known colleges are accepting while allowing their new generations of students to play in as a diversity factor. The fact that Duke is “need-based blind” helps avert the issues of monetary importance to get into college, but the education/grades/accolades in order to get accepted may be a struggle to achieve for low-income families in the first place.
I find it interesting that Stille talks about Germany’s educational tracks being different (university or vocational school), and that this is a “closing off that Americans would find intolerable” when he is clearly writing an entire article about how Americans aren’t finding the closing off of opportunity in their own country intolerable. It, then, all boils down to success in terms of financial wealth and means—these tracks are not an issue because “those attending vocational school often earn as much as those who attend university.”
Comme je suis dans ma dernière année ici à Duke, je vois les chemins que mes pairs veulent prendre – être ingénieur, médecin, avocat, placeur, ou consultant. Ils se sentent d’être sous une forte pression de faire des grandes choses avec leurs vies après tout ce qu’ils ont travaillé ici à Duke, après tout l’argent que leurs parents ont dépensé, et spécialement quand ils considèrent que leurs intelligence mérite des bons avenirs. Et ici, les bons avenirs sont extrêmement liés avec les emplois qui gagnent beaucoup d’argent. Comme l’article a dit, les États-Unis sont devenus une méritocratie; au moins, c’est la façon dont je le vois ici à Duke. C’est une vie après la philosophie “chien-mange-chien” (est-ce que je peux le traduire comme ça? je ne sais pas si les Français l’utilisent …): si on n’a pas travaillé assez dur, ou si on n’a pas assez d’intelligence, tant pis. Les États-Unis prennent l’approche du daltonisme sur l’ethnicité – la couleur du peau n’empêche pas la course pour le succès économique. Notre pays ont des bras grands ouverts pour les immigrés parce que nous sommes un pays qui promeut l’intégration de diversité, mais la France promeut l’assimilation. Malheureusement pour les gens qui semblent physiquement différent, ils ne peuvent jamais s’assimiler.
Honnêtement, je ne connais pas beaucoup de gens qui sont aux extrêmes ici à Duke; pour la plupart, mes amis se situent dans la classe moyenne. Leurs parents gagnent assez d’argent pour payer pour leurs éducation ici, mais il est quand même difficile parce qu’il ne reste pas beaucoup après la perte de 50k chaque année. Quand même, ils sont familiers avec les procès pour obtenir des avenirs avec le succès économique et ils restent dans la même classe, ou peut-être un peu plus haute. Pour quelques amis – mais seulement quelques, donc je ne peux pas vraiment généraliser – qui viennent des classes ouvrières, ils se sont perdus parce qu’il y a beaucoup de choses que l’éducation ne les enseignent pas pour qu’ils puissent savoir comment achever des mêmes avenirs pleins de succès économiques. Dans cette manière, les familles qui sont déjà dans la classe moyenne ou la haute bourgeoisie peuvent aider leurs enfants en perpétuant ce milieu, mais les familles qui sont dans la classe ouvrière ont de difficulté en aidant leurs enfants parce qu’ils ne savent pas à quoi faire. Je ne sais pas comment ça marche, et j’espère que l’éducation financé par Duke et le gouvernement peuvent les aider.
Malheureusement, pour la France, les allocations sont seulement pour les vrais Français. Je ne sais pas comment ça marche dans les autres pays européens, mais en parlant avec mes amis qui habitent en France, j’ai appris qu’on gagne presque la même dans tous les emplois (comme l’article a dit). Il reste beaucoup de racisme contre les enfants et les générations des immigrés, qui sont exclus dans les emplois. En faisant cela, il reste toujours un groupe qui est béni – celui du peuple français – et un groupe qui est exclu. En fait, c’est la même aux États-Unis – il y a un groupe qui est béni – celui qui le “mérite” – et un groupe qui est exclu – celui qui ne le “mérite” pas.
Est-ce qu’il y a un solution? Je ne sais pas. En dépit de leurs grands différences, les deux systèmes se marchent à cause de l’existence d’un groupe exclu, qui doit faire ce que le meilleur groupe ne veut pas faire. Les deux sont injustes, mais il est difficile d’imaginer une système où tout peut être juste et tout le monde peut être heureux avec où ils se trouvent.
Je n’avais jamais considéré les concepts d’égalité économique et l’inclusion politique comme l’article a discuté, mais je trouve l’avis de Stille intéressant. Je suis vraiment d’accord avec lui quand il dit que les universités élites sont pour la plupart dominés par les étudiants des familles assez riches et que ça peut poser un problème en créant « a self-perpetuating elite that reaps a greater and greater share of financial rewards » si l’éducation influence le succès économique dans l’avenir. Ici à Duke, il y a beaucoup de « Diversity/Minority Networking Events » avec les représentatives des grandes compagnies. Je pense qu’ils sont bénéficiaux en tenant de faciliter la diversité dans ces compagnies, mais au même temps, ils prouvent ce que Stille dit car des universités moins « prestigieux » ne peuvent pas offrir les mêmes occasions avec des « grands-noms » compagnies. En fait, j’avais vu des annonces pour des stages où seulement les étudiants des universités « prestigieux » (l’exact mot utilisé) sont encouragés d’appliquer. Je doute qu’il y aurait beaucoup d’événements similaires en France car il semble que les « Français » veulent éviter les minorités, comme les musulmans, de rejoindre les grandes compagnies français, pas les recruter activement.
L’article me rappelle aussi d’un post sur le « Me Too blog » que j’ai lu il y a quelques jours : http://metooblog.tumblr.com/post/11573801355/if-duke-wants-me-here-so-bad-why-are-they C’est facile d’être un peu cynique et me demander parfois si l’aide financière est complètement pour permettre les étudiants brillants des fonds moins-riches d’assister ici, ou aussi un peu pour pouvoir dire « voyez notre progrès en devenant plus ‘égale’ ».
Pourtant, je ne pense pas qu’il y a une solution assez facile pour établir un système dans lequel l’égalité et l’inclusion sont réconciliés, au moins aux Etats-Unis. Presque tous les tentes de promouvoir l’égalité économique sont vus comme un acte socialiste et génèrent trop de controverse politique pour être vraiment faisable. Il fallait d’abord changer les sentiments des gens eux-mêmes.
Aussi, Stille discutent spécifiquement l’Etats-Unis et quelques pays situés dans l’Europe de l’ouest – tous sont les pays développés. Ce serait intéressant de voir s’il y ait des liens ou compromis entre l’égalité et l’inclusion dans les pays en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient, etc. En général, ces pays ont plus d’inégalité économique et d’exclusion sociale, mais peut-être il y a des « ratios » différents ou des changements prononcés dès qu’ils développent…